LE SOLDAT DE CHRIST

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C’est avec crainte et inquiétude que le monde cherche à trouver la voie qu’il pourrait suivre pendant l’année en cours. L’année nouvelle a hérité tous les troubles non résolus l’année dernière. D’autres problèmes épineux sont même susceptibles de s’y ajouter dans les mois à venir. Chômage, inflation, famine, pollution, ‘fraude fiscale, crimes, corruption, autant de problèmes que les autorités gouvernementales ne semblent pas pouvoir résoudre.

En tête de liste des problèmes non résolus figure la toujours présente menace de guerre. C’est là sans doute le pire des maux comme aussi celui qui cause le plus de souffrances et de douleurs à un nombre incalculable d’innocents et de sans défense.

Charrues transformées en canons

Même si le peuple a horreur de la guerre, celle-ci n’en est pas pour autant écartée. Le ministère de la défense engage des sommes importantes dans la fabrication d’armes nouvelles, dans le but de parer à toute éventualité.. On craint encore un nouvel affrontement au Moyen-Orient, ce qui entraînerait rapidement dans le conflit d’autres nations que celles directement intéressées.

La possibilité d’un tel conflit armé préoccupe non seulement les autorités militaires, mais encore le clergé. Un journal religieux très lu aux Etats-Unis, a récemment agité une grave question dans un article intitulé : “ Un chrétien peut-il aller à la guerre ? ”. Et l’auteur de conclure : “ Non seulement il le peut, mais dans certains cas il doit porter les armes pour défendre son pays ”. Il va plus loin et affirme que certaines guerres qui ne sont pas à proprement parler des guerres d’auto-défense, ne seraient pas contraires aux enseignements bibliques.

A l’appui de ses dires, l’auteur rappelle ce que Dieu a signifié à son peuple d’Israël, particulièrement au vingtième chapitre du Deutéronome, qui intéresse aussi les chrétiens et les autorise, dans certaines circonstances, à tuer leurs ennemis. Il cite Jésus louant le centenier romain pour sa foi, et dont il dit : “ Même en Israël je n’ai pas trouvé une aussi grande foi ”. Il cite Paul exhortant l’Eglise à vivre en paix avec tout le monde, et met l’accent sur les mots : “ pour autant que cela dépend de vous”. Ainsi, dit-il, Paul établit une restriction qui permet aux hommes de prendre les armes quand ils ne peuvent vivre en paix les uns avec les autres.

Il importe peu ‘ce qu’on peut dire ou ne pas dire des incidents de l’Ancien Testament. Le fait est que notre Seigneur a expliqué très clairement que la loi de la .nouvelle dispensation est bien plus élevée que celles de la dispensation précédente. Dans son sermon sur la montagne, Jésus dit : “ Heureux les miséricordieux, car ils obtiendront miséricorde… Heureux ceux qui procurent la paix, car ils seront appelés fils de Dieu. Heureux ceux qui sont persécutés pour la justice, car le royaume des cieux est à eux” (Matthieu 5 : 7-10).

“ Mais moi je vous dis ”

Jésus s’adresse en ces termes à ceux qui aspirent à devenir ses disciples, mais il ne dit rien qui puisse faire croire que le chrétien soit autorisé à se servir d’armes pour faire reconnaître ses droits, ou même pour se défendre s’il est attaqué ou persécuté. C’est tout le contraire qu’il demande. Il donne quelques exemples précis sur le niveau de vie élevé du chrétien : “ Vous avez entendu qu’il a été dit aux anciens : tu ne tueras point ; celui qui tuera mérite d’être puni par les juges ” (Matthieu 5 :21). Ici Jésus réaffirme nettement le commandement de l’ancienne loi : “ Tu ne tueras point ”. Mais il va plus loin et dit que celui qui se met en colère contre son frère mérite d’être puni.

Jésus continue : “ Vous avez appris qu’il a été dit : tu ne commettras point d’adultère. Mais moi je vous dis que quiconque regarde une femme pour la convoiter a déjà commis un adultère avec elle dans son cœur” (Matthieu 5:27-28). Une fois encore on voit à quel degré élevé se situent les normes de justice et de vertu qui s’imposent aux disciples de Jésus pendant l’actuel âge de l’Evangile. Elles sont de beaucoup supérieures à la Loi donnée à Moïse pour la direction du peuple typique de Dieu.

Jésus dit encore : “ Vous avez appris qu’il a été dit : tu aimeras ton prochain et tu haïras ton ennemi. Mais moi, je vous dis : aimez vos ennemis, bénissez ceux qui vous maudissent, faites du bien à ceux qui vous haïssent, et priez pour ceux qui vous maltraitent et qui vous persécutent ” (Matthieu 5 :43, 44). Aimez vos ennemis, nous dit Jésus. Comment pourrions-nous tuer ceux que nous devons aimer ? Tout au contraire, il nous est recommandé de prier pour eux.

La loi plus élevée de l’âge de l’Evangile

Jésus dit encore : “ Vous avez appris qu’il a été dit : œil pour œil, dent pour dent. Mais moi, je vous dis de ne pas résister au méchant. Si quelqu’un te frappe sur la joue droite, présente-lui aussi l’autre” (Matthieu 5 : 38, 39). Ces expressions de Jésus n’étaient pas de la pure rhétorique. H les a mises en pratique dans sa vie tourmentée. Ces principes devraient instruire le chrétien sur ce qu’il doit faire lorsqu’il reçoit l’ordre de prendre les armes.

Notre Seigneur fut heureux de trouver la foi chez le centurion, au point qu’immédiatement il guérit son serviteur malade. Jésus n’a jamais ni commenté ni condamné le métier que faisait le centurion. Il ne parlait que d’une chose, de sa foi, pour établir un contraste avec le manque de foi régnant chez les Israélites vers qui il avait spécialement été envoyé. Il en tira ainsi une leçon valable

“ Remets ton épée à sa place ”

Oui, notre Seigneur a vécu en accord avec ses propres préceptes. Il était saint, innocent, sans tache, séparé des pécheurs (Hébreux 7:26). Il a tellement aimé le monde qu’il a donné sa vie pour tous les humains, y compris les pécheurs et ses ennemis. Lorsqu’il fut appréhendé par la populace hostile, amené devant le sanhédrin, faussement accusé et crucifié, il n’essaya pas de se défendre lui-même. A l’extrême limite, lorsque Pierre tira l’épée pour défendre son maître, Jésus lui dit : “ Remets ton épée au fourreau ; car tous ceux qui prendront l’épée périront par l’épée. Penses-tu que je ne puisse pas invoquer mon Père, qui me donnerait à l’instant plus de douze légions d’anges ? Comment donc s’accompliraient les Ecritures d’après lesquelles il doit en être ainsi ? ” (Matthieu 26 :52-54). Il n’est pas impossible que Jésus ait toléré que Pierre fut porteur d’une épée à ce moment particulier, afin d’avoir l’occasion de faire remarquer que ceux qui prendraient l’épée périraient par elle.

L’apôtre Paul avait aussi quelque chose à dire sur ce sujet. Dans plusieurs de ses épîtres il considère le meurtre comme une œuvre de la chair. “ Ceux qui sont à Jésus-Christ ont crucifié la chair avec ses passions et ses désirs. Mais le fruit de l’Esprit, c’est l’amour, la joie, la paix, la patience, la bonté, la bénignité, la fidélité ” (Galates 5 : 19- 24).

Le même apôtre écrit à l’Eglise de Rome : “ S’il est possible, en tant que cela dépend de vous, soyez en paix avec tous les hommes” (Romains 12 :18). L’apôtre était homme de sens pratique. Il savait qu’il n’était pas facile à tous les hommes de mettre ce conseil en pratique. Mais il n’est pas allé jusqu’à dire qu’on a le droit de tuer ceux avec qui on ne peut vivre en parfait accord.

Il a précisé aux frères de Rome : “ Tu ne tueras point”. Il les a exhortés à “annoncer la paix”, à “ rechercher ce qui contribue à la paix ” (Romains 13 : 9 ; 10 :15 ; 14 : 9). Aux frères Hébreux, il écrit : “ Recherchez la paix avec tous, et la sanctification, sans laquelle personne ne verra le Seigneur ” (Hébreux 12:14). A l’Eglise de Corinthe : “Frères… vivez en paix, et le Dieu d’amour et de paix sera avec vous” (2 Corinthiens 13:11).

La véritable armure du soldat chrétien

L’armure du soldat sert d’illustration à Paul qui veut faire comprendre au chrétien la nécessité d’être convenablement équipé dans sa lutte contre les traits enflammés et les tentations du diable.

 Mais cela ne veut nullement dire qu’il recommande d’obéir à l’appel aux armes ou de se servir d’armes pour tuer des semblables. L’armure dont il parle, ce sont les armes de Dieu : la cuirasse de la justice, le zèle que donne l’Evangile de paix, le bouclier de la foi, le casque du salut, l’épée de l’Esprit, qui est la parole de Dieu (Ephésiens 6 :11- 17). Ces armes de l’Esprit protègent le soldat de Christ dans sa lutte contre les princes de ce monde de ténèbres, contre les esprits méchants dans les lieux célestes, mais ne sont pas dirigées contre l’être humain.

Les Ecritures invitent le peuple de Dieu à obéir à l’injonction : “ Tu ne tueras point ”. Ce commandement s’applique aussi bien à la défense de sa propre personne qu’à celle de la patrie.

Chaque disciple du Maître s’ait que la vie chrétienne est une lutte continuelle contre le monde, la chair et le diable et qu’il rencontre de nombreuses épreuves auxquelles il doit faire face avec courage, maîtrise de soi et force de caractère — probablement jusqu’à l’a fin de sa vie. Ces expériences lui viennent de ses efforts à faire connaître la bonne nouvelle du royaume à tous ceux qu’il rencontre en élevant la bannière de la vérité, comme ce fut le cas pour Jésus et pour son peuple pendant l’âge de l’Evangile. Annoncer la vérité est, en effet, la part importante qui a été confiée au peuple de Dieu pendant cet âge. Si quelqu’un veut combattre et mourir en héros, n’est-il pas plus grand de combattre et de mourir comme un soldat de Jésus-Christ ?

Jésus publie une année de grâce

Notre Seigneur est notre exemple. Il a montré que la prédication de la Parole du salut était une partie importante de sa mission sur la terre, mission qui venait en second après le don de sa vie en rançon pour Adam. L’évangéliste Luc rapporte qu’après son baptême au Jourdain, et après avoir été tenté au désert, Jésus retourna à Nazareth où il avait été élevé. Il entra dans l’a synagogue et lut à voix haute les admirables paroles du prophète Esaïe qu’il savait se rapporter à lui et qui établissaient sa mission de prêcher la parole : “ L’Esprit du Seigneur est sur moi, parce qu’il m’a oint pour annoncer une bonne nouvelle aux pauvres ; il m’a envoyé pour guérir ceux qui ont le cœur brisé, pour proclamer aux captifs la délivrance, et aux aveugles le recouvrement de la vue, pour renvoyer libres les opprimés, pour publier une année de grâce du Seigneur ” (Luc 4 :16-19 : Esaïe 61 :1,2).

Jésus a connu trois ans et demi difficiles pendant lesquels il a prêché l’Evangile. Pas .une seule fois la fatigue corporelle, les menaces de mort, la persécution ne l’ont empêché d’accomplir sa mission. Le seul endroit où occasionnellement il pouvait se reposer était la maison de son ami Lazare. Lors d’une certaine circonstance il remarqua dans un vague regret : “ Les renards ont des tanières, et les oiseaux du ciel ont des nids ; mais le Fils de l’homme n’a pas où reposer sa tête” (Matthieu 8:20).

Un jour, Jésus décida de changer de région. Il fit à pied le long voyage de la Judée à la Galilée, ce qui l’obligeait à passer par la Samarie. Fatigué, Jésus se reposa un moment, assis sur le bord du puits de Jacob, pendant que ses disciples étaient allés en ville acheter de l’a nourriture.

Une femme de Samarie vint puiser de l’eau, et elle lui parla. Fatigué et affamé, Jésus aurait pu facilement ne pas faire attention aux questions que la femme lui posait, surtout qu’elle était Samaritaine, et que les Juifs n’entretenaient point de relations avec les gens de la Samarie. Mais Jésus vit là une occasion favorable d’annoncer la bonne nouvelle du royaume et de la vie éternelle pour tous ceux qui le veulent. La femme retourna rapidement dans la ville et raconta son expérience avec celui qui se disait être le Messie. Sur ce les hommes de la ville vinrent vers lui.

Ma nourriture est de faire la volonté de Dieu

Jésus ne s’était pas reposé. Il n’avait pas pris de nourriture. Ses disciples, de retour, le pressèrent de manger. Il leur répondit : “ Ma nourriture est de faire la volonté de celui qui m’a envoyé, et d’accomplir son œuvre”.

Cette réponse étonna les disciples. Ils avaient éprouvé quelque difficulté à trouver de quoi manger, et maintenant il était indifférent aux aliments qu’on lui présentait. Son indifférence était telle qu’ils crurent qu’il avait mangé en leur absence. Ils se disaient les uns aux autres : “ Quelqu’un lui aurait-il apporté à manger ? ” (Jean 4 : 33).

Jésus s’était en effet nourri en leur absence mais d’une nourriture qu’ils ne connaissaient pas. Faire la volonté de ‘son Père lui était un agrément d’où il tirait force et soutien. Dans ce cas, la volonté de Dieu était qu’il annonçât la bonne nouvelle à la femme samaritaine, et sa conversation avec elle l’avait tellement absorbé qu’il en oublia sa fatigue et sa faim, et s’en trouva comme revigoré.

Alors il attira l’attention des disciples sur ce qui leur avait fait croire un instant à de l’indifférence pour la nourriture qu’ils avaient apportée. C’était parce que le temps était court pour accomplir l’œuvre qui devait être faite : “ Ne dites-vous pas qu’il y a encore quatre mois jusqu’à la moisson ? Voici, je vous le dis, levez les yeux, et regardez les champs qui déjà blanchissent pour la moisson ” (Jean 4:35).

Il est évident qu’à ce moment-là les disciples ne virent pas, comme Jésus, l’urgence qu’il y avait à prêcher l’Evangile. Certes, on doit pouvoir prendre le temps de manger et de se reposer. Mais par son exemple, Jésus leur avait montré qu’une certaine œuvre devait être accomplie et que les besoins physiques passaient après.

Un grand nombre crut à cause de sa parole

Le Seigneur eut alors ces mots qui ont tellement encouragé les moissonneurs de l’âge de l’Evangile, jusqu’à ce jour : “Celui qui moissonne reçoit un salaire et amasse des fruits pour la vie éternelle, afin que celui qui sème et celui qui moissonne se réjouissent ensemble ” (Jean 4:36). Le Seigneur avait fait passer le service de son Père céleste avant ses besoins physiques et pour cela il est dit que plusieurs crurent : “ Plusieurs Samaritains de cette ville crurent en Jésus à cause de cette déclaration formelle de la femme : II m’a dit tout ce que j’ai fait… Un beaucoup plus grand nombre crurent à cause de sa Parole, et ils disaient à la femme : ce n’est plus à cause de ce que tu as dit que nous croyons, car nous l’avons entendu nous- mêmes, et nous savons qu’il est vraiment le Sauveur du monde” (Jean 4 : 39-42).

Ainsi, pendant trois ans et demi, il prêcha, endurant, souffrant, jusqu’à la croix, jusqu’à ce qu’il eut accompli l’œuvre pour laquelle il était venu dans le monde.

L’apôtre Paul suivit son exemple. En tout temps et en tout lieu, toujours il trouva une occasion pour présenter le glorieux message : “ Malheur à moi si je n’annonce pas l’Evangile ”, était sa pensée constante (1 Corinthiens 9 :16). Il a toujours été fidèle à sa mission “de porter le nom (de Jésus) devant les nations, devant les rois, et devant les fils d’Israël ” (Actes 9 :15).

Tout aussitôt après sa conversion, ce persécuteur de l’Eglise primitive “prêcha dans les synagogues que Jésus est le Fils de Dieu ” (Actes 9 : 20). Miraculeusement parvenu à la connaissance de la vérité, de l’amour de Dieu et du sacrifice de Jésus en faveur de l’humanité, Paul n’aurait pas voulu perdre un seul moment, une seule occasion précieuse de prêcher. Il était habité par une passion ardente qui le poussait à prêcher le message de l’Evangile. Sa transformation fut si complète et si rapide qu’un grand nombre de frères l’acceptaient difficilement dans son nouveau rôle. “ Tous ceux qui l’entendaient étaient dans l’étonnement et disaient : n’est-ce pas celui qui persécutait à Jérusalem ceux qui invoquent ce nom, et n’est-il pas venu .ici pour les amener liés devant les principaux sacrificateurs ? Cependant Saül se fortifiait de plus en plus, et il confondait ‘les Juifs qui habitaient à Damas, démontrant que Jésus est le Christ ” (Actes 9 : 21, 22).

Les souffrances de Paul, soldat de Christ

Et voilà Paul, soldat de Christ, enrôlé pour la vie au service de son Seigneur bien-aimé, lapidé et laissé pour mort à Lystre, apaisé par les magistrats à Philippe, battu et jeté en prison, renvoyé de nuit hors de Thessalonique à cause des Juifs jaloux, renvoyé sans jugement par le tribunal de Corinthe, obligé de fuir d’Ephèse pour sauver sa vie à cause des orfèvres furieux, sauvé de la populace déchaînée par un tribun, romain et ses soldats à Jérusalem, sauvé ‘une fois de plus pour n’être pas “mis en pièces” par les membres du grand tribunal juif, emprisonné pendant deux ans à Césarée, naufragé à l’île de Malte, emprisonné à Rome pendant de longues années et finalement, comme on le croit, décapité à Rome. La vie de Paul, consacrée à la prédication de l’Evangile, montre que le chrétien a maintes occasions de donner sa vie sans prendre les armes pour tuer ou être tué dans des guerres.

Jamais, après sa conversion sur le chemin de Damas, Paul n’eut recours à des moyens physiques de défense, même lorsqu’il fut attaqué, frappé et lapidé. Le Seigneur protégeait sa vie jusqu’à ce que son œuvre fut achevée.

Paul a combattu le bon combat de la foi (1 Timothée 6 :12). Il avait revêtu les armes de Dieu, la brillante lumière de l’Evangile (Romains 13 : 12). Il portait le casque du ‘salut, la cuirasse de la justice (Ephés. 6 :17, 14). Il portait l’épée de l’Esprit, qui est la parole de Dieu (Ephés. 6 :17). Ses pieds étaient chaussés du zèle que donne l’Evangile de paix (Ephésiens 6 :15).

Il invite tous ceux qui se disent chrétiens à s’engager dans le même bon combat de la foi pour l’Evangile, à revêtir la même armure de Dieu, à prendre l’épée de l’Esprit, qui est la Parole de Dieu — la seule arme dont les véritables enfants de Dieu soient autorisés à se servir.

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