CANTIQUES PENDANT LA NUIT 14 janvier

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14 janvier

« Ainsi, mes frères bien-aimés, que tout homme soit prompt à écouter, lent à parler, lent à la colère » – Jacques 1 : 19 – Darby.

La force de caractère qui conduit à la colère est la même que celle qui, dans d’autres circonstances, exprime l’intensité de l’amour : l’incapacité à se mettre en colère pour une raison valable impliquerait des imperfections, des défauts, tout comme l’incapacité à aimer ardemment impliquerait des défauts de caractère similaires… Nous qui avons été engendrés du Saint Esprit et qui avons donc la « pensée de Christ », avons l’esprit ou la disposition qui est aimante, généreuse, bonne, indulgente envers nos semblables et qui est révérencieuse et obéissante envers Dieu. C’est l’esprit ou la disposition qui est celle du Père et du Fils : la disposition ou l’esprit opposé est celui de l’Adversaire. Les deux esprits ou dispositions sont tellement opposés que nous ne pouvons pas avoir les deux à la fois – nous ne pouvons pas servir Dieu et Mammon, Christ et Bélial. Z’07-26 R3928:2,4 (Hymne 49)

18 janvier

« Et si Christ est en vous, le corps, il est vrai, est mort à cause du péché, mais l’esprit est vie à cause de la justice. » – Romains 8 : 10.

Du point de vue divin, le corps est considéré comme mort, mais l’esprit, ou la mentalité, est considéré comme vivant. C’est la nouvelle créature que Dieu reconnaît, à laquelle Il se propose de donner un nouveau corps spirituel en temps voulu, lors de la première résurrection. Il est nécessaire que cette pensée soit clairement ancrée dans nos esprits, afin que nous puissions continuellement nous rendre compte de notre paix envers Dieu et de sa faveur et de sa compassion envers nous en Christ. Si nous perdons de vue le fait que Dieu nous considère du point de vue de la volonté, si nous en arrivons à penser à nous-mêmes et à l’estimation que Dieu fait de nous selon la chair, nous sommes sûrs de nous retrouver proportionnellement dans les ténèbres, la confusion et le découragement. Mais n’oublions pas, d’autre part, que l’esprit, ou la volonté, est compté vivant à cause de sa justice, parce qu’il est en harmonie avec Dieu. Ne soyons donc jamais négligents quant à la volonté, ou à l’intention, qui régit la conduite de notre vie, mais souvenons-nous que tout laxisme entraînera la perte proportionnelle de vie spirituelle. Avoir une volonté droite est toujours possible pour nous, et rien de moins qu’une volonté absolument loyale ne pourrait être acceptable pour Dieu en Christ. Z’03-171 R3203:2 (Hymne 277)

20 janvier

« … si quelqu’un souffre comme chrétien, qu’il n’en ait pas honte. » – 1 Pierre 4 : 16 (Darby).

L’apôtre n’avait pas honte de ses souffrances, car il se rendait compte qu’elles étaient endurées pour la cause de Christ. Tout homme ou femme se sentirait et devrait se sentir profondément peiné d’être publiquement arrêté et emprisonné comme un criminel, comme un violateur de la loi. Mais quand nous faisons l’expérience de ces choses, et que nous pouvons nous rendre compte qu’elles nous arrivent à cause de notre fidélité au Seigneur, en suivant ses traces, nous pouvons nous réjouir de l’ignominie, nous réjouir de choses qui autrement seraient honteuses et détestables. Si donc, par la providence du Seigneur, des personnes qui lisent cet article sont arrêtées, emprisonnées ou flagellées, et si elles peuvent directement ou indirectement attribuer leur tribulation à la fidélité au Seigneur et à sa vérité, qu’elles n’en aient pas honte ; qu’elles glorifient Dieu à ce sujet, se réjouissant d’être considérées dignes de souffrir pour le nom de Christ, et se rappelant qu’il en a même été ainsi avec notre Seigneur Jésus. Il a été arrêté ; Il a été lié ; Il a été flagellé ; Il a été insulté publiquement ; Il a même été crucifié comme blasphémateur contre Dieu. Z’03-140 R3189:6 (Hymne 13)

11 février

« Et la Parole [Logos] devint chair, et habita au milieu de nous » – Jean 1 : 14.

Parce que toute la famille humaine était issue d’Adam et avait part à sa sentence de mort, « aucun homme ne pouvait donner à Dieu une rançon pour son frère » (selon Psaume 49 : 7). Dieu avait fermé la question de telle manière qu’Adam et sa race ne pouvaient être rachetés qu’en trouvant un homme parfait disposé à mourir volontairement pour eux. C’est parce qu’il n’y avait pas un tel homme que Dieu s’accorda avec le Logos, son Unique Engendré, pour qu’Il devienne un homme et soit le Rédempteur de la race – Adam et tous ses descendants. Z’13-347 R5352:4 (Hymne 62)

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