L’ESPRİT D’ADORATİON

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« Mais l’heure vient, et elle est déjà venue, où les vrais adorateurs adoreront le Père en esprit et en vérité ; car ce sont là les adorateurs que le Père demande. Dieu est esprit, et il faut que ceux qui l’adorent, l’adorent en esprit et en vérité. » – Jean 4 : 23, 24.

Si nous voulons exprimer quelques pensées sur les événements de la Pentecôte et sur nous, croyants d’aujourd’hui, nous constatons que nous sommes envahis par un sentiment d’incompétence et d’impuissance. Comment nous, simples humains, pouvons-nous comprendre cela ? Comment expliquer l’action du Saint Esprit ? Pour nous, qui nous nous sommes appropriés le langage biblique, le danger est grand de parler vainement, de parler de façon embrouillée et incorrecte de la vérité.

Ô, qu’il est difficile de parler de quelque chose qui n’est pas de ce monde ! D’une force dont la source échappe à la compréhension humaine. L’Esprit d’en-haut, le Saint Esprit, est quelque chose qui dépasse nos facultés.

L’Esprit nous met en lumière, nous montre comme nous sommes ; non comme nous voudrions être ou paraître, mais comme nous sommes réellement. Car l’Esprit est un Esprit de vérité, d’authenticité. Il ne flatte pas, il ne trompe pas. C’est pourquoi, nous sommes dans la lumière de cet Esprit face à Dieu. « L’Éternel, du haut des cieux, regarde les fils de l’homme, pour voir s’il y a quelqu’un qui soit intelligent, qui cherche Dieu. » (Psaume 14 : 2) « Tout est à nu et à découvert aux yeux de celui à qui nous devons rendre compte » – Hébreux 4 : 13.

C’est pourquoi il est si difficile de parler du Saint Esprit. Car nous sentons que nous n’avons pas le droit de parler d’une chose devant laquelle nous sommes petits et impuissants.

Mais l’Esprit est aussi un consolateur et un instructeur, et il se « préoccupe de nous ». « Mais le consolateur, l’Esprit Saint, que le Père enverra en mon nom, vous enseignera toutes choses, et vous rappellera tout ce que je vous ai dit. » – Jean 14 : 26.

Ainsi, nous comprenons que notre Père ne nous rend pas si petits et si faibles, au point que nous soyons écrasés. Ce n’est pas la manière de procéder de notre Créateur ! Les humains s’humilient les uns les autres, mais pas le Père d’amour et de justice. Par l’Esprit, Il nous donne l’intelligence de discerner, avec son aide, l’action de l’Esprit et la puissance qui s’en dégage.

L’intelligence, que nous offre Dieu par l’Esprit, n’est pas de même nature que celle avec laquelle on comprend les choses terrestres. On examine, par exemple, un moteur et on dit : Maintenant je comprends comment cela fonctionne. Mais, dans le domaine spirituel, ce n’est pas pareil. On pourrait dire de certains théologiens, qu’ils veulent « comprendre » la Parole de Dieu comme un moteur. Certains parmi nous pourraient aussi vouloir comprendre de cette manière. Ils aimeraient bien « démonter le moteur ». C’est une façon d’examiner les choses spirituelles, divines, selon les dimensions humaines. Mais ils oublient l’essentiel : derrière les paroles et les mots, il y a Dieu et le Seigneur Jésus-Christ, vivant et ressuscité.

L’Esprit contenu dans la Parole de Dieu est vivant et il répand la lumière. Il envoie sa puissance, il illumine, il conduit, il vivifie, il exécute, et c’est le Père qui s’adresse à nous, lorsqu’il parle. Ses paroles me concernent, nous concernent. Nous avons affaire à des forces vives, et notre destin dépend de l’idée que nous nous en faisons. C’est pourquoi, en tant que « personnes qualifiées », nous aborderons avec prudence ces choses spirituelles et éminemment vivantes. Même si nous savons – ou croyons savoir – comment fonctionne le « moteur », n’oublions pas que nous sommes fortement impliqués. Nous ne sommes pas des spectateurs, ni le « professionnel » pour qui tout est clair, qui est objectif et expérimenté. En fait, il s’est accompli quelque chose en nous depuis que nous avons pris conscience de cette puissance de l’Esprit et de cette Parole de Dieu vivante.

Que pouvons-nous dire de tout cela ? Nous pouvons dire que l’Esprit et la Parole de Dieu ont une seule mission : celle de nous rapprocher de Dieu.

L’Esprit est la force, le moyen de nous rapprocher de Lui. Et pour illustrer ce rapprochement, les Saintes Écritures emploient des images symboliques de notre vie quotidienne. Il s’agit de la coutume des fiançailles ; ou des rapports d’un fils avec son Père qui nous permet de prier : « Notre Père qui es aux cieux » ; ou encore d’être nommés héritiers de Dieu, et cohéritiers de Christ. – Romains 8 : 17.

Jusqu’à quel point voulons-nous nous rapprocher de Dieu ? La question peut choquer… mais assurément, nous aimerions tous intégrer l’assemblée spirituelle. Pourtant il y a quelque chose en nous qui demande : jusqu’où puis-je aller ? C’est la nature humaine qui soulève cette question. Se rapprocher progressivement de Dieu demande un travail personnel constant, car Dieu est Esprit, et le spirituel vit aux dépens de notre part humaine, terrestre. Paul dit : « Ceux, en effet, qui vivent selon la chair s’affectionnent aux choses de la chair, tandis que ceux qui vivent selon l’esprit s’affectionnent aux choses de l’esprit. … Pour vous, vous ne vivez pas selon la chair, mais selon l’esprit, si du moins l’Esprit de Dieu habite en vous. » (Romains 8 : 5, 9). C’est ici que l’on découvre le combat pour l’esprit, et que nous perdons nos chères illusions.

Il est possible que nous nous fassions des illusions sur notre position spirituelle. Quand nous sommes plus ou moins contrariés, quand nous sommes blessés dans notre amour-propre ou lorsqu’il y a un malentendu, lorsque nous sommes incompris, que nous subissons une injustice ou que l’on nous mésestime, alors nous nous apercevons combien encore, nous nous « affectionnons aux choses de la chair ». Lorsque nous nous sentons offensés et peu enclins à supporter la souffrance, combien nous aimerions faire payer l’autre, lui faire sentir combien il nous a blessés !

Reconnaissons honnêtement que nous sommes souvent « charnels », et que nous avons du mal à vivre selon l’esprit. Il y a une lutte en nous et c’est souvent la chair, l’esprit terrestre qui l’emporte. « Si par l’Esprit vous faites mourir les actions du corps, vous vivrez. » – Romains 8 : 13.

Si nous devons éradiquer quelque chose de mauvais en nous, cela demande un combat. L’Esprit exige de le faire mourir, mais ceci est difficile et douloureux. Quarante, cinquante ans ou plus sur ce chemin ne nous dispensent pas de ce combat de l’Esprit contre la chair. Nous avons peut-être tendance à nous complaire à nous-mêmes, à être satisfaits de nous. Cette « sérénité » peut nous empêcher de nous voir comme nous sommes vraiment, car nous n’avons aucun sujet de glorification devant Dieu. (cf. Romains 3 : 27).

Cependant nous ne devons pas tomber dans l’erreur inverse, et nous mésestimer à cause de nos faiblesses et de notre insuffisance. Car cela ne s’accorderait en aucun cas avec la manifestation du Saint Esprit. Bien au contraire, l’Esprit met précisément en lumière toutes nos erreurs et nos imperfections, parce que seule la vérité peut nous venir en aide ; car le Saint Esprit est un Esprit de sincérité, et notre progression spirituelle ne peut être basée que sur la vérité. L’Esprit nous enlève nos aimables illusions et notre exaltation déraisonnable concernant nos sentiments religieux, et nous place sur la base de la vérité.

Revenons à notre texte : « Mais l’heure vient, et elle est déjà venue, où les vrais adorateurs adorerons le Père en esprit et en vérité ; car ce sont là les adorateurs que le Père demande. »

Il y a une grande différence entre une prière de demande et l’adoration. Dans la prière modèle de notre Seigneur (Matthieu 6 : 9-13), l’adoration et la demande sont réunies. Cela montre que les deux sont importantes, elles ne s’excluent pas mutuellement. Mais du fait de notre faiblesse, nous sommes plus enclins à demander qu’à adorer. Les demandes occupent souvent la première place. Nous devrions sérieusement veiller à ne pas être que des « demandeurs ».

La distance entre demander et adorer est aussi grande que celle qui sépare l’embouchure d’un grand fleuve de sa source. Dans nos expériences spirituelles, nous voyons que le fleuve de l’adoration est pollué par les eaux usées des désirs humains, de leurs soucis, et de leur conception erronée du caractère de Dieu.

Si nous remontons le cours du fleuve, le courant devient progressivement plus propre et plus clair. Quelques feuilles de confessions peu crédibles sont portées par le courant, et l’on croise çà et là un arbre déraciné. Car celui qui n’est pas solidement enraciné dans la vérité sera déraciné par la première tempête venue et sera entraîné par le courant vers la mer universelle.

Ce n’est pas facile de remonter le courant jusqu’à la source. La vallée se rétrécit et devient un chemin étroit : il passe dans les rochers par des portes étroites, et il est difficile à escalader, car : « … étroite est la porte, resserré le chemin qui mènent à la vie, et il y en a peu qui les trouvent. » (Matthieu 7 : 14). Mais c’est là que nous découvrirons la source de la vie. Le prophète Jérémie dit dans un noble langage : « Il est un trône de gloire, élevé dès le commencement, c’est le lieu de notre sanctuaire. Toi qui es l’espérance d’Israël, ô Éternel ! Tous ceux qui t’abandonnent seront confondus. Ceux qui se détournent de moi seront inscrits sur la terre, car ils abandonnent la source d’eau vive, l’Éternel » – Jérémie 17 : 12, 13.

Nous voyons que pour devenir un adorateur, il nous faut une certaine maturation spirituelle et des connaissances ; il faut avoir fait un bout de chemin, il faut du temps. L’adoration nous est nécessaire, elle est nécessaire à notre croissance spirituelle. Adorer Dieu a un sens profond.

L’adoration nous rend libres ; elle nous libère du poids des soucis et des contraintes matérielles, de l’égoïsme, du découragement qui parfois nous accablent. Le psaume 73 d’Asaph exprime notre sentiment de façon saisissante : « Car je portais envie aux insensés, en voyant le bonheur des méchants … Aussi l’orgueil leur sert de collier, la violence est le vêtement qui les enveloppe … Ils raillent et parlent méchamment d’opprimer ; ils profèrent des discours hautains, ils élèvent leur bouche jusqu’aux cieux, et leur langue se promène sur la terre [ils parlent avec audace et blasphèment Dieu]. Voilà pourquoi son peuple se tourne de leur côté, il avale l’eau abondamment, et il dit : comment Dieu saurait-il, comment le Très-Haut connaîtrait-il ? » – Psaume 73 : 3, 6, 8-11.

Ils disent aussi : nos sciences physiques et naturelles prouvent que Dieu n’existe pas, nous ne L’avons rencontré nulle part dans nos recherches. Il n’y a pas de péché au sens de la Bible, et donc il n’y a pas non plus de culpabilité. C’est pourquoi nous n’avons aucune gêne, aucune limite. C’est ainsi que parlent les insensés.

Combien un enfant de la foi se sent parfois petit et humble : « Chaque jour je suis frappé, tous les matins mon châtiment est là… Quand j’ai réfléchi là-dessus pour m’éclairer, la difficulté fut grande à mes yeux, jusqu’à ce que j’eusse pénétré dans les sanctuaires de Dieu, et que j’eusse pris garde au sort final des méchants. » – Psaume 73 : 14, 16, 17.

Nous trouvons là le sens profond de l’adoration de Dieu. Mais une telle prière n’est-elle pas une échappatoire à la réalité ? Lorsqu’on se trouve dans une situation où on ne supporte pas d’être confronté à la réalité.

L’adoration n’est pas une fuite ni une illusion, car l’Esprit est la seule réalité. Le monde invisible existe. Les forces spirituelles sont l’absolue réalité. C’est par la puissance de cette réalité spirituelle que le monde matériel est apparu. Dieu, le Très-Haut, le Créateur de tout ce qui existe, est là et habite dans une lumière inaccessible aux recherches et à la science des hommes.

L’adoration est un regard sur la perfection, sur ce qui est précieux au plus haut degré. C’est un regard sur une justice inviolable, sur l’AMOUR – généreux, sur une sagesse qui sonde tout, et sur la toute puissance de l’Éternel. C’est de ce regard dont nous avons besoin, avant tout.

Comme le fit le psalmiste, nous devons monter aux sanctuaires de Dieu, pour nous y fortifier et connaître la vérité. Nous devons voir jusqu’au fond des choses avec les yeux de la foi. Car nous vivons dans un monde qui remet en question tout ce que nous croyons et espérons. C’est un monde incrédule et injuste, rempli de toutes les manifestations de la nature humaine déchue.

Il est troublant de constater que tout ce qui est terrestre nous paraît fragile, inutile. Les perspectives sont inquiétantes. Les difficultés, les soucis, la pauvreté, les craintes, les déceptions, les malentendus et les désaccords sont décourageants. La religion de la soi-disant chrétienté est pleine de demi-vérités, et son attitude ambiguë. Tout cela peut nous tourmenter, car nous sommes dans ce courant – et cela nous ronge, nous démoralise, nous déçoit et nous décourage. Parce que nous sommes obligés de vivre dans un monde aussi terrible, il nous a été offert en contrepartie l’accès à la source de la force et de l’Esprit. Nous ne sommes pas contraints d’adorer, nous sommes invités à adorer !

Le monde a perdu la véritable mesure donnée par Dieu, en s’éloignant de Lui. En adorant, nous percevons la justice parfaite, la sagesse, l’amour et la puissance de notre merveilleux Créateur. Il y a une justice absolue et parfaite ; une sagesse sans défaut ; il y a la toute puissance de Dieu qui n’inclut aucun mal ; l’amour divin qui englobe tout ce qui vit, qui n’exclut rien, fait grâce aux pécheurs et prévoit la vie éternelle. Quel privilège, quelle grâce, quelle source de force avons-nous là !

Au milieu des ténèbres désolées, dans lesquelles somnole le monde et où nous vivons, nous avons le privilège de pouvoir nous élever et adorer, diriger nos pensées et nos forces vers les biens éternels, que Dieu a en réserve. Car la promesse divine est de répandre sur toute la terre la justice parfaite, pour juger le monde et le purifier de toute injustice. Le prophète Ésaïe dit : « Jusqu’à ce que l’esprit soit répandu d’en haut sur nous, et que le désert se change en verger, et que le verger soit considéré comme une forêt. Alors la droiture habitera dans le désert, et la justice aura sa demeure dans le verger. L’œuvre de la justice sera la paix, et le fruit de la justice le repos et la sécurité pour toujours. Mon peuple demeurera dans le séjour de la paix, dans des habitations sûres, dans des asiles tranquilles. » – Ésaïe 32 : 15-18.

Le Père cherche ceux qui L’adorent en esprit et en vérité. Pour la majorité de ceux qui se réclament de Christ, la question importante est de savoir « où, cherche-t-Il ? ». Mais le Père cherche ceux qui désirent se rapprocher de Lui par l’esprit en toute liberté – pas par la traditionnelle routine d’une quelconque église ; ni pour se faire remarquer des hommes ou des autorités. Nous entrons dans une région vaste et imprévisible, lorsque nous nous plaçons sous la direction de l’Esprit. Obéir à son influence ne nous convient pas toujours. Souvent, nous commençons la démarche, mais nous sommes faibles…

Ce jour de la Pentecôte, de l’effusion de l’Esprit, nous rappelle aussi combien notre nature terrestre cherche à étouffer l’Esprit en nous, combien l’action de l’Esprit peut être ensevelie sous le poids de notre environnement.

La Pentecôte, le cinquantième jour après la résurrection de Jésus, fut le jour de l’accomplissement de la promesse qu’Il avait faite à ses disciples. Avant son départ, le Seigneur « leur recommanda de ne pas s’éloigner de Jérusalem, mais d’attendre ce que le Père avait promis, ce que je vous ai annoncé. » (Actes 1 : 4). Et toutes leurs attentes furent surpassées. Chacun d’eux ressentit une transformation, un affermissement et une clarification absolument indescriptibles. Avec quelle autorité Pierre parla, après cela ! Quelle puissance se manifesta et amena des milliers de gens à la foi en Jésus-Christ !

Nous croyons que toute l’histoire de l’Église est contenue dans la « Pentecôte ». L’Esprit fut répandu à ce moment-là, c’était le début d’un grand changement. Après ce commencement surprenant, l’action de l’Esprit s’est poursuivie, silencieuse et invisible, pendant tout l’Âge de l’Évangile. Le Père cherche encore ceux qui veulent L’adorer en Esprit et en vérité.

Dans notre monde surexcité et superficiel, les marques de l’Esprit ne sont pas perceptibles ; mais cela ne veut pas dire qu’il n’agit pas. Nous devons nous attendre à l’Esprit, nous ouvrir à lui et cela dépend de la dose de foi que nous possédons. Attendre et veiller – c’est là le caractère du disciple du Seigneur. C’est notre force, notre détermination, c’est notre vie spirituelle.

Tandis que les responsabilités, les soucis et les embarras de la vie nous accablent, il nous faut parfois réfléchir et ne pas perdre de vue que l’Esprit intercède en notre faveur et nous rappelle qu’il y a des choses plus importantes, plus sublimes, plus glorieuses que tout ce qui se déroule autour de nous. Il nous rappelle que quelque chose de certain nous attend, d’inébranlable, d’éternel : « J’estime que les souffrances du temps présent ne sauraient être comparées à la gloire à venir qui sera révélée pour nous. » – Romains 8 : 18.

N’avons-nous pas dit précédemment que nous réfléchissons assez rarement au-delà de nos difficultés quotidiennes ? Ne serait-ce pas de la résignation ? Paul ne dit-il pas en Philippiens 4 : 4 : « Réjouissez-vous toujours dans le Seigneur » ? Et notre Seigneur, ne fit-Il pas cette merveilleuse promesse à ses disciples : « Je vous ai dit ces choses, afin que ma joie soit en vous, et que votre joie soit parfaite. » ? (Jean 15 : 11). C’est le Seigneur Lui-même et Paul qui nous ont fait cette promesse et cette recommandation.

Face à la profondeur des pensées divines, nous, petits enfants imparfaits du Père céleste, humblement et en toute honnêteté, nous devons admettre que nous n’avons pas encore gagné le combat actuel contre la vieille nature. Souvent, nous sommes absorbés par notre quotidien et par les soucis de notre entourage.

N’oublions pas que nous ne sommes jamais sans aide et sans assistance, dans la mesure où notre volonté est soumise à celle du Seigneur. « Puisqu’il m’aime, je le délivrerai ; je le protégerai, puisqu’il connaît mon nom. » – Psaume 91 : 14.

Il ne dépend que de nous, si nous préférons « parfois » seulement, nous rappeler de la grâce et de la délivrance, ou si nous voulons nous « attacher » au Seigneur et nous appuyer sur Lui dans tous nos besoins, pour que notre joie soit parfaite. Alors, notre regard percevra la grandeur et la majesté des promesses divines. Soyons des adorateurs du Père en esprit et en vérité.

TA – Juillet- Août 1997

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