15 JANVIER
« Or il arriva en ces jours-là, qu’il s’en alla sur une montagne pour prier. Et il passa toute la nuit à prier Dieu. » – Luc 6 : 12.
Qui n’a pas remarqué que tous les grands personnages bibliques employés par le Tout-Puissant avaient l’habitude d’aller régulièrement vers Lui dans la prière et de Lui demander conseil sur chaque sujet ? Même le grand Rédempteur, saint, innocent, sans tache et séparé des pécheurs, avait besoin de prier le Père – Il avait besoin de sa communion – d’être en contact avec l’Unique Infini. Certains pourraient se demander : le Tout-Puissant changerait-Il ses plans en réponse à nos prières ? Il ne le ferait certainement pas. Bien au contraire, les Écritures nous mettent en garde de ne demander que ce qui est en accord avec sa volonté. Nous sommes avertis que si nous demandons mal, nos prières ne recevront pas de réponse (Jacques 4 : 3). D’où la nécessité d’étudier la Parole de Dieu et d’être éclairés par ce moyen en ce qui concerne le programme divin afin que nous puissions demander ce qui est en harmonie avec toutes ses caractéristiques et recevoir force et encouragement en réponse à nos prières. Z’11-411 R4913:2 (Hymne 239)
17 FÉVRİER
« … votre cœur se réjouira, et nul ne vous ravira votre joie. » – Jean 16 : 22.
Quelle est cette joie que personne ne peut nous ravir, et que la persécution, l’affliction et la peine ne peuvent que rendre plus profonde, plus intense et plus douce ? Cette joie, quelle est-elle ? Cette joie est un avant-goût des bénédictions à venir, un gage de notre héritage. Elle s’inspire de la confiance qu’Il est à la fois capable et disposé à perfectionner l’œuvre qu’Il a commencée et que nous désirons voir perfectionner de sa meilleure manière ; confiants que tant que nous tiendrons fermement à ses gracieuses promesses, avec les armes de notre foi, Il ne permettra pas que nous soyons séparés de Lui. Qui nous séparera de l’amour de Dieu en Christ ? Sera-ce la tribulation ou la persécution ? Notre assurance est que personne ne peut nous ravir de la main du Père (Jean 10 : 29), et que « le Père Lui-même nous aime », et ne se détournera pas de nous aussi longtemps que nous désirerons demeurer obéissants dans son amour. Oui, nous sommes persuadés que toutes choses concourent au bien de ceux qui aiment Dieu ; confiants que Celui qui est pour nous est plus puissant que tous ceux qui peuvent être contre nous. Une telle confiance apportera certainement une joie que le monde ne peut comprendre et la paix de Dieu qui surpasse toute intelligence et qui garde le cœur. Z’97-305 R2232:1 (Hymne 226)
18 FÉVRİER
« Soyez donc imitateurs de Dieu comme de bien-aimés enfants. » – Éphésiens 5 : 1 (DARBY).
Il est grand temps d’apprendre que nous ne pouvons pas servir Dieu et Mammon, et de choisir entre ceux-ci. Si nous ne choisissons pas le Seigneur et son service et ne les plaçons pas en premier avant nos affections charnelles, nous serons considérés comme plaçant ces dernières en premier – les intérêts de l’homme naturel – et l’appréciation du Seigneur à notre égard et la récompense qu’Il nous donnera seront en rapport. Il a en effet des bénédictions pour toutes les familles de la terre, mais la bénédiction spéciale présentée dans les excessivement grandes et précieuses promesses de gloire, d’honneur et d’immortalité est pour ceux qui L’aiment par-dessus tout, plus que maisons ou terres, affaires ou biens, plus que leur famille ou leurs proches ou eux-mêmes. Notre exhortation à tous ceux qui ont tout abandonné pour suivre le Seigneur est de ne pas regarder en arrière, d’estimer que nous avons conclu le plus formidable contrat que l’on puisse imaginer, que nous sommes sur le chemin pour obtenir le plus grand prix possible, être associés à notre Seigneur dans son travail merveilleux et avec l’approbation divine. Z’06-47 R3721:4 (Hymne 312A)
21 SEPTEMBRE
« Revêtez-vous de toutes les armes de Dieu, afin de pouvoir tenir ferme contre les ruses du diable. » – Ephésiens 6 : 11
Les enfants de Dieu doivent veiller à ce qu’ils ne soient pas amenés à pécher et à servir le mal ; car dans ce cas, ils abandonneraient leur bannière et se positionneraient comme adversaires de Dieu. Lorsque les chrétiens se tiennent fermement contre Satan et ses ruses, ils sont débarrassés de ses attaques ; non pas que celui-ci les fuit parce qu’il craint de se faire du tort, mais parce qu’il les délaisse. Il se retire comme un général d’armée se retirerait d’une ville après avoir constaté que ses portes sont fortement protégées et que ses attaques seraient inutiles. Si l’Adversaire reconnaît que quelqu’un est bien protégé et qu’il lui résiste avec une volonté ferme, il se retirera de suite. Mais s’il y a quelque compromis avec le péché, quelque incitation à prendre en considération le sujet reconnu pour être un péché, une porte d’entrée est immédiatement ouverte pour l’Adversaire ; et celui-ci reviendra à l’attaque et insistera sur le fait en le présentant sous l’éclairage le plus séduisant, afin de prendre le contrôle et d’entrer dans ce cœur où il a trouvé le point faible. Il est donc d’une extrême importance pour l’enfant de Dieu de prendre une décision prompte et ferme lorsqu’il réalise qu’il est attiré par le mal. Un seul moment d’hésitation est très dangereux. Dieu a accepté de protéger ceux qui se tiennent de son côté et qui se donnent à Lui complètement et sans réserve. Il peut permettre qu’ils soient assaillis pour un moment, mais Il les délivrera, s’ils demeurent fidèles et sincères ; alors ils seront rendus plus forts au travers des tentations. Z’16-148 R5896 :6 (Cantique 44)