« Béni soit l’Éternel, qui a donné du repos à son peuple. » – 1 Rois 8 : 56.
Tandis que la création entière gémit sous le fardeau du péché et de la douleur, les quelques saints peuvent chanter, se réjouir, même au milieu de toutes les peines de la vie et même s’ils ont part aux conséquences du péché aussi pleinement ou même davantage que les autres. Le secret de leur joie est double : (1) Ils ont fait l’expérience de la réconciliation avec Dieu. (2) Ils ont soumis leur volonté à sa volonté. Ils ont obtenu cette nouvelle relation par la foi au Rédempteur ― la foi en son sang expiatoire. Ils sont entrés par la « porte étroite » et le « chemin étroit » de la consécration à Dieu ― abandonnant leur propre volonté et s’engageant à faire la volonté divine au mieux de leurs capacités. Z’11-381 ; R4892:5 (Hymne 186)