Près d’une centaine de frères, de sœurs et d’amis de la Vérité ont eu le privilège de s’assembler pendant ces deux journées, afin de louer et glorifier l’Eternel, de chanter des cantiques à sa gloire et en son honneur, d’écouter et de se réconforter à travers les différents sujets que les frères orateurs avaient préparés, dans une ambiance fraternelle et sous le regard bienveillant de notre Seigneur.
La conférence a débuté le samedi à 15h sous la présidence du frère Marius Kwarciak. Après les informations d’usage, le frère président, conformément au programme établi, invita les trois frères orateurs à présenter leur sujet :
Le frère David Skarbek développa son exposé sur ce qui s’est passé entre la Pâque et la Pentecôte. Il rappela les importants événements qui se produisirent au cours de ces 50 jours de transition, avec la mort de notre Seigneur, l’Agneau de Dieu, sa résurrection, puis ses apparitions avant son ascension vers le Père.
Le frère Marek Sikora rappela les grands hommes de Dieu dans l’Ancien Testament, et prit l’exemple du Roi David, qui fut un type de notre Seigneur. Sa vie, sa personnalité, son comportement, sa confiance en Dieu ainsi que les nombreuses leçons à en tirer, tel fut le contenu de l’exposé que le frère souhaita partager avec l’assistance.
Le frère Daniel Mlynek incita chacun à la réflexion : Sommes-nous riches, sommes-nous pauvres ? Quelles richesses possédons-nous, sont-elles celles du monde ? Le frère prit pour texte de base les paroles de Jean-Baptiste en Jean chapitre 3, verset 27 : « Un homme ne peut recevoir que ce qui lui a été donné du ciel ».
Pour clore cette première journée, des diapositives concernant le voyage du frère Sikora en Inde furent projetées après le repas du soir.
La présidence du deuxième jour de conférence, qui débuta à 9h, fut assurée par le frère Paul Brychcy. Après la lecture de la Manne du jour et des vœux à l’Eternel, le frère président invita les frères orateurs suivants :
Le frère Régis Liberda rappela le débat public qui eut lieu le soir à Cincinnati (Ohio) du 23 au 28 février 1908 entre le pasteur C.T. Russel et le révérend de « l’Église du Christ », L.S. White, chacun ayant une interprétation souvent différente, concernant le plan de Dieu. Quelles leçons pouvait-on tirer de ce débat ? C’est ce que le frère développa lors de son exposé.
Le frère Marek Sikora prit pour texte de base le Psaume 125 versets 1 et 2 : « Ceux qui se confient en l’Eternel sont comme la montagne de Sion : elle ne chancelle point, elle est affermie pour toujours. Des montagnes entourent Jérusalem ; ainsi l’Eternel entoure son peuple, dès maintenant et à jamais. » Comment allons-nous nous comporter dans les épreuves et les difficultés ? Gardons-nous toujours une totale confiance en l’Eternel ? Le frère, lors de cet exposé, apporta quelques réponses aux différentes questions.
Le frère Francis Gikière rappela les paroles citées en Jean chapitre 18, verset 38 : « Qu’est -ce que la Vérité ? » Être dans la Vérité, connaître la Vérité, qu’est-ce que cela veut dire ? Qu’est-ce que la Vérité Présente ? Quelle est l’influence bienfaisante de la Vérité, quelles sont les bénédictions qui en découlent ? Sur ces interrogations, le frère partagea ses pensées.
Le frère Daniel Wozniak prit le Psaume 91 en référence. Dans ces versets, l’auteur parle de refuge, de forteresse, d’abri. Nous sommes, en tant qu’enfants de Dieu, sous la protection du Seigneur, nous sommes en parfaite sécurité si nous restons à ses côtés. C’est ce que l’auteur exprime dans ce Psaume et c’est également ce que le frère développa dans son exposé.
Lors de cette deuxième journée de conférence, nous avons eu la joie et le plaisir d’entendre la chorale, dirigée par le frère Henri Peau, chanter des cantiques à la gloire du Seigneur. Les plus jeunes ont eu, eux aussi, leur part d’édification, grâce au dévouement de quelques frères et sœurs et de sympathisants de la Vérité.
Nous remercions notre bon Père céleste de nous avoir accordé le privilège de cette communion fraternelle, nous remercions également tous les participants, tous les frères orateurs, les frères traducteurs, tous ceux qui ont veillé au bon déroulement de ce rassemblement. Nous remercions aussi tous ceux qui, empêchés de participer à ce festin spirituel, nous ont transmis leurs salutations. Nous souhaitons à vous tous, chers frères et sœurs, chère famille de la foi, chers amis de la Vérité, d’innombrables bénédictions divines.