CANTİQUE PENDANT LA NUİT – 7 février

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CANTİQUE PENDANT LA NUİT – 7 février

« Je suis le pain vivant qui est descendu du ciel. » – Jean 6 : 51.

Quand notre Seigneur déclara être le Pain du ciel beaucoup de ses auditeurs ne comprirent pas la métaphore et dirent : « Cette parole est dure » (Jean 6 : 60). Cet homme va-t-il nous donner sa chair à manger ? Ils n’ont pas compris que notre Seigneur personnifiait la vérité, le grand plan de Dieu centré en Lui, la vie qu’Il était venu donner pour le monde, pour que nous vivions par Lui. Manger littéralement la chair de Jésus aurait simplement produit de la chair, mais manger « de Lui », dans le sens de participer aux bénédictions et à la miséricorde de Dieu pourvues en Lui et dans le sens de s’approprier son esprit et sa nature, est la pensée appropriée. Assimilant les qualités de notre Seigneur, elles deviennent nôtres ; nous nourrissant de Lui dans nos cœurs, nous devenons forts dans la foi et dans toutes les grâces de son Esprit. Récoltons quotidiennement notre part de manne et cherchons quotidiennement à l’utiliser pleinement, et comprenons bien que ce sera notre part jusqu’à ce que nous atteignions la Canaan céleste. Il est certain alors que tout l’apport de grâce divine dont les fidèles du Seigneur font l’expérience devrait stimuler notre foi et notre confiance en Celui qui nous a appelé des ténèbres à sa merveilleuse lumière. Z’07-186 R4012:5 (Hymn 71)

CANTİQUE PENDANT LA NUİT – 8 février

« Réjouissez-vous en l’Éternel, et égayez-vous, justes ! et jetez des cris de joie, vous tous qui êtes droits de cœur. » – Psaume 32 : 11 – Darby.

Nous sommes convaincus que tous nos lecteurs apprécient de plus en plus ce message béni — se réjouir en l’Éternel — une chose très différente que de se réjouir des choses insignifiantes de ce monde. Celui dont les affections sont fixées sur cette terre rencontrera continuellement des tribulations qui entraveront sa joie. Mais celui qui a placé son affection sur les choses d’en haut, sur l’Éternel et les choses glorieuses qu’Il nous a promises, peut vraiment se réjouir, car notre Dieu ne change pas. « Pas une seule de ses bonnes promesses ne fera défaut ». Que tous ceux qui sont sincères dans leur espérance, dans leurs intentions, dans leurs efforts, proclament les louanges du Seigneur et poussent des cris de joie, non seulement parce que leurs imperfections involontaires selon la chair sont couvertes, mais aussi à la pensée que le règne de justice, le royaume millénaire, est maintenant proche, et que sous sa domination toutes les familles de la terre seront bénies après que le grand Adversaire, Satan, aura été lié. Z’08-331 R4273:4 (Hymn 248)

CANTİQUE PENDANT LA NUİT – 9 février

« … tu te souviendras de l’Éternel, ton Dieu … » – Deutéronome 8 : 18 – Darby.

Plus nous entrons en possession des bénédictions spirituelles que l’Éternel nous a promises, et que nous avons acceptées par la foi, plus nous aurons besoin d’humilité ; et notre humilité sera proportionnelle à notre appréciation de la bonté divine et à notre reconnaissance en retour. Le cœur reconnaissant, rempli de gratitude, peut aller de grâce en grâce, de force en force, de connaissance en connaissance, de réussite en réussite ; mais si la gratitude commence à s’émousser et que nos progrès sont acceptés comme relevant de notre propre réussite ou de la chance, dans la même proportion, nous nous refroidirons spirituellement, et avec l’ingratitude viendra l’impiété, la suffisance spirituelle et l’orgueil, et tout cela conduira à la stérilité spirituelle, et si l’on persiste, à la mort spirituelle. Z’02-286 R3080:2 (Hymn 179)

CANTİQUE PENDANT LA NUİT – 4 mai

« Car ce Dieu est notre Dieu, pour toujours et à perpétuité ; il sera notre guide jusqu’à la mort. » – Psaume 48 : 14 – Darby.

C’est à nous de rechercher actuellement les providences de l’Éternel dans nos affaires, et de trouver qu’elles nous guident, qu’elles nous protègent du feu de la persécution, de la tribulation et de l’épreuve, et qu’à d’autres moments elles nous éclairent, nous rafraîchissent dans les heures sombres. Et cette direction de la providence divine est destinée à être nôtre tant que nous faisons partie du véritable İsraël de Dieu, jusqu’à ce que nous passions le Jourdain pour entrer dans la Canaan céleste et que nous n’ayons plus besoin de ces providences spéciales. Bénis sont ceux dont la foi est éveillée et en alerte, et qui discernent les faveurs de l’Éternel que le monde ne discerne pas, et que seuls ceux qui ont la bonne attitude d’esprit peuvent apprécier. Z’07-155 R3997:3 (Hymne 87)

CANTIQUE PENDANT LA NUIT – 5 mai

« Béni soit le Seigneur, qui, de jour en jour, nous comble [de ses dons]. » – Psaume 68 : 19 – Darby.

Que notre Dieu est aimant et tendre, sage et fort ! Ses promesses n’ont jamais fait défaut à ceux qui ont mis leur confiance en Lui. Nous pouvons avoir l’impression que nos efforts pour être bons et faire le bien sont très improductifs, que l’opposition de l’extérieur et de l’intérieur est très forte. Mais c’est lorsque nous sommes faibles, lorsque nous réalisons notre impuissance et notre incompétence, que nous pouvons être forts dans le Seigneur et dans la puissance de sa force. C’est alors que nous pouvons réaliser que sa force est rendue parfaite dans notre faiblesse. Le fait que nous soyons faibles et boitillants ne nous sépare pas de l’amour et de la puissance de notre Dieu, alors que nous nous efforçons d’accomplir sa volonté ; car « il sait de quoi nous sommes faits, il se souvient que nous sommes poussière. » (Paume 103 : 14 – Darby) Z’15-345 R5803:2 (Hymne 185)