L’amour que Dieu manifeste pour l’Eglise est différent
de celui qu’Il a pour le monde.
Par la désobéissance d’Adam, sa postérité devint étrangère à Dieu. — Par son obéissance Jésus procura à l’humanité la possibilité de rentrer en faveur auprès de Dieu.— Justification et sanctification. — La nouvelle création mise à l’épreuve dans sa fidélité et son obéissance. — Le Messie composé de plusieurs membres. — Les richesses de l’amour divin surpassent tout autre amour
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Texte : « Le Père lui-même vous aime » (Jean 16:27).Ce verset est l’un des plus beaux de la Bible. Si nous réfléchissons à la grandeur de Dieu et à la petitesse de l’homme, si nous pensons jusqu’à quel point le péché a enlevé ce qui constituait l’image de Dieu dans l’homme, nous nous représenterons un peu ce que ces paroles signifient. Nous ne nous étonnons pas que Dieu puisse aimer les anges qui sont parfaits, qui n’ont aucun défaut, aucune tare quelconque, mais les humains, comment peut-Il les aimer ? Nous lisons dans Jean 3:16 : « Dieu a tant aimé le monde qu’Il a donné son Fils unique, afin que quiconque croit en lui ne périsse point, mais qu’il ait la vie éternelle. » Ce passage nous montre certains côtés du grand amour de Dieu, l’amour qu’Il a pour le monde, les humains en général.
L’AMOUR QUE DIEU MANIFESTE POUR LE MONDE
Dieu a pour l’humanité en général un amour compatissant, non pas l’amour que nous pourrions désigner par le terme affection, car il n’y a rien dans l’homme déchu qui mérite de la part de Dieu cet amour-là. Dieu ressent, à l’égard des humains, le sentiment qu’on éprouverait pour un chien ou un chat blessé, nous banderions sa patte et nous lui donnerions à manger. Dieu, de même a vu quelles difficultés, quelles souffrances l’humanité s’est attirées par la malédiction qui tomba sur Adam à cause de sa désobéissance à l’ordre de son Créateur. L’homme par son péché avait éloigné de lui la miséricorde et la compassion divines à tel point que Dieu a élaboré un plan grandiose pour son salut. Selon sa décision, la mort de notre Seigneur Jésus-Christ, qui serait le prix de notre rançon nous rachèterait, non des tourments éternels mais de la mort ; car si nous n’étions délivrés de cette condition de mort complète, nous ne jouirions d’aucune vie future quelconque.
La première chose que fit le Seigneur pour l’homme fut ainsi de changer son état de mort en un état de sommeil. Au lieu de périr comme les animaux, l’homme s’endort et attend le matin de l’ère nouvelle lorsque notre Seigneur appellera ceux qui dorment et les fera sortir de leur tombeau. (Jean 5:28, 29). Le Seigneur les ressuscitera pour leur donner l’occasion d’être ramenés à la perfection dans le paradis établi sur toute la terre, c’est-à-dire d’être rétablis à la condition dans laquelle se trouvait Adam avant sa chute ; il leur sera possible d’obtenir cela par la mort de notre Seigneur Jésus-Christ. Cette oeuvre de rétablissement a pour but de relever les humains de leur condition de péché de misère et de mort et de leur rendre tout ce qui fut perdu en Eden. L’apôtre Pierre nous dit que les saints prophètes ont tous parlé de ce rétablissement (Actes 3:19-23). Dans leurs écrits, ils parlent en effet à maintes reprises des temps bénis où tous ceux qui seront obéissants et de bonne volonté rentreront en communion avec Dieu et où tous les méchants seront détruits dans la seconde mort.
L’AMOUR QUE DIEU MANIFESTE POUR L’EGLISE
Bien au-dessus de l’amour que Dieu ressent pour l’humanité, il y a l’amour, mentionné dans notre texte. Dieu a tellement aimé le monde qu’Il a fait le nécessaire pour le racheter du péché et de la mort ; quant à l’Eglise, les disciples de Christ tout au cours de l’ère chrétienne, Jésus dit cette parole : « Le Père lui-même vous aime ». Les Saints uniquement font partie de cette classe, ceux qui ont fait alliance avec Dieu par Christ (Psaume 50:5). Ceux qui se sont contentés de se détourner du péché et de dire : « J’ai assez de cette vie de péché, je n’en veux plus », ceux-là n’en font pas partie. De ceux-là, le Père céleste ne s’occupe pas pour le moment ; ils sont considérés comme faisant toujours partie du monde condamné, ils sont toujours des enfants de colère comme les autres, car ils n’ont pas fait le seul pas qu’il leur restait à franchir pour devenir enfants de Dieu, d’enfants de colère qu’ils sont.
Nous ne devons pas croire que le Père céleste aime sans discernement ; s’Il aime quelqu’un, Il a une raison pour le faire ; si donc notre Seigneur Jésus adresse les paroles de notre texte à une certaine classe de personnes, c’est parce que ces personnes ont quelque chose dans leur caractère qui les rend dignes de l’amour du Père céleste. Elles se sont données entièrement à Dieu pour faire sa volonté, voilà ce qui les rend dignes de son amour ; elles sont rentrées dans la famille de Dieu, sont redevenues ses enfants. Jean 1:12, 13.
ADAM PERDIT TOUT DROIT A L’AMOUR DE DIEU
Adam, à sa création, était un fils de Dieu mais il pécha et perdit tout droit à cet amour. Lorsqu’il tomba sous le coup de la sentence de mort : « Au jour où tu en mangeras, tu mourras certainement », il perdit toute communion avec Dieu ; lui et toute sa postérité devinrent des pécheurs, demeurèrent sous la sentence de mort et furent dès lors indignes que Dieu s’occupât d’eux et prit soin d’eux. Dieu n’a cependant pas retiré toutes ses bénédictions aux humains ; Il a laissé son soleil luire sur eux, Il leur a donné la pluie et d’autres bénédictions temporelles ; d’autre part, Il s’est tenu à l’écart et a considéré les hommes comme des étrangers ; ces derniers perdirent tout droit à l’amour de Dieu.
Dès lors tous les humains naquirent dans cette condition qui ne peut plaire à Dieu ; les membres de l’Eglise ne font pas exception à cette règle ; pourquoi donc le Père céleste aime-t-Il ceux qui se sont consacrés en se donnant entièrement à Lui ? Dieu les aime parce que, selon les enseignements de la Bible, ils entrèrent dans la famille du Père céleste et leur condition changea complètement. Il n’y a qu’une voie pour rentrer en communion, en harmonie avec le Père ; Jésus est ce chemin, car, comme le dit la Bible, pour accomplir les plans de Dieu, notre Seigneur Jésus se donna Lui-même en sacrifice avec tous les droits qu’Il possédait comme homme ; les mérites de ce sacrifice seront mis au bénéfice d’Adam et de toute sa race, au temps marqué par Dieu. La mort de Christ est le prix satisfaisant pour le péché de l’humanité entière. Si le monde n’a pas encore bénéficié de ce sacrifice, une certaine classe de personnes en bénéficie avant le reste de notre race, ce sont les personnes que Dieu a invitées, auxquelles Il a fait la proposition de sortir du milieu du monde. Le Seigneur dit en parlant d’elles : « Ils ne sont pas du monde, comme moi je ne suis pas du monde. » — Jean 17:16.
LE PREMIER PAS A FAIRE EST LA JUSTIFICATION
Ces disciples-là auxquels Jésus s’est adressé sont sortis du milieu du monde : ils ont tout abandonné pour devenir des élèves à son école, pour faire ce qui est bien de la meilleure manière possible ; dès lors leur principal but et leur ambition furent d’être des enfants de Dieu. Le premier pas à faire dans cette voie est la justification, qui consiste à rendre l’être humain juste et droit. Justification et justice expriment la même idée ; la même pensée peut être présentée de différentes manières. Il faut que tout soit mis en règle entre nous et Dieu avant qu’Il consente à s’occuper de nous.
Dieu a laissé les humains faire leurs expériences dans le péché et la mort pendant six longs jours ou périodes de mille ans ; tout ce temps leur fut accordé pour qu’ils puissent faire leurs essais dans le but de se libérer du péché et des conditions de mort ; nous avons tristement échoué en cela. Le peuple le plus intelligent s’est montré incapable de se libérer de l’esclavage du péché et de la mort qui règne sur le monde entier. Le temps fixé par Dieu pour la délivrance de l’humanité est le grand sabbat du Seigneur, le jour de mille ans du règne de Christ ; alors Jésus sera associé avec son Eglise, le petit troupeau, pour bénir toutes les familles de la terre. — Genèse 22:18.
Au cours de sa semaine de travail (c’est-à-dire les six mille ans qui se sont écoulés depuis la création d’Adam), notre race a appris une dure leçon sur le péché et sur ce qu’elle pouvait faire pour s’en libérer. Si nous considérons ce qui se passe sur notre continent, nous nous rendons compte de l’oeuvre que les passions diaboliques des humains peuvent accomplir, et le mal n’est qu’au début, il s’aggravera bien davantage. Avec toutes nos prédications et tous nos enseignements religieux, avec notre médecine et notre chirurgie, nous n’avons pas réussi à améliorer notre race dans une grande mesure. Lorsque nous constatons quelle oeuvre néfaste le péché a accomplie, nous sommes saisis d’effroi à la pensée du péché, nous nous rendons compte que le péché est le plus terrible ennemi de l’homme. Quand les hommes comprendront vraiment ces choses, ils comprendront aussi que l’entrée du péché dans le monde est le plus épouvantable désastre qui pouvait survenir.
COMMENCEMENT DE LA NOUVELLE CREATION (Christ et son Eglise.)
Dans le but de remplir le programme élaboré par Dieu pour le salut de la race humaine, le Seigneur Jésus-Christ devait accomplir le sacrifice de Lui-même, ensuite les membres de l’Eglise devaient être rassemblés d’entre toutes les nations et, après cela, le règne de mille ans de Christ pourrait commencer. Jésus donna sa vie sans réserve et de plein gré au Père céleste lors de sa consécration au bord du Jourdain ; Dieu posa alors le fondement d’une nouvelle création par l’engendrement de son Fils à la nature divine par l’Esprit saint. A sa sortie des eaux du baptême, le saint Esprit descendit sur Lui, L’oignit en vue de l’oeuvre glorieuse qu’Il devait accomplir comme Roi puissant et souverain Sacrificateur pour les humains.
Lorsque le Père arrêta ses dispositions pour la nouvelle création en vue du salut des humains, Il voulut que les nouvelles créatures fussent une classe d’individus résolus à abandonner tous leurs droits humains, à déposer tout à ses pieds, désirant connaître et accomplir la volonté divine. Notre Seigneur fut le commencement de la création de Dieu (Apocalypse 3:14), c’est pourquoi le Père désirait Lui donner la place la plus élevée dans cette nouvelle création. Il ne fut jamais offert aux anges, comme à Jésus, une occasion de prouver leur fidélité à Dieu, d’abandonner leur vie céleste pour passer à une existence inférieure, à la vie terrestre : les anges ont été fidèles en tout ce que Dieu demande d’eux, mais Il ne leur présenta pas cette épreuve-là.
Le Père céleste manifesta un amour spécial pour le Fils en l’oignant du saint Esprit lorsque, au début de son ministère, à l’âge de 30 ans, Jésus se donna sans réserve à son Père en disant : « Voici, je viens (dans le rouleau du livre il est question de moi) pour faire, ô Dieu, ta volonté ». (Hébreux 10:7) ; Dieu L’éprouva pendant trois ans et demi et Le trouva digne de recevoir l’honneur, la gloire, la force et la puissance (Apocalypse 5:12). Combien nous pouvons nous réjouir de la victoire de notre Sauveur ! Combien nous L’aimons et L’adorons pour la même raison que le Père le fit ! N’était-Il pas vraiment un grand caractère ?
LE CORPS DE L’OINT
L’apôtre nous dit qu’il y avait une partie des plans de Dieu relatifs au salut de l’humanité qui resta cachée dans le passé, c’est celle-ci : Christ ne doit pas rester seul, mais Il doit avoir un corps, c’est-à-dire des membres, une Eglise. Dieu « l’a donné pour chef (ou tête) à l’Eglise, qui est son corps » (Ephésiens 1:19-21). Personne ne savait autrefois que le Messie devait être composé de plusieurs membres et que ses membres devaient être choisis d’entre toutes les nations. Les Juifs attendaient simplement un Messie : ils avaient lu quelque chose de la gloire qui l’attendait. Mais ils pensaient à une personne et à sa gloire et ils ne savaient pas qu’une occasion leur serait offerte de faire partie de la classe d’individus formant ce Messie. Les Juifs attendent encore ce Messie-là. Le Seigneur, par la bouche de Saint-Paul, nous dit que dans le corps de Christ il y aurait des Juifs et des gentils, qu’ils formeraient ensemble un homme nouveau, un Christ complet, Jésus étant la Tête et l’Eglise le corps (Ephésiens 2:11-16 ; 4:11-16). Les premiers membres de ce corps furent des Juifs, car c’est à leur nation que l’appel fut tout premièrement adressé, parce qu’elle était la postérité d’Abraham selon la chair. Dieu avait dit à Abraham qu’Il favoriserait les Juifs : il y eut un grand nombre d’entre eux qui furent prêts à répondre à cet appel : c’est magnifique de le constater ! Vingt-cinq mille Juifs répondirent probablement aux premiers appels du message évangélique ; ils montrèrent que leur consécration à Dieu pour suivre ses voies était profonde et sincère.
La porte s’ouvrit ensuite pour les gentils ou nations ; parmi eux un petit nombre seulement était prêt pour recevoir cet appel, c’est pourquoi il fallut dix-neuf siècles pour rassembler d’entre les nations un nombre suffisant des disciples de Christ qui formeraient le nombre exact prédestiné des membres de l’Eglise. Si les gentils avaient été consacrés comme les Juifs, le nombre requis eût été complété au cours du premier siècle de l’ère chrétienne. Les gentils, eux, n’avaient pas eu les enseignements de la loi pour leur venir en aide dans cette voie-là. C’est pourquoi il fallut un temps plus long pour trouver parmi eux un nombre proportionnel d’élus. Nous avons donc été appelés du milieu du monde pour devenir des disciples de Jésus. Il nous a été demandé une consécration pareille à celle de notre Maître ; il nous a été offert le même Esprit saint, l’Esprit d’onction, que nous devions ensuite manifester dans notre vie.
MERITES DE CHRIST IMPUTES À L’EGLISE
Pendant l’âge évangélique, le Père n’appelle que les personnes qui ont l’esprit de son Fils, qui sont disposées à marcher par la foi et à obéir. Il n’est pas possible à ces personnes-là de se montrer obéissantes au même point que Jésus à cause de leur chair imparfaite, mais elles ont le même esprit d’obéissance, elles ont le désir, la volonté d’obéir. Il nous est permis d’avoir n’importe quel désir relativement à notre vie et Dieu regarde au désir, à la volonté ; Il sait mieux que nous-mêmes que nous ne pouvons faire les choses que nous voudrions faire. L’apôtre Paul dit : « Je ne me juge pas non plus moi-même… Celui qui me juge, c’est le Seigneur ». (1 Corinthiens 4:3, 4). Paul même ne savait jusqu’à quel point il devait être indulgent pour lui-même ; nous ne savons pas mieux que lui jusqu’où nous devons pousser l’indulgence à l’égard de nous-mêmes, de nos voisins, de nos amis, de nos frères, c’est pourquoi le Seigneur nous dit de ne pas nous juger les uns les autres, « car, dit-Il aussi, on vous jugera du jugement dont vous jugez. »
Les aptitudes de juger autrui prouvent chez un individu qu’il connaît exactement ce qu’est une parole ou un acte mauvais, et il est d’autant plus responsable. Nous devons aider notre prochain autant qu’il nous est possible de le faire et laisser au Seigneur le soin de soumettre chacun à sa discipline ; Lui seul connaît par quelles expériences Il doit faire passer les siens. Ses enfants doivent donc éviter de juger, de condamner, de trouver les autres en faute. Laissez à Dieu le soin de juger et de punir s’Il le trouve nécessaire.
Dans l’âge millénaire, les humains mettront simplement de côté le péché et essayeront de vivre une vie aussi conforme que possible à la justice, alors Dieu les amènera à la perfection. Maintenant, c’est différent pour eux ; Jésus impute une certaine mesure de ses mérites à ceux qui croient qu’Il a fait le nécessaire pour effacer leurs péchés, Jésus le fait aussitôt que leur consécration est acceptée par Dieu. Supposons pour donner un exemple, que celui qui s’offre à Dieu dans une consécration complète ne représente que le vingt pour cent d’un être humain parfait ; s’il a la volonté de donner à Dieu sa maigre offrande au complet, c’est-à-dire tout ce qu’il est et tout ce qu’il a, notre Seigneur Jésus lui impute quatre vingt pour cent de ses propres mérites pour parfaire ceux qui manquaient au consacré pour qu’il possédât en lui au complet les mérites possédés par un être humain parfait c’est-à-dire le cent pour cent. Après cela notre Seigneur en qualité de souverain sacrificateur prend l’offrande complète (composée pour les quatre vingt pour cent de ses propres mérites et, pour le reste, des vingt pour cent de ceux de l’individu), Il la présente au Père. C’est lorsque nous avons accompli le même acte que Jésus avait accompli que le Père commence à nous aimer d’un amour tout spécial.
MAINTENEZ-VOUS DANS L’AMOUR DE DIEU
L’amour du Père, qui prend naissance en nous au moment où Dieu nous engendre par son Saint Esprit, continue à croître aussi longtemps que nous sommes fidèles, il croît en raison de notre fidélité ; si un jour nous étions infidèles, à l’exemple de Judas, le Saint Esprit nous serait retiré. Il y a pardon pour des erreurs commises à cause de certaines faiblesses de la chair, mais l’infidélité à l’égard du Seigneur ne sera pas pardonnée ; un péché contre le Saint Esprit ne sera jamais pardonné.
Nous devons prendre garde de ne pas nous laisser envahir par l’esprit de Judas, de ne pas trahir le Seigneur, la vérité ou les frères pour trente pièces d’argent sous quelque forme que ce soit. Certaines personnes trahissent le Seigneur en disant que leur commerce nécessite l’emploi de procédés iniques ; d’autres Le trahissent en ne prêchant pas ce qu’ils devraient prêcher, ils savent qu’ils défigurent le caractère de Dieu ainsi que sa Parole et qu’ils se présentent eux-mêmes sous un faux jour en agissant ainsi, mais, disent-ils, nous devons gagner notre vie. Pourquoi Jésus confesserait-Il ces individus-là devant le Père Céleste et les saints anges ? Le Seigneur seul dira s’ils sont dignes de la seconde mort. Il est certain qu’ils ne pourront faire partie du Corps de Christ.
A quel honneur immense Dieu ne nous a-t-Il donc pas conviés ? Ceux qui ont été engendrés du Saint Esprit ont été oints dès ce jour pour être rois et prêtres de Dieu et pour régner avec Christ pendant mille ans. Toutes leurs expériences sont accompagnées de tribulations, mais avec ces tribulations ils ont aussi la paix de Dieu qui surpasse toute intelligence humaine. Selon la Bible, toutes choses sont à eux, car ils sont à Christ et Christ est à Dieu qui a promis que sa grâce suffirait pour chaque épreuve. Les adversités de la vie même concourent ensemble à leur bien parce qu’ils aiment Dieu et sont appelés selon son dessein.