Dans sa grande bonté, Dieu vient de nous permettre d’entamer cette nouvelle année 2004. Certains d’entre nous ne sont plus là. C’est donc avec un cœur débordant de gratitude que nous adressons à notre bon Père céleste nos remerciements du fait de nous trouver encore en vie et de nous accorder le privilège de Le louer toujours mieux et davantage, ainsi que son Fils, notre cher Rédempteur.
Nous Lui sommes particulièrement reconnaissants de nous avoir aidés à surmonter toutes les épreuves et toutes les difficultés de l’année écoulée, nous permettant ainsi de fortifier notre foi et notre confiance en Lui. « Comment rendrai-je à l’Eternel tous ses bienfaits envers moi ? J’élèverai la coupe des délivrances, et j’invoquerai le nom de l’Eternel » – Psaume 116 : 12, 13.
Les événements dramatiques qui se passent autour de nous et qui prennent des proportions alarmantes, nous rappellent que nous vivons dans les temps « de la fin » prédits par les Ecritures. « Une nation s’élèvera contre une nation, et un royaume contre un royaume, et il y aura, en divers lieux, des famines et des tremblements de terre » – (Matthieu 24 : 7). Notre Seigneur nous encourage à tenir ferme lorsqu’Il déclare : « Quand ces choses commenceront à arriver, redressez-vous et levez vos têtes, parce que votre délivrance approche » – Luc 21 : 28.
Ces événements nous incitent à scruter toujours davantage le plan de Dieu, selon la recommandation de l’apôtre Paul : « Affectionnez-vous aux choses d’en haut, et non à celles qui sont sur la terre » – Colossiens 3 : 2.
Nous souhaitons à tous les lecteurs du « Messager », une année riche en grâces et en bénédictions divines, et particulièrement profitable quant aux choses spirituelles attachées à notre salut.
Que la force de notre foi vivante en Dieu et en ses promesses, nous conduise vers notre destinée finale à laquelle nous aspirons – « Sois fidèle jusqu’à la mort, et je te donnerai la couronne de vie » – Apocalypse 2 : 10.
Le comité de rédaction
JOIE
« Dieu aime celui qui donne avec joie. » – 2 Corinthiens 9 : 7.
Ceci n’est pas seulement vrai pécuniairement parlant, comme on l’applique généralement, mais aussi à l’égard de toutes les petites offrandes et des petits sacrifices que nous faisons pour Lui et pour sa cause. Si nous voulons être agréables au Seigneur, grandir dans sa faveur et dans son intimité, amenons de plus en plus nos cœurs dans la condition qu’Il approuve et qu’Il aime, à savoir : l’empressement, l’allégresse, la promptitude dans chaque service que nous pouvons rendre. La difficulté pour beaucoup de chrétiens, c’est qu’ils ne connaissent pas com-plètement la grand privilège dont nous jouissons dans cet Age de l’Evangile, de pouvoir présenter au Seigneur nos petits sacrifices, nos petits renon-cements à nous-mêmes, avec l’assurance que nos œuvres imparfaites seront agréables à Dieu par Christ.