« L’Éternel t’ouvrira son bon trésor ». – Deut. 28 : 12.
Et maintenant le jour du Seigneur est venu : nous vivons maintenant dans les jours de la parousia (présence) du Fils de l’Homme, du « Seigneur de la Moisson », « ayant sur sa tête une couronne d’or [l’autorité divine] et dans sa main [en son pouvoir] une faucille tranchante » – la faucille de la vérité présente, la révélation claire de la « Parole de Dieu [qui] est vivante et opérante, plus pénétrante qu’aucune épée à deux tranchants… et [qui] discerne les pensées et les intentions du coeur ». (Hébr. 4 : 12 ; Matth. 9 : 38 ; Apoc. 14 : 14). Le Seigneur envoie maintenant des « ouvriers », des « anges » ou « messagers » dans cette Moisson comme Il l’a fait pendant la Moisson de l’Age judaïque. Ces ouvriers, anges ou messagers sont Ses fidèles disciples consacrés qui portent le Message de la Moisson, c’est-à-dire le Plan de Dieu maintenant entièrement révélé avec ses temps et saisons fixés d’avance. W.T. 1362-1892.
« L’Eternel, ton Dieu, marchera lui-même avec toi, il ne te délaissera point, il ne t’abandonnera point ». – Deut. 31 : 6.
Il peut arriver que les choses paraissent très sombres aux membres du peuple de l’Eternel, mais ceux-ci ne sont pas au désespoir et ne seront pas au désespoir quoi qu’il arrive, car l’Eternel a dit qu’Il ne nous délaissera jamais et ne nous abandonnera jamais. Cette gracieuse promesse devrait former en nous une espérance sûre et solide. Notre espérance, comme une ancre, devrait être ferme. Notre position, par conséquent, est très différente de celle des gens du monde qui n’ont pas d’espérance particulière. Le monde n’a pas d’ancre solide, ni de promesses pour l’aider à rester ferme. Nous savons, en mettant les choses au pis, que même si nous devions mourir d’inanition, notre espérance résiderait au-delà du voile, au-delà de la mort. Par conséquent, les saints de Dieu aujourd’hui considèrent la mort comme le portail par lequel ils peuvent entrer dans une plénitude de vie et parvenir à la réalisation de toutes leurs espérances et leurs joies. W.T. 5671-1915.