Clés de la Bible: six magnifiques volumes par le pasteur Russell du Brooklyn Tabernacle.
Nos lecteurs, surtout de langue anglaise, ont fait connaissance avec le pasteur Russell, par la lecture de ses sermons, qui sont publiés dans plus de 1200 des principaux journaux des Etats-Unis, de l’Angleterre et du Canada.
Nous savons qu’un certain nombre de lecteurs possèdent déjà les ouvrages célèbres du pasteur Russell, qu’ils les lisent avec joie et profit, tant au point de vue intellectuel qu’au point de vue spirituel, car plus de 4 millions d’exemplaires du premier volume, le Plan de Dieu, sont répandus dans le monde. La Société biblique et de traités de Brooklyn. N. Y., 13—17. Hicks Street, vend les volumes au prix de revient, afin de leur assurer une grande circulation. Leur bas prix les met à la portée de tous.
255 Décembre 1912
Nous donnons ci-après un aperçu des prix de Ces livres d’études bibliques. On pourra se rendre compte qu’ils sont bon marché (vendus aux prix exacts «le revient». Deux volumes sont traduits en français, des brochures et des explications des autres volumes ainsi que des études bibliques dans le journal: « La Tour de Garde ». On peut aussi se procurer ces livres pour les Pays français en s’adressant comme suit: Société de Bibles et de traités. « Tour de Garde» 10. rue de la Tour Maîtresse. 10, Genève (Dr. E. Lauz. directeur».
Série I. Trois volumes élégamment reliés de plus de 1100 pages, pour 5 frs.. port en plus, le tout payé d’avance.
Série Il. Trois volumes assortis de près de 1900 pages pour 6 frs. Naturellement. le coût si extraordinairement peu élevé de ces livres a tenté l’avarice de certains trafiqueurs qui cherchent à revendre 50 francs les deux séries qui ne leur en ont coûté que frs. 11.
Les lecteurs liront avec intérêt le paragraphe ci-dessous publié par le journal américain: « Le Philosophe du Sud » au sujet du 1 er volume de la série 1:
Il est impossible de lire ce livre sans en aimer l’auteur, sans méditer sur son étonnante solution des grands mystères qui nous ont troublés toute notre vie. On aurait de la peine à trouver une famille qui n’ait pas perdu un de ses bien-aimés en dehors du l’Eglise. — c. à d. mort en dehors du plan du salut, et, selon le calvinisme, jeté sans espérance dans les tourments et le désespoir. Nous faisons taire nos sentiments et nous nous détournons de cet horrible tableau; nous n’osons pas renier la foi de nos pères, et cependant, est-il possible, disons-nous, que la bonne mère et son enfant qui s’est égaré, soient séparés pour toujours, pour l’éternité.
Je crois que c’est la raideur de ces enseignements qui crée les athées, les incrédules et les sceptiques, qui rend les chrétiens malheureux et fait descendre leurs cheveux blancs avec douleur au sépulcre: « un enfant perdu, une âme perdue »
Ce magnifique livre ne fait pas d’assertion que La Bible ne soutienne parfaitement: il est édifié pierre après pierre et sur chaque pierre se trouve le texte. C’est une pyramide de l’amour de Dieu, de sa miséricorde et de sa sagesse.
Il n’y a rien dans les Ecritures qui soit démenti par l’auteur ou duquel il doute: au contraire, il fait briller un flot de lumière sur beaucoup de textes, de sorte qu’il en enlève la signification obscure. Je vois que les éditeurs des grands journaux ainsi que beaucoup de pasteurs orthodoxes de toutes les dénominations ont adopté et confessé la lumière nouvelle et consolante qui s’est levée par cette interprétation du livre de Dieu. Que chacun lise ce livre, le médite et en reçoive la consolation qu’il cherche, car nous sommes «les prisonniers de l’espérance ». Nous sommes dans un temps de pensées avancées, dans un temps où l’on pense plus que jamais on ne la fait, où les hommes osent penser.
La Société ne demande jamais de dons, mais elle emploie les contributions volontaires d’une manière sage et économique pour la propagation et l’avancement des connaissances chrétiennes, selon les vues des Etudes des Ecritures. Elle fait circuler chaque année des millions de traités et de journaux gratuits dans toutes les langues de l’Europe.