« Et toute cette multitude saura que ce n’est ni par l’épée ni par la lance que l’Éternel sauve. Car la victoire appartient à l’Éternel. Et il vous livre entre nos mains. » – 1 Samuel 17 : 47.
Quelle leçon la Nouvelle Création peut-elle retenir actuellement de cette histoire du passé ? David, dont le nom signifie « bien-aimé », sous beaucoup de rapports typifie le Christ, Tête et Corps. Ses expériences avec Goliath illustrent bien, en premier lieu, le conflit de notre Seigneur avec l’Adversaire pendant les quarante jours de tentation dans le désert. La victoire de notre Seigneur sur Satan à cette occasion, sa loyauté envers le Père et la mission qui Lui était confiée, son propre sacrifice de soi, signifiait la victoire pour toute l’humanité désireuse d’entrer en harmonie avec Dieu et ses arrangements. Ne nous a-t-Il pas déclaré : « Ne craignez pas, j’ai vaincu le monde » ? En l’emportant sur Satan, le prince de ce monde, Il remportait en même temps la victoire sur toutes les armées du mal et les serviteurs du péché. Il demeura fidèle à Dieu, à son alliance et à ses responsabilités, lançant vers l’Adversaire les cailloux de la vérité : « Il est écrit ». Comme Goliath tomba devant David, ainsi Satan fut vaincu par notre Seigneur qui déclare : « Je voyais Satan tomber du ciel » (Luc 10 : 18). Il déclara aussi comme résultat de sa victoire : « Toute puissance m’a été donnée dans le ciel et sur la terre. » (Matthieu 28 : 18) et envoya ses disciples en son nom pour combattre de la même manière, vaincre et finalement participer avec Lui dans son Royaume pour « bénir toutes les familles de la terre ». Z’08-233 R4216:4.