CEUX QUI VONT EN ENFER ET CEUX QUI EN REVIENNENT, SELON LA BIBLE

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La vérité est vraiment plus merveilleuse que les fables et la fiction.

SOMMAIRE. ‑ Le véritable enfer est l’enfer de la Bible, non celui qu’enseigne la théologie. L’enfer de la Bible sera détruit. ‑ Jésus descendit dans l’enfer biblique et en remonta. Tous les humains descendent dans cet enfer-‑là. ‑ La mort de Christ n’empêche pas les humains de descendre en enfer. ‑ Des millions y sont descendus pendant les quatre mille ans qui précédèrent la venue de Christ ‑ Christ a pour mission de délivrer tous les humains de l’enfer biblique, du shéol au hadès. ‑ La Bible nous dit approximativement quand et comment les portes de la prison de l’enfer s’ouvriront. ‑ Tous les prisonniers en sortiront.

TEXTE. ‑ « Tu n’abandonneras pas mon âme dans le séjour des morts (selon l’hébreu et le grec, dans le Shéol, dans le Hadès, c’est-à‑dire l’enfer) » Ps. 16 : 10; Act. 2 : 27.

L’enfer de la Bible est une chose parfaitement logique, tandis que celui de la théologie est parfaitement absurde, tous devront en convenir. L’enfer, selon la théologie, est une fournaise extraordinairement chauffée, peuplée de démons à toute épreuve à l’égard du feu et contenant tous les humains qui ont vécu sur la terre, à J’exception des fidèles disciples de Christ qui sont en petit nombre. Cet enfer‑là est celui des Catholiques et des Protestants ; il est absurde, contraire à tout ce que la Bible enseigne.

Les enfers sont nombreux selon la théologie moderne

Il existe plusieurs espèces d’enfer, selon la théologie. Chaque prédicateur semble avoir le droit d’envoyer dans un enfer, arrangé selon son imagination tous les humains qui ne sont pas membres de l’église. Personne n’a l’air de se soucier de voir ce qu’enseigne la Bible à ce sujet. Il nous vient à l’esprit les descriptions de l’enfer faites par Saint Thomas, dans lesquelles ce dernier parle des odeurs épouvantables qui se dégagent de l’enfer, ainsi que des choses horribles qu’on y voit ; on se demande, en lisant ce récit, si cet homme a fait une visite spéciale en enfer et en est revenu pour faire la description de ce lieu. Cet écrivain nous dépeint admirablement ce qu’est une âme nue (quelqu’un a‑t‑il une idée de ce qu’est une âme nue ?) ; il nous montre les violents jets de flamme qui finissent par former sur la peau extérieure une sorte d’amiante diminuant quelque peu les souffrances de l’âme.

Cette diminution des souffrances du pécheur, selon Saint Thomas, déplut à Dieu et l’on voit comment Dieu rendit ces souffrances plus grandes et plus intenses ; la peau d’amiante recouvrant le dos du damné se fendit, se craquela comme la carapace d’une sauterelle et, par ces crevasses, les flammes de l’enfer léchaient furieusement la chair mise à nu de l’âme damnée. Ce saint nous dit encore que ces horribles choses dureront toute l’éternité à la grande joie de Dieu et des saints anges ; un tel état de choses existerait pour satisfaire aux exigences d’une sorte de justice en harmonie avec les conceptions de l’écrivain. Grâces à Dieu, nous sommes incapables aujourd’hui de comprendre cette justice‑là.

Le feu, dans le Nouveau Testament, symbolise la destruction qui frappera finalement selon les dispositions de Dieu, celui qui pèche volontairement. Les gens savent parfaitement ce que veulent dire les expressions : « épreuves brûlantes», «amasser des charbons ardents sur la tête d’ennemis ». Partout où, clans la Parole, le terme feu se trouve avec un contexte susceptible d’être tordu et faussé, ceux qui aiment les tourments éternels, pour en châtier leurs ennemis, ont donné ce sens‑là à ce mot. Pour ces gens‑là, les tourments éternels sont un châtiment juste et charitable, à souhaiter pour des païens qui n’ont jamais entendu parler de Christ, c’est-à‑dire pour de pauvres humains dégradés, ignorantes, nés dans le péché, dans les faiblesses et qui sont en outre découragés et vaincus par l’adversaire Satan ; tel serait aussi, selon ces mêmes gens, le juste châtiment réservé à tous les humains qui ne sont pas membres d’une église.

Ces erreurs sont enseignées depuis si longtemps que chacun a fini par y croire et, ce qui est remarquable, c’est que peu de personnes ont cherché à savoir si vraiment ces enseignements sont bibliques. Beaucoup de gens au coeur sensible et compatissant se sont retirés complètement des églises, ne voulant pas croire à une semblable doctrine, ni adorer un Dieu qui l’aurait inspirée.

De nos jours, on a imaginé un enfer différent, qui s’accommode mieux avec les sentiments modernes raffinés. On nous prêche, sans aucun fondement, différentes fictions et fables relatives à l’enfer. L’un dira que le feu n’y est pas tellement ardent, l’autre, que les tourments éternels ne consistent qu’en remords ou en regrets, conception qui suit de près les enseignements de Dante relatifs au purgatoire et d’après lesquels divers châtiments sont réservés pour différente péchés. Ces conceptions diffèrent cependant de celles de Dante par le fait qu’elles n’appellent pas ce lieu purgatoire, et qu’elles n’admettent en somme aucune délivrance pour les pécheurs en proie aux tourments. Ces gens‑là reconnaissent bien que la Bible ne dit rien du purgatoire ; ils oublient par contre que le saint Livre ne parle pas de l’enfer qu’ils prêchent, car l’enfer de la Bible est entièrement différent.

Selon les doctrines romaines, à leur mort, tous les Catholiques vont au purgatoire pour y être purifiés et pour se préparer à entrer au ciel. Nos amis catholiques se réjouissent de ce que les souffrances, là, sont plus tolérables que celles de l’enfer réservées à d’autres personnes. D’après leurs croyances, hommes, femmes et enfants sont heureux si, par le moyen du baptême, de l’eau bénite, des cierges, des messes, de l’extrême onction, ils vont au purgatoire, car, par le moyen d’autres messes, ils peuvent en sortir ensuite.

Nous ne nous lamentons pas au sujet de telles croyances ; nous pensons qu’elles sont certainement préférables à celles des Protestants ; nous les laissons simplement à ceux qui les aiment. Nous constatons cependant que peu de personnes aiment s’appliquer à elles‑mêmes la théorie des tourments éternels ; presque tous préfèrent envoyer leurs ennemis en enfer. S’il en est que de telles croyances réjouissent, nous ne désirons pas troubler leur paix. Nous nous adressons plutôt à la multitude, toujours plus grande, de ceux qui cherchent un Dieu meilleur que celui de l’enfer et espèrent dans un avenir meilleur que celui enseigné par les doctrines de l’âge des ténèbres. Ceux qui se plaisent dans les erreurs doivent laisser nos serment de côté, car ils ne sont pas pour eux.

L’homme riche en enfer

Lorsque l’esprit humain a acquis certaines convictions, même insensées, il trouve toujours certaines raisons pour appuyer ses erreurs. Ainsi une des paraboles de notre Seigneur sert de base à certaines personnes pour prouver que l’enfer est un lieu de tourments, où la langue est desséchée. Nous ne pouvons pas expliquer ici cette parabole, ni les deux récits figuratifs contenus dans l’Apocalypse, dont on se sert pour établir la doctrine des tourments éternels ; nous nous en tiendrons à notre texte.

Ou est l’enfer ? Qui sont ses habitants ?

Le mot enfer vient du latin infernum dont la racine infra signifie en bas, expression qui rend assez bien le mot hébreu shéol signifiant fosse, puits, tombeau. Le Nouveau Testament nous donne le mot hades comme l’équivalent du mot hébreu shéol. Lorsque le Nouveau Testament, écrit en grec, cite des paroles de l’Ancien écrit en hébreu, il rend toujours le terme shéol par hardès. Le psalmiste dit : « Tu n’abandonneras pas mon âme dans le shéol » (l’enfer, le tombeau). Pierre, citant ces paroles, nous dit dans le Nouveau Testament « Tu n’abandonneras pas mon âme dans le hadès » (l’enfer, le tombeau).

L’apôtre Pierre nous explique que David n’avait pas dit cela à propos de lui‑même, car, ajoute‑t‑il, « son sépulcre existe encore aujourd’hui parmi nous ». Le prophète David n’est pas encore sorti du shéol, il n’est pas ressuscité, il est toujours dans l’état oit la condition de ceux qui sont morts. Pierre nous dit que ces paroles, exprimées par David, avaient trait à Christ et à Sa résurrection ; il nous dit que Dieu ressuscita d’entre les morts Jésus le troisième jour, qu’Il le fit donc sortir du hadès où il resta trois jours à peu près.

Nous ne trouvons nulle part la moindre preuve de l’enseignement absurde donné par certains membres du clergé qui sont allés jusqu’à prétendre que le paradis est séparé de l’enfer par une rivière. La Bible nous parle d’un paradis, mais d’un paradis futur ; elle nous parle également du hadès, c’est‑à‑dire de l’état de mort qui est la condition actuelle de ceux qui sont morts, mais qui sera anéanti dans les temps futurs. La destruction du hadès, ou shéol, se fera progressivement pendant les mille ans du règne de Christ. Chaque fois qu’une personne ressuscitera des morts, son tombeau sera détruit, parce qu’il ne sera plus un tombeau.

Les humains bons et mauvais, les riches comme les pauvres vont en enfer

Au temps où la Bible n’était pas entre les mains du peuple (n’étant pas considérée comme nécessaire parce qu’on possédait les credo), différentes erreurs se répandirent partout. Les Catholiques et les Protestants les propagèrent ; nombre de personnes, sans nul doute, furent induites en erreur par leurs affirmations. Nous nous garderons bien de les considérer comme des hypocrites, mais nous dirons qu’ils ont été et sont dans l’erreur, parce que leurs croyances ne s’accordent pas avec les enseignements de la Bible. Le saint Livre ne parle de personne qui, à sa mort, va au ciel, mais il nous dit que tous les humains, bons et mauvais, riches et pauvres, vont en enfer à leur mort. Le roi David descendit en enfer et y est encore. Remarquez les paroles suivantes de l’apôtre Pierre : «  David n’est point monté au ciel » (Act. 2 : 34). David n’est pas un membre de l’Eglise, des élus ; l’appel céleste ne lui a pas été adressé, il ne fut pas un disciple de Christ, car il vécut des siècles avant Christ. La bénédiction qui lui est réservée est la résurrection terrestre ; il possédera la nature humaine, la nature terrestre parfaite ; il aura pour récompense une part dans le paradis qui s’étendra un jour sur toute la terre.

La Bible relate l’histoire d’humains qui ont vécu au cours de plus de quatre mille ans, et elle ne fait allusion à aucun autre enfer que le shéol, c’est‑à‑dire le tombeau, le sépulcre. Elle fut traduite par des gens qui croyaient à un enfer de feu, c’est pourquoi ceux‑ci rendirent assez servent le terme shéol par enfer dans nos anciennes versions ; dans les versions récentes, on trouve beaucoup moins le mot enfer. Les traducteurs furent forcés, par le fait de l’évidence du sens de rendre les mots shéol et hadès par sépulcre et tombeau dans la plupart des cas ; ils n’auraient dû faire aucune exception à la règle ; ces terme, auraient dû être toujours rendus par sépulcre ou tombeau qui est leur véritable signification.

Jésus ressuscita et sortit du shéol ou hades, du tombeau ; sa mort était une mort de sacrifice et non un châtiment ; il n’existait donc pas de cause réelle pour qu’Il demeurât dans la mort. Une autre personne fut ramenée du shéol, c’est Jonas, qui fut un type de Jésus, d’après les paroles mêmes du Seigneur. Jonas passa trois jours dans le ventre d’un poisson ; ces trois jours correspondent aux trois jours que notre Seigneur passa dans l’enfer, le hadès, le tombeau. La résurrection de Jésus fut aussi symbolisée par les expériences subies par Jonas, car, le troisième jour, le poisson en question, on grand poisson, vomit Jonas. Racontant ses épreuves, Jonas dit qu’il fut enseveli vivant dans le ventre du poisson. « Du sein du shéol, de l’enfer, du séjour des morts, j’ai crié et tu as entendu ma voix ». Le poisson vomit Jonas sur la terre ferme ; ce fut une délivrance du sein de l’enfer, car le ventre de ce poisson fut pour Jonas son enfer, ou sépulcre.

La Bible déclare catégoriquement que tous les humains meurent, non pas d’une mort apparente mais véritable ; elle dit qu’il n’y aurait pour eux aucune vie future quelconque si Dieu n’avait pas pourvu à une résurrection. Mais Dieu y a pourvu, en Christ qui mourut pour nos péchés. Selon l’apôtre Paul, s’il n’y a pas de résurrection des morts, notre foi en Christ est vaine et notre espérance est détruite, notre vie n’a aucun but et nous sommes sans espérance. Paul nous dit positivement que Christ est mort et qu’Il est ressuscite ; c’est pourquoi tous les humains seront un jour délivrés de la puissance du shéol ou hadès, du sépulcre.

Quelques personnes ressuscitèrent autrefois, mais pour retourner à la mort. Il ne fut possible à personne d’être complètement délivré de la puissance de la mort avant la venue de Christ, avant que Jésus eût donné le prix de la rançon de l’homme. Lorsque l’Eternel parla à Moïse, Il ne lui dit pas que le monde mourait comme les animaux, mais qu’il y avait une espérance pour lui ; Il lui parla de choses à venir comme si elles avaient déjà été accomplies ; Il lui dit qu’Il était le Dieu d’Abraham, d’Isaac et de Jacob qui étaient morts mais qui ressusciteraient.

Recueillis auprès de leurs pères, ils dorment

Les bons et les mauvais, nous est‑il dit, furent recueillis auprès de leurs pères. Leurs pères n’étaient pas au ciel, car on ne dort pas au ciel ; ils n’étaient pas non plus dans un enfer de feu comme celui qu’enseignent les églises orthodoxes et les croyances de l’âge des ténèbres, car on n’avait pas encore inventé un pareil enfer ; ils ne dormaient pas dans le purgatoire des Catholiques pour la même raison. Les bons et les mauvais dorment et dormiront jusqu’au jour où Christ les réveillera.

Cet enseignement se trouve dans le Nouveau Testament aussi bien que dans l’Ancien. Jésus dit que Lazare dormait, et Il le réveilla; Il réveilla aussi de son sommeil la fille de Jaïrus. Paul dit que tous les membres de l’Eglise dormiraient, à l’exception de ceux qui vivraient à la Seconde Venue de notre Seigneur. C’est parce que la mort est assimilée à un sommeil, que l’oeuvre grandiose de Christ et de son Royaume millénaire est décrite comme étant surtout un réveil des morts.

Dans l’Ancien Testament, le shéol nous est dépeint comme une grande prison dans laquelle les peuples descendent et de laquelle personne ne peut se libérer ; personne ne peut revenir de la mort par son propre pouvoir. Nous voyons le même enseignement dans le Nouveau Testament ; notre Seigneur nous dit qu’il ouvrira le hadès, le shéol, la tombe et qu’Il en délivrera les prisonniers ; Il nous dit qu’Il tient « les clefs de la mort et du hadès, de l’enfer, du séjour des morts ou du sépulcre ». Il reçut les clefs, l’autorité ou le pouvoir d’ouvrir les tombeaux, de ressusciter tous les humains; Il a acquis ce pouvoir au prix de Sa vie qu’Il sacrifia volontairement, mourant « lui, juste pour des injustes » il souffrit la mort pour tous ».

Les morts reviendront du shéol, du hadès, de l’enfer, du sépulcre

Dans un langage symbolique, les Ecritures montrent Jésus ramenant une multitude de captifs (Eph, 4 : 8). Le premier troupeau de captifs délivrés sera l’Eglise, l’Epouse, la femme de l’Agneau ; le constitueront ceux qui auront part à la première résurrection. Les Ecritures disent en effet : « Les portes de l’enfer (ou du séjour des morts, du sépulcre) ne prévaudront point contre elle, (l’Eglise) ». Christ est plus fort que la puissance de la mort et Il a payé le prix libérateur de la condamnation à mort qui pesait sur nous. Il nous a rachetés et nous délivrera à l’aurore de la nouvelle dispensation.

Ceci n’est qu’une partie de la merveilleuse histoire de l’amour de Dieu‑ L’Apôtre dit que le Christ est les prémices ou les premiers fruits qui sont Jésus, la Tète et l’Eglise Son Corps ; ensuite ressusciteront ceux qui deviendront les enfants de Christ à Sa seconde présence. Il sera présent pendant mille ans et sera Roi sur toute la terre ; Il sera le véritable Sacrificateur dont Aaron était le type, et bénira le peuple. Christ sera un Sacrificateur sur le trône, Il délivrera du péché et de la mort tous ceux qui désireront vivre en communion avec Dieu. Alléluia ! Quel merveilleux Sauveur !

L’oeuvre de ces mille ans sera non seulement la résurrection de ceux qui dorment, mais aussi leur régénération mentale, morale et physique jusqu’à la nature humaine parfaite qu’ils perdirent par la désobéissance d’Adam. Lorsque tous ceux qui pécheront volontairement auront été détruits dans la Seconde Mort, de laquelle on ne revient plus et pour laquelle il n’y a pas de rédemption, alors s’accomplira la parole qui est écrite ; « La mort a été engloutie dans la victoire. O mort, où est ta victoire ? O mort, où est ton aiguillon ? »

Le sépulcre triomphe encore maintenant de toute l’humanité, mais bientôt, ce sera le Rédempteur qui triomphera, pendant les mille ans de Son règne. Il délivrera tous les humains de la puissance de la mort qui règne maintenant : seuls ceux qui pécheront volontairement iront ensuite à la Seconde Mort de laquelle il n’y aura pas de délivrance.

Nos coeurs sont remplis de joie à la pensée de la délivrance du pauvre monde, à la pensée qu’il sortira de la prison de la mort et qu’il sera délivré de ses faiblesses et de ses imperfections. Avec les yeux de la foi fixés sur le télescope de la Parole de Dieu, nous voyons dans l’avenir très prochain l’enchaînement de Satan, la résurrection de ceux qui dorment, la bénédiction du monde, la régénération de tous les humains dociles et obéissants ; Dieu en soit béni ! Nous voyons toute l’humanité rétablie dans la plénitude de ses forces mentales, morales et physiques, rétablie à l’image et à la ressemblance de Dieu qu’elle avait perdues en Eden et qui furent rachetées, pour tous les humains, au Calvaire.

(Sermon C.T.R.)

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