COMPTE RENDU DE LA CONFERENCE DE LENS DES 4 ET 5 NOVEMBRE 2000

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Cette rencontre a permis à tous les participants de bénéficier de la communion fraternelle et des bénédictions divines généreusement déversées sur l’assistance.

Le frère B. B. qui présida le premier jour invita les frères suivants à exposer leurs sujets :

1) – Fr. J. L.  : « L’exemple le plus parfait ». Un tel exemple nous est présenté dans les Evangiles et les épîtres des Apôtres. C’est l’exemple de notre Seigneur Jésus-Christ. L’apôtre Paul en fait référence en 1 Corinthiens 11 : 1 : « Soyez mes imitateurs, comme je le suis moi-même de Christ. » Ainsi, il nous appartient de suivre ses traces, non pas en paroles, mais en actions, même dans les conditions les plus austères.

2) – Fr. R. M. : « Abraham, son appel et son alliance ». La vie de ce Patriarche de l’Ancien Testament est remarquable. C’est sa grande foi qui lui valut d’être agréable à Dieu, et lui permit de bénéficier des plus grandes promesses que Dieu fit un jour à l’homme. (Genèse 22 : 17, 18) – « Je te bénirai et je multiplierai ta postérité, comme les étoiles du ciel et comme le sable qui est sur le bord de la mer ; et ta postérité possédera la porte de ses ennemis. Toutes les nations de la terre seront bénies en ta postérité, parce que tu as obéi à ma voix. »

3) – Fr. L. R. : « La grâce du pardon ». Dieu ne rejette pas un cœur meurtri et repentant (Psaume 51 : 19). David nous décrit abondamment ses erreurs et la bonté de Dieu à son égard. Durant cet âge, l’Eternel nous comble de sa grâce (d’une faveur imméritée), qui nous est accessible par les mérites du sang précieux de notre Seigneur. C’est la seule condition qui actuellement nous permet de bénéficier du pardon divin et d’avoir accès au Trône de la grâce.

4) – Fr. J. W. : « Je suis le chemin, la vérité, la vie ». Notre Seigneur acheva l’œuvre qui Lui était confiée. Il offrit sa vie, Il l’abandonna, la sacrifia, permettant qu’elle Lui soit enlevée, pour le bien d’Adam et de toute sa descendance. Nos yeux doivent être fixés avec respect et considération sur notre Seigneur (Actes 4 : 12) – « Il n’y a de salut en aucun autre ; car il n’y a sous le ciel aucun autre nom qui ait été donné parmi les hommes, par lequel nous devions être sauvés. »

Le frère J. P. présida le deuxième jour, et invita les orateurs suivants : 

1) – Fr. Z. R. – « Jacob et Juda ». Jacob a été l’héritier d’une promesse importante relative à la postérité naturelle d’Israël. Alors qu’il luttait avec l’ange en vue de recevoir une bénédiction, son nom fut changé en “Israël” (Genèse 32 : 28). Juda, quatrième fils de Jacob par Léa, fut honoré d’une bénédiction prophétique se rapportant à Christ (Genèse 49 : 10) – « Le sceptre ne s’éloignera point de Juda, ni le bâton souverain d’entre ses pieds, jusqu’à ce que vienne le Schilo, et que les peuples lui obéissent. »

2) – Fr. J. G. – « La grande prophétie de Joël » – (2 : 28, 29). – L’ordre d’accomplissement de cette prophétie a été intentionnellement inversé par le prophète, jusqu’au temps marqué de la première présence du Seigneur : L’esprit des Ecritures nous permet de situer ces versets dans l’ordre suivant : (v. 29) – « Même sur les serviteurs et sur les servantes, dans ces jours-là, je répandrai mon esprit » (l’Eglise de l’âge de l’Evangile), puis (v. 28) – « Après cela, je répandrai mon esprit sur toute chair ; vos fils et vos filles prophétiseront, vos vieillards auront des songes, et vos jeunes gens des visions. » (Israël et le monde entier).

3) – Fr. R. L.  – « Le souper à Béthanie » – (Jean chapitre 12). Les événements de Béthanie nous permettent de tirer des leçons profitables sur le comportement des personnes présentes (Marie, Marthe, Juda, Lazare et les pharisiens).

4) – Fr. P. B. – « La combativité dans la paix ». La combativité au service de Dieu, conduite avec son esprit, mène tout d’abord au contrôle de soi-même et ensuite à la stabilité. La combativité utilisée d’une mauvaise façon peut engendrer des querelles, et l’humeur querelleuse est une maladie contagieuse qui peut toucher même les humbles et les tranquilles qui aiment la paix. C’est la mesure de l’Esprit de Dieu que nous possédons, qui nous permet de contrôler notre combativité dans la bonne direction, de la bonne façon, pour un but bien précis.

La chorale permit également à toute l’assistance de bénéficier de cantiques à la gloire de notre Père céleste et de notre Seigneur.

Toute l’assistance a été sensible aux salutations des frères et sœurs qui n’ont pu être présents. Que l’Eternel bénisse tous les cœurs qui Lui sont fidèles.


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