COMPTE RENDU DE LA CONFÉRENCE DE PETITE-FORÊT SAMEDI 1ER ET DIMANCHE 2 NOVEMBRE 2014

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La conférence de la Toussaint s’est déroulée cette année encore, à Petite-Forêt. Les participants, durant ces deux journées, ont pu apprécier l’ambiance fraternelle qui y régnait, cela sous la providence divine et le regard bienveillant de notre Seigneur.

La conférence a débuté le samedi à 15h sous la présidence du frère Jean Siwek. Trois orateurs sont intervenus selon le programme qui avait été établi.

Le frère Jean Piorkowski : « La victoire sur les Amalécites » – Exode 17 : 8-16.

Le frère Len Greihs (USA) : « Qui est votre Abigaïl ? » – 1 Samuel 25.

Le frère Régis Liberda : « De Jérusalem à Emmaüs » – Luc 24 : 13.

Dans la soirée, un repas en commun était prévu, préparé par l’assemblée locale, et nombreux sont ceux qui y ont participé, dans une ambiance fraternelle et conviviale.

Le lendemain la conférence a débuté à 9h30 sous la présidence du frère Siméon Karalus. Quatre orateurs ont présenté leurs exposés.

Le frère André Lecroart : « Vanité des vanités … tout est vanité » – Ecclésiaste 1 : 2.

Le frère Len Greihs (USA) : « Vivre avec les lions » – Daniel 6.

Le frère Francis Gikière : « Fuyez l’idolâtrie » – 1 Corinthiens 10 : 14.

Le frère David Sutryk : « Des confins de l’univers jusqu’à votre cœur ».

Au déjeuner, des sandwichs et de la soupe, préparés par les sœurs, ont été servis à l’assistance.

En début d’après-midi, la chorale, dirigée par le frère Henri Peau, a chanté des cantiques à la gloire de l’Eternel.

Nous remercions notre bon Père céleste pour les innombrables bénédictions spirituelles reçues lors de cette communion fraternelle.

Nous remercions également tous ceux qui ont pris part à cette conférence, les organisateurs, les participants, les orateurs, en particulier le frère venu des USA, les traducteurs, les musiciens, la chorale, mais aussi tous ceux qui ont participé et travaillé à sa préparation et à sa bonne organisation.

Nous transmettons à tous ceux qui n’ont pas eu le privilège d’être parmi nous, mais qui nous accompagnaient en pensée, nos souhaits de bénédictions.