LA PRİÈRE, SOUFFLE VİTAL DE LA NOUVELLE CRÉATURE

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« Et il leur dit aussi une parabole, pour [montrer] qu’ils devaient toujours prier et ne pas se lasser » – Luc 18 : 1 – Darby.

Jésus prononça une parabole dont l’essence ou la signification est la suivante : « Les hommes doivent toujours prier et ne pas se relâcher ». Cette parabole raconte comment un juge inique, parce qu’on l’importunait, a cédé à un appel à la justice et à ses exigences, bien qu’il se souciait peu du principe lui-même. Dans la parabole, la femme était importune dans ses demandes de justice contre ceux qui lui faisaient du tort. Le Seigneur semble inculquer précisément une telle importunité dans la prière, et donne ceci comme une illustration de la manière dont son peuple doit persévérer dans ses prières ; non pas qu’il doive prier tout le temps, dans le sens de ne jamais quitter la position à genoux, ou de ne jamais faire autre chose que de prier, mais il doit persévérer dans ses prières et ne pas se lasser ou se décourager.

Afin de prier correctement, l’enfant de Dieu doit savoir ce pour quoi il peut prier. Sinon, il risque de demander de mauvaises choses, que Dieu ne voudra jamais lui donner. Comment pouvons-nous savoir quelles sont les choses pour lesquelles il convient de prier ? Le Seigneur nous donne une indication sur ce point, sur ce qui est approprié. Il dit : Si les parents terrestres sont heureux de donner de bonnes choses à leurs enfants, combien plus le Père céleste est-Il heureux de donner de bonnes choses à ses enfants. Les choses que les pères terrestres donnent à leurs enfants sont des choses terrestres. Les choses que le Père céleste est heureux de donner à ses enfants sont des choses célestes. Les humains n’ont pas le droit d’appeler Dieu leur père. Il ne les admet pas comme enfants. Il n’y a qu’un seul moyen pour revenir en relation avec Dieu, c’est la voie que Jésus a ouverte par sa mort.

Les Juifs n’étaient-ils pas des enfants de Dieu avant que Jésus vienne et meure ? Nous répondons, non. L’expression la plus élevée de la faveur de Dieu à leur égard fut montrée en Abraham. Il n’était appelé qu’ami de Dieu. « Moïse, en vérité, a été fidèle dans toute sa maison, comme un serviteur. » (Hébreux 3 : 5 – traduction de l’anglais). Ces Juifs qui ne furent pas fidèles n’étaient même pas des serviteurs. Mais lorsque le Christ est venu, Il a rendu possible à certains de sortir et de passer de la maison des serviteurs à la maison des fils. « Elle est venue chez les siens, et les siens ne l’ont point reçue. Mais à tous ceux qui l’ont reçue … elle a donné le pouvoir de devenir enfants de Dieu. » (Jean 1 : 11, 12). Ce privilège n’a pas été réellement accordé immédiatement, mais simplement considéré comme tel, jusqu’au moment où Jésus a terminé sa course, est monté au ciel et a déversé le saint Esprit sur ses disciples. C’est alors qu’ils ont eu le privilège de devenir des fils de Dieu.

Tout au long de l’âge de l’Évangile, ceux qui le reçoivent ont le privilège de devenir des fils de Dieu. Toutes les bonnes promesses de la Parole de Dieu leur appartiennent. Cette classe comprend non seulement les Juifs, mais aussi les Gentils, à qui la porte de l’opportunité a été ouverte, lorsque cette faveur spéciale qui avait été accordée aux Juifs a pris fin. Ainsi, nous sommes devenus des İsraélites spirituels et les héritiers de toutes les choses que Dieu a promises à cette classe de fils de Dieu. Ainsi, lorsque nous allons au Père par la prière, c’est le privilège de la nouvelle créature. Quiconque n’a pas cessé d’être une ancienne créature et n’est pas devenu une nouvelle créature n’a pas le privilège de prier. La seule exception à cette règle est le cas des enfants de parents consacrés, et la faveur de Dieu à leur égard n’est due qu’aux intérêts spirituels de leurs parents.

LE PLUS GRAND BESOİN DE LA NOUVELLE CRÉATURE

Notre texte signifie que les nouvelles créatures doivent être persévérantes dans leurs requêtes à Dieu. Elles peuvent savoir ce pour quoi il convient de prier, en étudiant les paroles de Jésus, des apôtres et des prophètes d’autrefois. Ceux qui sont engendrés de l’esprit peuvent ainsi comprendre quels sont les droits et les privilèges des fils de Dieu. Le Père céleste est plus disposé à leur donner le saint Esprit que les parents terrestres ne sont disposés à donner de bons cadeaux à leurs enfants – Matthieu 7 : 11.

Le saint Esprit est la seule chose dont la nouvelle créature a besoin. La nouvelle créature est à l’épreuve pour la nouvelle nature — pour la gloire, l’honneur, l’immortalité. Et elle ne peut les recevoir que si elle en est digne. Les conditions en vertu desquelles elle est reçue dans une relation spirituelle avec le Père sont qu’elle doit mortifier, étouffer, les impulsions terrestres et chercher à donner vie aux impulsions spirituelles. Ce dont elle a donc particulièrement besoin pour se fortifier et se développer en tant que nouvelle créature, c’est le saint Esprit de Dieu. C’est pourquoi Dieu est particulièrement disposé à nous le donner, et particulièrement heureux que nous le Lui demandions. Cela ne signifie pas que les intérêts terrestres seront ignorés. Cela signifie que notre Père céleste sait de quelles choses à caractère terrestre nous avons besoin, tout comme Il sait de quoi nous avons besoin pour notre bien-être spirituel.

Les Écritures indiquent que Dieu nous a donné les instructions dont nous avons besoin dans sa Parole inspirée, la Bible. Cette Parole nous rendra de plus en plus sages, à mesure que nous grandirons en grâce et en connaissance et dans son Esprit, de sorte qu’avec le temps, nous saurons exactement pour quelles choses prier et pour quelles choses ne pas prier. Au début de notre expérience, nous ne savons peut-être pas cela si bien. Le Seigneur a dit, en parlant de la prière, que les païens pensent qu’ils seront entendus parce qu’ils parlent beaucoup, et utilisent de vaines répétitions. Leurs prières sont toutes de vaines répétitions. La première requête était vaine et toutes les suivantes l’étaient aussi, parce qu’elles ne sont pas basées sur les conditions nécessaires pour qu’une prière soit acceptable.

LE MOBİLE, UNE CONSİDÉRATION İMPORTANTE

Tous ceux qui sont entrés dans l’alliance de sacrifice avec Christ peuvent se rendre compte qu’ils ont le privilège de prier. Pour quoi peuvent-ils prier ? Ils ne peuvent pas prier pour des choses terrestres précises, car le Père céleste ne répondrait pas aux demandes qui ne seraient pas pour le bien de ses enfants. Saint Jacques parle de ceux qui présentent des demandes inappropriées. Il dit : « Vous demandez, et vous ne recevez pas, parce que vous demandez mal, afin de le dépenser pour vos voluptés. » – Jacques 4 : 3 – Darby.

Le mot « voluptés » signifie ici les désirs. Nous ne devons pas demander des choses pour satisfaire les désirs charnels. Par exemple, supposons que nous priions le Père céleste de nous envoyer un million de dollars, en Lui disant que nous savons quoi faire de cet argent, et comment l’utiliser dans son œuvre. Le Seigneur ne le donnerait probablement pas, car nous aurions mal demandé. Mais nous penserions peut-être que nous avions demandé avec sagesse. Chaque fois que nous demandons quelque chose au Seigneur, nous devrions examiner nos motivations pour savoir s’il n’y a pas quelque chose à caractère personnel liée à cela. Dans ce cas précis, nous devrions nous demander : Voulons-nous ce million de dollars afin que nous puissions briller par son utilisation ? Si c’est le cas, une telle prière serait tout à fait inappropriée. Nous pourrions adresser une telle prière au début de notre expérience Chrétienne, et le Père ne nous le reprocherait pas. Nous excuserions un enfant pour ce qu’il a fait alors que nous n’excuserions pas cela chez un adulte.

En ce qui concerne cette question de la prière, notre Seigneur nous donne une indication. Il s’agit de ceci : « Si vous demeurez en moi, et que mes paroles demeurent en vous, vous demanderez ce que vous voudrez, et il vous sera fait. » (Jean 15 : 7 – Darby). Comme cette déclaration est large ! Au premier abord, on pourrait croire que nous pouvons demander n’importe quoi. Mais elle a des limites très précises. Qui sont ceux qui peuvent prier ainsi ? Ce sont ceux qui sont déjà devenus membres de son corps, ceux qui se sont pleinement consacrés et qui ont reçu l’engendrement du saint Esprit. De plus, le mot « demeurez » ne signifie pas seulement qu’ils sont entrés dans cette relation, mais qu’ils y restent, qu’ils y demeurent ; qu’ils sont membres du corps de Christ en accord avec Lui.

« Si ma Parole demeure en vous. » Que la Parole de Dieu demeure en nous implique que nous ayons une connaissance de la Parole de Dieu. Cela nécessite que nous L’étudions, afin que nous puissions savoir pour quoi prier. Nous ne devrions pas nous hâter d’offrir des requêtes, et faire une grande erreur, pour ensuite dire, j’ai fait une erreur, et j’ai demandé des mauvaises choses. Nous devrions considérer ce que la Parole de Dieu enseigne sur ce sujet, et si quelqu’un s’est bien familiarisé avec la Parole de Dieu, il devrait savoir si oui ou non il a rempli les conditions qui sanctifieront sa prière. Ce n’est qu’après être arrivé à cette position qu’il peut continuer à faire sa demande, sans douter. Mais il est fort probable qu’il s’aperçoive alors qu’il n’a pas une très grande liste de requêtes à présenter. Quelles sont ces choses que nous pouvons demander ?

QUELQUES CHOSES POUR LESQUELLES PRİER

L’une des choses pour lesquelles nous pouvons prier est que le royaume de Dieu vienne. Nous pouvons donc nous rendre continuellement au trône de la grâce, en appréciant le fait que Dieu a dit qu’Il a le dessein d’avoir un royaume ici sur terre. Et sans douter, nous devons prier pour ce royaume. Et en priant, nous affermissons de plus en plus notre foi. Pour quoi d’autre pouvons-nous prier ? Nous pouvons aussi prier : « Donne-nous aujourd’hui notre pain quotidien. » Mais n’est-ce pas là quelque chose pour la chair ? C’est une nécessité, et le Seigneur nous a autorisés de prier pour nos besoins. Nous devons utiliser notre jugement du mieux que nous pouvons ; cependant, nous ne devons pas nous fier à nos seuls efforts, mais aux soins attentifs du Seigneur. Si, donc, les ressources temporelles sont maigres, nous devons apprendre la leçon de frugalité et économiser ce que nous avons.

Nous devrions apprendre très tôt dans la vie à ne pas gaspiller. Lorsque Jésus a nourri la multitude avec des pains et des poissons, et qu’Il a ensuite demandé à ses disciples de prendre ce qui restait dans leurs paniers, Il a illustré comment Il économisait. Nous devons manger ce que nous avons avec reconnaissance, même s’il s’agit simplement de pain et d’eau, ou de pommes de terre et de sel. Rien n’indique que nous devons demander une tarte, un gâteau ou une glace, mais le strict nécessaire. Si, dans la providence de Dieu, Il nous fournit le nécessaire et nous prive du luxe, alors nous devons être satisfaits et reconnaissants. Mais nous devons prier et ne pas être craintifs.

Et si nous n’avions rien demain ? Avez-vous gaspillé quelque chose aujourd’hui ? Avez-vous trop mangé aujourd’hui, deux fois plus que ce dont vous aviez besoin ? Si c’est le cas, le Seigneur vous donnera probablement une leçon, et ce sera pour votre bien en tant que nouvelle créature. Mais si vous avez fait preuve de sagesse et d’économie, Il vous fournira les choses nécessaires. Comme le dit le Prophète : « … Du pain lui sera donné, de l’eau lui sera assurée. » – Ésaïe 33 : 16.

Nous pouvons prier pour être délivrés du malin. Cela devrait nous amener à saisir que le malin existe, et que nous ne sommes pas capables par nous-mêmes de résister avec succès à ses attaques. Nous avons besoin de l’aide du Seigneur à tout moment, et nous devons prier continuellement et ne pas faiblir.

Nous pouvons prier pour le pardon de nos offenses. Ce que le Seigneur indique dans sa prière modèle, c’est le pardon de nos offenses quotidiennes — « jour après jour ». Et ces offenses sont le résultat de nos imperfections charnelles. Nos offenses charnelles d’aujourd’hui devraient être bien moindres que les offenses similaires que nous avons commises il y a dix ans, cinq ans ou même un an.

Il est préférable de ne pas utiliser de formules toutes faites dans la prière, mais simplement de penser à l’avance à ce que vous désirez quant à l’Esprit — plus de foi, plus de patience, plus de douceur, plus d’amour. Bien sûr, nous voudrons exprimer notre reconnaissance pour la sollicitude divine et demander qu’elle se poursuive. De telles prières, aussi simples soient-elles, plaisent au Père céleste. Les prières enregistrées dans la Bible ne sont généralement pas longues. Dieu accepte comme étant nos prières toutes les bonnes pensées et les sentiments de notre esprit, ainsi que ceux exprimés par notre langue.

D’autres déclarations de notre Seigneur et aussi des apôtres semblent impliquer que nous ne devons pas nous décourager. Après avoir prié pour une certaine chose, nous devons continuer à la garder à l’esprit, et ne pas conclure que parce que la prière n’a pas été exaucée rapidement, Dieu ne l’exaucera jamais. Cela semble s’appliquer à des choses particulières, individuelles. Notre texte semble inclure la pensée que nous devrions avoir à l’esprit les avantages de la prière dans toutes les affaires de la vie, en venant à plusieurs reprises au trône de la grâce pour obtenir l’aide nécessaire.

LA PHİLOSOPHİE DE LA PRİÈRE

Dieu nous oubliera-t-Il si nous ne Lui demandons rien et si nous ignorons le rôle d’un père ? La réponse des Écritures est qu’il n’en est rien. Dieu a pris d’abondantes dispositions pour ses enfants. Mais nous sommes constitués de telle sorte que la révérence envers Dieu et le désir de prière sont parmi les plus hautes qualités de notre nature. Les organes de la vénération et de la spiritualité se trouvent au sommet de notre tête. Et ceux qui ne prennent pas plaisir dans l’exercice de ces qualités les plus élevées n’obtiennent pas de la vie la bénédiction appropriée. Au lieu de vivre dans le salon de leur cerveau, pour ainsi dire, certaines personnes vivent dans le sous-sol. Notre véritable plaisir vient de l’exercice des plus hautes facultés de la tête. C’est là que nous pouvons communier avec Dieu sur les choses les plus élevées, les plus nobles, les meilleures.

La tendance naturelle des uns va vers les dispositions les plus basses de l’esprit humain, plutôt que vers les plus élevées ; celle des autres va vers les sentiments les plus nobles. Mais tous sont imparfaits. C’est pourquoi, lorsque quelqu’un se détourne du péché et entre à l’école de Christ, il est instruit à prier, car cela lui permettra d’obtenir les meilleurs résultats de la combinaison naturelle de ses facultés. En venant au Seigneur avec régularité dans la prière, ils font appel aux meilleures qualités de leur propre esprit. Ainsi, la nouvelle créature utilise les facultés les plus élevées de l’ancienne nature pour détacher la vieille créature des habitudes naturelles qu’elle avait cultivées au travers des faiblesses de la chair.

LA NÉGLİGENCE DE LA PRİÈRE ENTRAÎNE DES DOMMAGES

Une grande bénédiction découle de la prière ! Nous voyons que si la prière est négligée, un certain nombre de préjudices surviennent ; tandis que si la nouvelle créature persiste à venir au Seigneur en prière, elle utilise ainsi les organes supérieurs de l’esprit. Elle fait ressortir les qualités les plus élevées qui contribuent à la justice et à la vérité, et à la croissance de la nouvelle créature. Et la nouvelle créature, en utilisant les organes supérieurs du cerveau, fait des progrès dans la formation du caractère et dans le service du Seigneur.

La prière est le souffle vital de la nouvelle créature. Nous ne pouvons pas contrôler, ni tirer le meilleur parti de notre ancien corps si nous ne nous conformons pas à l’instruction de notre Seigneur de prier. Si la prière était appropriée pour notre Seigneur, qui était parfait, s’Il avait besoin d’aller souvent au Père en prière, de même il est nécessaire pour nous d’aller au Seigneur en prière afin que nous soyons de plus en plus transformés par le renouvellement de notre esprit. Cela ne signifie pas que nous devons toujours être à genoux, mais que nous devons le faire avec régularité ; si possible au moins tous les soirs et tous les matins.

Certains peuvent préférer prier debout, d’autres à genoux ; certains avoir les yeux ouverts, d’autres les avoir fermés. En tout cela, le Seigneur nous laisse libres d’exercer notre propre jugement. Mais il convient d’observer une certaine approche formelle du Seigneur chaque jour. Non seulement nous devrions avoir des moments spéciaux de prière, mais nous devrions avoir l’esprit de prière qui devrait nous accompagner dans toutes les affaires de la vie. Lorsque nous accomplissons les tâches de la vie, nous devrions penser : « Maintenant, je cherche la volonté et la voie du Seigneur. Que dois-je faire à ce sujet ? » Et, sans nous arrêter pour prier à nouveau, nous pensons à ce que serait la volonté du Seigneur. Ainsi, ce jour-là, nous aurons la bénédiction et la direction du Seigneur dans tout ce qui est bon.

Certaines personnes à l’esprit actif ont tendance à prendre à la légère la direction divine et à dire : « Je sais ce que je dois faire. Personne n’a besoin de me le dire — ni le Seigneur ni personne d’autre. » Il est probable que cette tendance se développe chez ces personnes et qu’elles ne chercheront pas à obtenir un conseil particulier.

Mais l’enfant de Dieu devrait ressentir que c’est un privilège que d’avoir l’approbation du Seigneur pour chaque pensée, chaque acte et chaque parole. Ce que nous faisons est l’œuvre de Dieu, pas la nôtre. Et ce n’est pas parce qu’on l’a fait d’une certaine manière aujourd’hui qu’il en sera nécessairement toujours ainsi. Il y a certaines choses qui sont fixes comme les collines, et d’autres qui ne le sont pas. Il en va de même de nos expériences. Le Seigneur peut nous donner une expérience aujourd’hui, et une autre demain. Aujourd’hui, Il peut nous conduire près des eaux tranquilles et dans de verts pâturages ; demain, le chemin peut être épineux et passer par des endroits accidentés. Ainsi, jour après jour, nous croissons en connaissance et en amour, et nous devrions être prêts à faire face à toutes les expériences qui peuvent se présenter à nous :

« Content quel que soit mon destin,

Puisque c’est la main de Dieu qui me conduit. »

WT1913 p5310