LES DROITS A LA VIE HUMAINE DE CHRIST,
IMPUTES A L’EGLISE ET DONNES AU MONDE
SOMMAIRE. – La méthode divine de sélection de l’Eglise. – Les profondes vérités spirituelles sont une cause de séparation. – Comment nous mangeons la chair de notre Seigneur. – Ceux qui boivent son sang. – La vie du Seigneur sacrifiée au Calvaire. – Les mérites de son sacrifice accordés bientôt au monde.
TEXTE : « Seigneur, à qui irions-nous ? Tu as les paroles de la vie éternelle ». – Jean 6 : 68.
La plupart d’entre nous se souviennent probablement dans quelles circonstances ces paroles furent prononcées. Jésus venait d’émettre une vérité profonde que beaucoup de ses auditeurs ne pouvaient ni comprendre, ni accepter. Il nous est dit que, perplexes, offensés, ils ne le suivirent plus. C’est alors que, se tournant vers les douze, Jésus leur dit : « Ne voulez-vous pas, vous aussi, vous en aller ? » Simon Pierre lui répondit (prenant la parole au nom de ses camarades) : « Seigneur, à qui irions-nous ? Tu as les paroles de la vie éternelle ! »
Cela impliquerait que le message de Dieu est toujours formulé de telle sorte que celui qui l’accepte et devient un disciple du Seigneur Jésus, a toujours la faculté de se retirer. Dans les nombreuses églises, sectes et associations, il y a une sorte d’obligation, de servitude (dans certains ordres religieux surtout), qui empêche d’en sortir aisément lorsqu’on y est entré. Personne, par contre, n’est contraint de rester chrétien et s’il désirait se retirer, le Seigneur ne le retiendrait en aucune façon. L’on se méprend beaucoup, je crois, au sujet de la méthode employée par le Seigneur. Ainsi nous voyons un grand nombre de vrais disciples de Christ faire leur possible pour conduire les gens à lui, en les pressant et même en les menaçant, ce qui est contraire aux Ecritures, car nous n’y avons jamais lu que le Seigneur ou les apôtres agissaient ainsi.
Pour les uns le message de l’Evangile est plein d’attrait ; pour d’autres il n’en a pas. Les premiers se sentent attirés comme le fer par l’aimant ; les seconds le « haïssent sans cause ». Pour les premiers encore, le message du Seigneur est une odeur de vie donnant la vie ; c’est un agréable parfum qui leur apporte la vie éternelle que Dieu tient en réserve pour eux. Pour les seconds enfin il a une odeur de mort qui produit la mort et dont ils ne se soucient pas. Cette pensée est contenue dans l’interprétation par Daniel du rêve de Nébucadnetsar. La pierre détachée de la montagne sans le secours d’aucune main représente la vraie Eglise. Tous les disciples de Christ sont des fragments de cette pierre, formée de toutes les nations et de toutes les confessions religieuses. – Dan. 2 : 36-45.
LA PIERRE DETACHEE SANS LE SECOURS D’AUCUNE MAIN
Voilà bientôt dix-neuf siècles que Dieu rassemble cette église, qui n’est en somme qu’un « petit troupeau » (Luc 12 : 32). A la fin de cet âge, ces fidèles seront faits cohéritiers de Christ. Formant la classe du Royaume, l’Epouse de. Christ, ils posséderont la nature spirituelle ; ils partageront avec Christ le grand pouvoir de bénir toutes les familles de la terre, rendant à l’humanité sa perfection dans un Eden qui s’étendra sur toute la surface du globe.
Cette classe de personnes, cette pierre est détachée de la montagne sans le secours d’aucune main. En langage symbolique une main signifie le pouvoir. « Sans aucune main » veut dire que Dieu n’exerça aucune coercition pour séparer l’Eglise du monde. Toutefois, l’apôtre dit : « Nous sommes son ouvrage, ayant été créés en Jésus-Christ pour de bonnes oeuvres » (Eph. 2 : 10). Dieu travaille dans cette classe par ses promesses. Comme dit saint Pierre : Dieu nous assure « les plus grandes et les plus précieuses promesses, afin que par elles nous devenions participants de la nature divine » (2 Pierre 1 : 11). Ce n’est pas par une pression, ni par des foudres ou des imprécations, mais par ses promesses que Dieu travaille en nous. Il ne pousse ni ne tire, mais Il attire comme l’aimant attire le fer.
LA CLASSE DE PERSONNES RECHERCHEE AUJOURD’HUI PAR DIEU
Lorsque Jésus émit cette pensée obscure qui offensa quelques-uns de ses auditeurs, Il savait d’avance l’effet qu’elle produirait, Il savait que certains ne seraient pas capables d’en saisir la portée. C’était les inviter à se retirer, car c’est la volonté du Père de séparer, de cette classe choisie, ceux des individus qui méritent d’être écartés. Il désire mettre de côté tous ceux qui n’offrent pas le caractère requis pour en faire partie, de façon que tous ceux qui resteront soient bien ceux qu’il faut. Dans toute vie chrétienne il y a eu des occasions de choisir un chemin plus facile. Dieu laisse libre de prendre ce chemin-là tout individu qui cherche les sentiers fleuris plutôt que les sentiers ardus qu’Il a mis devant ses pas.
Dans les siècles de ténèbres, où fut inventée la doctrine des tourments éternels, le monde pensait que Dieu ne ferait rien pour empêcher les hommes de tomber dans ces tourments, mais personne ne fut jamais en danger d’aller aux tourments éternels ; ceux qui chutent ne font que méconnaître leurs privilèges, car il faut dire que la grande multitude, dont les Lévites étaient le type, a eu le privilège et l’occasion de s’élever à la prêtrise. Tous s’étaient consacrés ; tous appartenaient à la classe « épargnée », choisie pendant l’Age évangélique. Ils avaient le privilège de devenir membres de la Sacrificature royale, mais ils n’ont pas suffisamment apprécié les honneurs qui leur étaient offerts d’engager toutes les énergies de leur existence au service du Roi des rois. Il les laisse donc suivre leur voie, choisissant pour ses élus ceux qui se réjouissent dans l’accomplissement de sa volonté, mais non ceux qui y sont forcés.
Pendant l’Age millénaire, tous seront contraints de faire la volonté de Dieu ; ceux qui ne la feront pas seront détruits ; mais, en admettant que pendant un certain temps ils fassent cette volonté par force, il sera attendu d’eux qu’ils finissent par aimer cette volonté en en voyant les avantages. C’est ainsi qu’à la fin de cette Dispensation, sera considéré indigne de la vie éternelle tout être humain qui n’aura pas acquis l’amour de la justice et la haine de l’iniquité, la sympathie pour tout ce qui est bien. Pour lui, sa vie sera retranchée après le Règne millénaire de Christ.
Au moment de sa consécration, le Seigneur Jésus s’offrit volontairement à accomplir la volonté de son Père, quoique cette volonté lui eût été plus ou moins cachée ; Il ne l’avait pas encore entièrement comprise lors de son baptême, mais sa pensée était celle-ci : quelle que fût la volonté du Père, elle deviendrait sienne. Il en est de même de ses disciples. Du moment qu’ils se donnent à Dieu comme Ses enfants et cohéritiers de Christ leur Seigneur, ils acceptent ce que la Providence leur réserve, quoi que cela puisse être. C’est un grand point d’acquis que d’avoir ce fait présent à l’esprit, car le changement qu’il entraîne dans les circonstances et dans la conduite de notre vie doit nous servir d’épreuve. L’Eternel choisit un peuple qui non seulement consent à conclure une alliance avec Lui, mais encore garde cette alliance. S’il ne peut le faire complètement dans la chair, il peut du moins le faire en esprit ; s’il y a en lui des faiblesses charnelles qu’il ne peut surmonter, l’Eternel en tient compte, car Il regarde aux intentions, au coeur de la nouvelle créature.
« CETTE PAROLE EST DURE ; QUI PEUT L’ECOUTER ? »
Il y a cependant un point obscur que les disciples n’ont pas compris : « Si vous ne mangez la chair du Fils de l’homme et si vous ne buvez son sang, vous n’avez point la vie en vous-mêmes ». (Jean 6 : 53). Voilà des paroles mystérieuses. Ils se dirent : « Comment peut-Il nous donner sa chair à manger ? » « Cette parole est dure, qui peut l’écouter ? » Pour la comprendre, il faut avoir le saint Esprit. Les douze eux-mêmes n’ont bien saisi qu’après la Pentecôte ces profondeurs de l’Esprit ; mais ils savaient qu’il était exigé d’eux de rester fidèles même sans comprendre (Jean 14 : 26). Il en est de même de nous ; le Seigneur attend que nous soyons fidèles à certaines instructions de sa Parole sans les comprendre toujours. Nous connaissons en partie le Sauveur et les plans divins qui sont les choses les plus extraordinaires, les plus admirables, et si, à part cela, l’obscurité règne encore pour nous au sujet de quelques textes, notre devoir et notre privilège sont de rester fidèles malgré tout.
Cela nous aide, nous encourage de savoir que quelqu’un veut bien nous instruire, de savoir que nous recevrons de lui selon nos moyens. Remercions Dieu de ce qu’Il nous garde de près, de ce qu’Il est pour nous un Maître si indulgent, de ce qu’Il a préparé nos esprits à comprendre toute la grandeur de l’amour divin, sa hauteur et sa profondeur ! Mais ces « pensées obscures » sont pour beaucoup une pierre d’achoppement.
MANGER LA CHAIR DU FILS DE L’HOMME
Elle est aussi juste de nos jours que du temps de Christ, cette parole. « Si vous ne mangez ma chair et si vous ne buvez mon sang, vous ne pouvez avoir de vie en vous ». Manger la chair de Christ signifie nous approprier les mérites de sa chair. C’est spirituellement que nous nous approprions les mérites de sa chair, de sa nature humaine qu’Il a sacrifiée pour Adam et tous les membres de sa famille. La vie d’Adam et de sa race était perdue ; leur vie future était perdue. Tous les descendants d’Adam avaient par conséquent perdu le droit à la vie terrestre éternelle. Si Christ a sacrifié sa chair pour le monde entier, c’est pour que toute la race d’Adam pût recouvrer ce droit. La nouvelle vie de Christ n’est ni terrestre, ni charnelle ; Christ possède à présent un corps spirituel. C’est pourquoi Il n’avait que sa vie terrestre à donner pour le monde, pour Adam et sa descendance. Notre Seigneur n’a jamais perdu sa vie par le péché, c’est pourquoi Il a encore droit à une vie humaine, à un organisme humain. Maintenant, glorifié et étant de nature divine, Il abandonnera le mérite de sa vie humaine ; Il ne l’a pas encore fait.
La Bible nous dit qu’Il le fera à la fin de l’âge actuel. Quand l’Eglise sera glorifiée, Jésus intercédera auprès du Père Céleste en faveur du monde (Jean 17 : 9 ; Psaume 2 : 8). Dieu ayant conçu ces plans en deux parties, Christ a commencé par s’assurer les bénédictions pour son Eglise, et c’est ensuite qu’Il travaillera au salut du monde. Il a dit : « C’est ma chair que je donnerai pour la vie du monde », et c’est le Père, le grand Juge, qui la donnera, car c’est le Père qui a condamné Adam par ces mots : « Tu mourras certainement ». Si de nouvelles dispositions n’intervenaient pas, si un être humain parfait ne venait pas se substituer, s’offrir en lieu et place de l’être humain déchu qu’était le premier Adam, il n’y aurait plus aucune perspective d’une vie future pour Adam et pour sa race.
Jésus vint accomplir cette tâche ; Il donna sa vie pour celle d’Adam, sa nature humaine pour celle d’Adam. Voilà dix-huit siècles que Jésus offrit sa vie en sacrifice, mais Il n’en a pas encore déposé le prix pour servir de rançon ; Il conserve encore le droit d’effectuer ce payement et II va bientôt l’effectuer d’une manière absolument définitive comme prix équivalent de la vie d’Adam. A ce moment-là Jéhovah remettra entre les mains de Jésus Adam et toute sa race ; notre Seigneur entrera alors en possession de son pouvoir et de son règne. C’est à ce moment-là qu’Il aura le droit de bénir le monde. Pourquoi le monde n’est-il pas encore à présent converti à lui ? Il serait illogique que Jésus payât le prix de rachat du monde avant que le Père lui remît le monde entre ses mains, car alors Christ ne pourrait rien faire pour lui. Mais le monde ne sera pas racheté avant que l’Eglise ait été glorifiée avec le Seigneur, avant qu’Il se la soit associée.
Une image nous montre l’Eglise comme membres du Corps de Christ ; une autre nous montre Christ comme Epoux avec son Epouse l’Eglise. Après le mariage de l’Agneau, l’oeuvre glorieuse en faveur du monde sera entreprise ; c’est Christ qui l’entreprendra. C’est alors que les dettes d’Adam et de sa postérité inscrites dans le livre de la justice seront annulées ; l’oeuvre de Christ sera la bénédiction de l’humanité dès le début. Pendant toute la période de son règne, Christ donnera à manger sa chair aux humains, c’est-à-dire qu’Il leur accordera les mérites de son sacrifice afin qu’ils aient la possibilité d’acquérir toutes les qualités de perfection humaine qu’Il a offertes en sacrifice pour eux. La race humaine mangera sa chair pendant tout le Millénium.
BOIRE LE SANG DU FILS DE L’HOMME
Après avoir vu ce que recevra le monde, voyons quelle sera la part de l’Eglise. Jésus lui a dit : « Si vous ne mangez la chair du Fils de l’homme et si vous ne buvez son sang, vous n’avez point la vie en vous-mêmes » L’Eglise doit non seulement manger sa chair, mais aussi boire son sang. Nous ne mangeons pas cette chair comme le monde la mangera. Nous nous approprions dès maintenant par la foi ces bénédictions qui ne seront échues au monde que prochainement. Nous acceptons l’appel de cet âge-ci pour suivre Jésus notre Sauveur en sacrifiant notre vie terrestre comme Il a sacrifié la sienne. C’est une invitation à quitter le monde et ses ambitions, ses espoirs et ses attaches pour devenir de nouvelles créatures en Christ, pour être engendrés à la nature spirituelle, naître plus tard de l’Esprit, être élevés au-dessus des anges, des principautés, des puissances et de tout nom qui se peut nommer à l’exception de Christ lui-même et du Père. C’est l’invitation que nous avons acceptée.
A nous d’agir comme a agi Jésus. Tout d’abord ses mérites nous sont imputés. Imputer, c’est attribuer. Il y a une différence entre attribuer quelque chose et le donner. Ces mérités, Il les donnera au monde pendant son Règne millénaire.
L’humanité acquerra plus de santé, de puissance et d’énergie morale ; elle recouvrera réellement ce qu’elle a perdu. Toutes ces choses, c’est par la foi qu’elles sont imputées ou attribuées à l’Eglise. Pour illustrer la chose, disons que si vous n’aviez pas accepté de répondre au haut appel, vous auriez eu droit au rétablissement promis à toute l’humanité. Mais d’après les plans de Dieu, vous recevez dès maintenant, dans l’âge présent, tout ce qui vous manque en perfection ; ce qui signifie que si quelqu’un ne possède en perfection de caractère que 25%, Jésus lui attribue 75%. Au lieu de donner réellement ce qui vous manque, en vous élevant à la perfection, Il vous l’impute. C’est ainsi que les élus se nourrissent de sa chair. Nous faisons en ce moment l’expérience de la grande bénédiction qu’Il nous donne dans le pardon de nos péchés, en nous attribuant ses mérites qui sont une compensation à toutes nos faiblesses. Toutefois ceci nous mettrait simplement, dans l’âge à venir, au même niveau que le monde. C’est pourquoi nous devons faire plus. C’est à nous, l’Eglise, à boire son sang, à donner notre vie avec la sienne, car le monde ne fera pas le sacrifice de sa vie terrestre. C’est à nous, qui devenons sacrificateurs avec Christ, à sacrifier notre vie terrestre dont le sang des sacrifices typiques est le symbole. Nous abandonnons donc tous nos droits à la vie et à la nature humaine terrestre comme le Seigneur l’a fait de ses droits terrestres, et, de même que le Père lui a donné la vie la plus élevée, de même Il nous a promis de nous donner cette même vie, si nous voulons l’imiter.
C’est en cela que consiste notre alliance, l’acceptation de boire son sang, de partager ses souffrances et sa mort. Voilà l’alliance spéciale qui nous fait entrer maintenant dans la famille de Dieu. C’est la coupe qu’a bue Jésus, parce que c’est pour lui premièrement que le Père l’a remplie. C’est avec une joyeuse et entière soumission à la volonté du Père qu’Il l’a bue. Nous avons appris que nous possédons le privilège de le suivre et d’offrir nos vies avec la sienne. Nous voici. Nous avons tout mis à ses pieds pour qu’Il nous donne une vie nouvelle, une nouvelle nature, la vie spirituelle, la nature divine, bien au-dessus des anges, des principautés et des puissances.
LES MEMBRES DE CHRIST AURONT L’IMMORTALITE
Au début de nos expériences de chrétiens, nous n’avions pas compris cela mieux que les douze apôtres et les autres chrétiens. Mais nous voyons à présent que nous ne pouvons obtenir la vie éternelle qu’en mangeant la chair de Jésus et en buvant son sang. Cela signifie davantage qu’avoir seulement la vie éternelle. Adam avait la vie, mais non pas la « vie en lui-même », la vie inhérente. Il n’avait pas l’immortalité. Les anges n’ont pas non plus la vie en eux-mêmes ; c’est Dieu qui pourvoit à leurs besoins. Il agira de même envers toute la famille humaine. Lorsque Adam était à l’état parfait, Dieu pourvoyait à son maintien dans cet état.
« Comme le Père a la vie en lui-même, ainsi il a donné au Fils d’avoir la vie en lui-même. » (Jean 5 : 26). Il la donnera aux membres de son corps. Les privilèges et les honneurs accordés aux anges seront grands et les bénédictions accordées à l’humanité ramenée à la perfection seront grandes aussi ; toutefois, l’Eglise de Dieu possédera la gloire et les honneurs au suprême degré, l’immortalité, la participation à la nature divine, parce qu’elle aura mangé la chair et bu le sang du Fils de l’homme.
Malgré tout, les conditions imposées à ceux qui veulent affermir leur vocation et leur élection en vue de cette situation élevée sont sérieuses, cependant ce n’est qu’un « culte raisonnable ». Ils ne partageront l’exaltation de leur Sauveur que s’ils partagent son ignominie en marchant sur ses traces, en suivant son exemple pendant le temps présent, alors qu’il est encore permis au mal de triompher. Le Maître fut méprisé et rejeté des hommes, et finalement Il fut crucifié par ceux-là mêmes qui professaient l’amour de la justice et sa mise en pratique. De même, celui qui, pendant l’âge évangélique, a observé fidèlement l’alliance du sacrifice a rapidement connu quelque chose des souffrances de Christ. – Col. 1 : 24 ; Rom. 8 : 17 ; 2 Tim. 2 : 11, 12.
Sermon du Pasteur Russell.