L’ARCHE DE NOÉ, UN TYPE DE CHRIST

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« Cette eau était une figure du baptême, qui n’est pas la purification des souillures du corps, mais l’engagement d’une bonne conscience envers Dieu, et qui maintenant vous sauve, vous aussi, par la résurrection de Jésus-Christ ». — 1 Pierre 3 : 21.

D’après le contexte on voit que l’Apôtre Pierre a à l’esprit le grand Déluge. Il rappelle à ses lecteurs que toute l’humanité d’alors périt dans ce Déluge, à l’exception de huit âmes sauvées de la mort grâce à l’Arche construite selon les instructions de Dieu. Cette arche, bien qu’engloutie dans l’eau, fut leur salut. Saint Pierre déclare que cela « était une figure du baptême ». *Ceux qui furent sauvés du déluge, remarquons-le, ne furent pas sauvés de tourments éternels ; ce qui constituait une figure de salut ne devait pas indiquer que l’Eglise était sauvée de tourments éternels par le baptême en Christ. Noé et sa famille furent sauvés de la mort; et les membres de l’Eglise de Christ sont pareillement sauvés de la mort par leur baptême.

De même que le monde entier d’alors périt dans le grand Déluge, de même tout le genre humain actuellement est un monde mort, un monde qui va périssant. Les membres de la classe de l’Eglise en faisaient partie, jusqu’à ce qu’ils en sortissent, grâce à Christ. De même que Noé et sa famille furent sauvés de la mort en entrant dans l’Arche, ce qu’ils firent par obéissance à Dieu, de même les membres de l’Eglise de Christ sont sauvés de la mort adamique par leur obéissance à Dieu, en acceptant Son offre de salut (Jean 17 :16 ; 15 19). L’Arche de Noé représentait Christ. Quiconque entre en Christ, entre dans le salut; il est en sécurité et il échappe au danger et à la destruction. Il est dit de tous ceux qui entrent ainsi en parenté avec Dieu, en Christ, qu’ils sont « passés de la mort à la vie ». — Jean 5 : 24.

Seul un nombre très limité de personnes entrent en Christ et accomplissent cette figure. Celle-ci n’inclut pas ceux qui disent simplement:

« Je désire vivre une meilleure vie ». Agir ainsi est louable, mais ce n’est pas entrer en Christ ; en effet, comme le dit l’Apôtre : « Si quelqu’un est en Christ, il est une Nouvelle Créature ; les choses anciennes sont passées ; voici, toutes choses sont devenues nouvelles. » (2 Cor. 5 : 17). Combien de choses au juste sont comprises dans les mots : « une Nouvelle Créature », même les véritables Chrétiens ne parviennent à le voir que graduellement. Est Nouvelle *Créature celui qui est mort à sa nature humaine, qui a de nouvelles espérances, de nouvelles ambitions, de nouvelles affections, celui qui possède les précieuses promesses de Dieu ainsi que la perspective de recevoir à l’avenir une existence spirituelle en lieu et place d’une existence humaine. Il est une exception par rapport aux autres du fait d’avoir été engendré du Saint Esprit. Du point de vue divin, il n’est plus un être humain ; une vie nouvelle a commencé en lui.

Cette Nouvelle Créature est d’abord un bébé; il lui faut se nourrir spirituellement et grandir en Christ de plus en plus. Dieu a pourvu aux « très grandes et précieuses promesses » de Sa Parole pour stimuler, fortifier, développer les membres de cette classe et les rendre plus fermes pour la justice et opposés à tout ce qui est péché. L’Eglise est vraiment une Nouvelle Création, comme le dit l’Apôtre. — 2 Pierre 1 : 4 ; 2 Cor. 5 :17.

Deux figures semblables du salut de l’Eglise

Revenons à notre texte. Nous remarquons que Saint Pierre écrit : Cette eau était une figure du baptême… qui maintenant vous sauve. » Le salut opéré par l’arche était une figure du salut obtenu par l’Eglise grâce au baptême en Christ; le baptême dans l’eau en est une autre. Il existe un rapport entre ces deux figures. Noé et sa famille furent submergés dans de l’eau. Les candidats au baptême sont aussi submergés dans de l’eau. Mais dans un cas comme dans l’autre, ce n’est pas l’eau qui sauve. Le baptême extérieur ne nous sauve pas, si ce n’est en figure. Il représente le baptême réel. Mais la figure ne traite pas du lavage dans l’eau des souillures de la chair (du corps). Les souillures de notre chair, que nous commettons en tant que Nouvelles Créatures, ne peuvent être lavées que par la grâce de Dieu en Christ, « par le lavage d’eau par la parole » (Eph. 5 : 26, Darby) ; c’est un processus graduel qui se développe après que nous sommes devenus de Nouvelles Créatures. Ainsi, ni l’une ni l’autre de ces purifications n’expriment ce qui est préfiguré dans le baptême d’eau.

Notre texte porte à notre attention un baptême particulier, non un baptême qui opère le lavage de la chair, dans un sens littéral ou figuratif, mais « la réponse d’une bonne conscience envers Dieu » (1 Pierre 3 : 21, version anglaise dite du Roi Jacques). Quelles ont été les paroles de Dieu auxquelles nous devrions répondre ? Nous dirons que notre Père Céleste nous a appelés, invités à un héritage céleste magnifique, et nous répondons en acceptant Sa proposition. Il nous a invités à devenir un peuple séparé. Comme Dieu dit à Noé et à sa famille qu’ils seraient sauvés en se rassemblant dans l’Arche, Il dit de la même manière exactement à tous ceux qu’Il invite durant cet Age de l’Evangile : « Assemblez-moi mes saints, qui ont fait alliance avec moi par un sacrifice ! » — Ps. 50 : 5.

Remarquons quel est celui auprès de qui nous devons être rassemblés. De sérieuses erreurs ont été commises à ce sujet. Certains ont pensé que nous devions être rassemblés auprès de Luther d’autres, auprès de Calvin ; d’autres auprès de Wesley, etc. Il n’en est rien ! « Assemblez-Moi mes saints », déclare Jéhovah. Il ne nous a pas dit de nous rassembler dans l’Eglise de Rome, dans l’Eglise d’Angleterre, dans l’Eglise Luthérienne, Presbytérienne, Méthodiste, Baptiste ou dans une autre organisation faite par l’homme. Dans ces diverses dénominations se rassemblent des millions de personnes dont la vie démontre qu’elles ne connaissent pas Dieu et ne cherchent pas à Le connaître.

L’alliance de Sacrifice

Seul un très petit nombre de personnes ont conclu avec Dieu cette Alliance par le Sacrifice, présenté leur corps en sacrifice vivant, à l’exemple de Christ, en réponse à l’appel spécial lancé par Dieu durant l’Age de l’Evangile. Dieu ne cherche pas à attirer le monde à Lui actuellement. Il nous informe que les hommes sont aveugles et sourds. Comme l’a dit Jésus : « Que celui qui a des oreilles pour entendre entende ! » Il déclara encore à Ses disciples : « Heureux sont vos yeux, parce qu’ils voient, et vos oreilles, parce qu’elles entendent ! » (Matth. 11 : 15 ; 13 : 16). Nous remercions Dieu pour ceux qui ont l’œil qui voit et l’oreille qui entend. C’est un grand privilège de voir et d’entendre.

L’Apôtre Paul nous informe pourquoi la grande majorité des hommes n’est pas à même d’entendre le glorieux Message de l’Evangile. Il déclare : « Le dieu de ce siècle a aveuglé les pensées des incrédules. » (2 Cor. 4 : 4, Darby). Satan est ce dieu. Il s’oppose violemment au développement de tous les traits du grand Plan de Dieu. Il est adversaire de Dieu depuis qu’il a dévié des principes de la justice. Il accomplit tout ce qui est en son pouvoir pour contrarier les arrangements de l’Eternel. Il sait que si les hommes parvenaient une fois à entrevoir la lumière de la bonté de Dieu, et à entendre le joyeux message annonçant la grâce de Dieu, cela exercerait sur eux une si grande attraction que la grande majorité d’entre eux y répondrait sûrement. C’est pourquoi il s’efforce de les empêcher de voir cette lumière et d’entendre ce message. Il connaît une multitude de stratagèmes pour aveugler les hommes. De souriantes perspectives terrestres, l’ambition de devenir quelqu’un de grand, des projets égoïstes pour gagner des avantages que n’ont pas les autres, tous ces moyens et beaucoup d’autres de même nature sont employés pour empêcher les hommes de voir ce qui a une valeur réelle et durable.

Ceux qui recherchent Dieu ardemment, Satan s’efforce de les détourner vers divers mouvements de réforme […]. Il fait cela pour les empêcher d’entendre l’Appel spécial de Dieu. Ces mouvements sont certainement tous bons pour les gens du monde. Il est probable que, plus ou moins, ils éveillent des pensées et développent des sentiments conformes à l’œuvre du Rétablissement qui s’effectuera au cours de l’Age prochain. Mais aucun de ces mouvements ne constitue le travail que les saints de Dieu doivent accomplir de ce côté-ci du voile. Satan rirait s’il arrivait à séduire les enfants de Dieu en les entraînant dans certains de ces mouvements, pour les empêcher de voir et d’exécuter l’œuvre véritable incombant à l’Eglise de Christ, et par là d’affermir leur appel et leur élection.

Le véritable Evangile est l’Histoire la plus magnifique qui existe au monde ! Rien ne lui est comparable ! C’est le message annonçant que Dieu invite actuellement une certaine classe de personnes à devenir Ses héritiers et les cohéritiers de Christ. A Ses fidèles, Il promet « un héritage qui ne se peut ni corrompre, ni souiller » et qui leur est réservé dans les cieux ; c’est un héritage qui ne se flétrit pas (Rom. 8 :17 ; 1 Pierre 1 : 4). A dire vrai, « ce sont des choses que l’ œil n’a point vues, que l’oreille n’a point entendues, et qui ne sont point montées au cœur de l’homme, des choses que Dieu a préparées pour ceux qui L’aiment ». — 1 Cor. 2 : 9.

« L’engagement d’une bonne conscience »

Notre abandon à l’Eternel fut « l’engagement d’une bonne conscience envers Dieu ». Quand Dieu nous invita à devenir sacrifices vivants par Christ, à être saints et à suivre Jésus, la réponse de notre conscience fut : « Eternel, nous répondons en acceptant Ta gracieuse invitation. » Cela n’était-il pas l’engagement d’une bonne conscience ? Si, cela l’était. Que pourrait dire une bonne conscience envers Dieu, si ce n’est qu’elle accepte avec joie d’effectuer la volonté du Père Céleste ? Il nous a fait une proposition des plus merveilleuse, pourvoyant à un Rédempteur afin d’ouvrir le chemin conduisant à toute la gloire et à tout l’honneur promis avec Christ. L’unique réponse d’une bonne conscience ne saurait être que celle-ci : « Voici, Eternel, je te donne mon petit tout. » C’est là ce que le baptême signifie ; et c’est là aussi, assurément, notre « culte raisonnable », comme le dit l’Apôtre (Rom. 12 : 1). C’est la chose la plus raisonnable que l’on puisse imaginer. Aussi, devrions-nous exécuter continuellement les termes de notre alliance de sacrifice, jusqu’à la mort.

Si notre Seigneur Jésus, après avoir conclu avec Dieu cette Alliance de Sacrifice et s’être mis en devoir de l’exécuter, avait dit : « Père, je sais que je suis venu sur terre accomplir Ta volonté; mais tant de gens se méprennent sur mon compte et me calomnient que je ne puis continuer à marcher dans cette voie. Ils présentent sous un faux jour tout le bien que je m’efforce de faire, et je ne puis rien accomplir. » Que Lui aurait répondu le Père ? Sa réponse aurait été : « Si tu préfères l’approbation des hommes à la Mienne, choisis-la. Mais je ne pourrai Te donner la glorieuse récompense que je T’avais offerte, à moins que Tu ne remplisses les conditions imposées. Il te faut aimer Ma volonté plus que toute autre chose, sinon Je ne puis T’accepter ».

Il en est de même des disciples de Jésus. Nous passons par les mêmes épreuves que Lui. Le Père ne permet pas que les épreuves nous terrassent et Il nous accorde Sa grâce chaque fois que nous en avons besoin ; mais il nous faut avoir un cœur qui réponde pleinement à la volonté de Dieu, sans quoi nous ne pouvons être agréables à Ses yeux; nous perdrons le prix et serons considérés comme des serviteurs infidèles. Il nous faut vouloir que la fidélité à Dieu nous coûte quelque chose, même, si besoin est, la perte de toutes perspectives terrestres.

L’attitude de cœur exprimée par ces paroles: « Aussi longtemps que le bien sera aussi facile à faire que le mal, je choisirai le bien, mais si le mal devient plus facile à faire que le bien, je choisirai la voie la plus facile », est une attitude déloyale envers Dieu. Le cœur imprégné de cette disposition serait indigne du glorieux Haut-Appel. En vérité, pareil cœur rendrait même méprisable tout être humain. Notre fidélité doit être totale, sinon Dieu nous rejettera. Le Seigneur Jésus présente ce sujet sous ce jour précisément quand Il dit : « Quiconque aura honte de moi et de mes paroles au milieu de cette génération adultère et pécheresse, le Fils de l’homme aura aussi honte de lui, quand Il viendra dans la gloire de Son Père, avec les saints anges. » (Marc 8 : 38.) Jésus aurait honte d’avoir dans Son Royaume une telle personne. — Ps. 51 : 6 ; 66 : 18.

Le Père et le Fils veillent pour voir jusqu’à quel point nous sommes sincères. Si nous sommes fidèles — dans les conditions présentes défavorables — alors que la fidélité à la Vérité attire beaucoup de reproches, que les gens pointent sur nous le doigt du mépris, le Seigneur déclarera : « Voici ceux qui régneront dans mon Royaume. Ceux qui font leurs délices de mon amour et de mon approbation au point de me servir même en endurant des persécutions et des souffrances, en étant mal compris et mal considérés, ceux-là seront fidèles quand ils seront élevés à des positions de gloire. »

La mort avec Christ, portail de la gloire

Des enfants de Dieu aussi fidèles, à ce point aimés, « suivent l’Agneau partout où Il va ». Le Seigneur Jésus leur dira : « Je me fais un plaisir de vous dire : asseyez-vous avec moi sur mon Trône. » (Apoc. 2 : 26, 27 ; 3 :12, 21.) En Romains 6 : 3, l’Apôtre déclare : « Ignorez-vous que nous tous qui avons été baptisés en Jésus-Christ [dans le Corps dont Christ est la tête], c’est en sa mort que nous avons été baptisés ? » Ces baptisés deviennent avec Jésus le Christ de Dieu, l’Oint de Dieu ; le mot Christ signifie en effet Oint. Dieu n’a jamais considéré quelqu’un comme membre de l’Eglise de Christ, à part ceux qui Lui ont entièrement abandonné leur volonté et qui sont morts au monde.

C’est cela notre baptême, dans la mort comme êtres humains, et dans la vie comme êtres spirituels. Notre nature spirituelle n’est qu’engendrée jusqu’ici, mais nous naîtrons comme êtres spirituels lors de notre « changement » dans la Première Résurrection. Nous sommes maintenant ressuscités comme Nouvelles Créatures, « pour marcher en nouveauté de vie », mais nous ne le sommes pas encore au sens complet de ce terme. Nous n’avons pas encore reçu nos nouveaux corps. Notre nouvel esprit est en cours de développement. Nous avons dit que nous avons tout donné à Dieu. Si nous nous maintenons continuellement dans cette attitude d’esprit, et remplissons fidèlement les clauses de notre alliance, nous demeurerons dans Son amour et, en temps voulu, nous deviendrons les associés de Son Fils, dans la gloire. Le renoncement à notre volonté, lors de notre consécration, n’est qu’un commencement. Jour après jour, semaine après semaine, mois après mois, nous devons remplir les termes de notre alliance. La pensée d’un retour en arrière ne doit pas nous venir à l’esprit. Ayant mis les mains à la charrue, nous n’avons pas à regarder en arrière. « Quiconque met la main à la charrue, et regarde en arrière, n’est pas propre au royaume de Dieu. » — Luc 9 : 62.

Quand Jésus était homme, sur terre, Il prononça de très dures paroles en une certaine occasion (Jean 6 : 50-69), et « dès ce moment, plusieurs de ses disciples se retirèrent, et ils n’allaient plus avec lui », est-il écrit. Ils déclarèrent : « Cette parole est dure ; qui peut l’écouter ? » Alors Jésus questionna les Douze : « Et vous, ne voulez-vous pas aussi vous en aller ? » Simon Pierre, l’impulsif, le noble Pierre répondit : « Seigneur, à qui irions-nous ? Tu as les paroles de la vie éternelle. »

Au cours de l’Age actuel, il n’est aucun autre Message offrant la vie éternelle, à part l’Appel à l’héritage avec Christ, aux souffrances avec Lui jusqu’à la mort, afin de participer à Sa gloire ensuite. C’est le seul moyen permettant d’entrer dans l’Arche et d’être préservé de la mort si commune autour de nous. Jésus est l’Arche où nous sommes en sûreté. « Par la résurrection de Jésus-Christ », notre baptême a été rendu possible, comme le déclare le texte, objet de notre étude.

Ce même Simon Pierre nous dit dans ce texte que l’Arche de Noé fut le symbole d’une puissance salvatrice, une ressemblance ou figure de la délivrance que nous expérimentons actuellement par le baptême en Christ. Quel refuge dans cette Arche de sureté Noé et sa famille étaient dans le monde, mais non du monde, et ils furent transportés en sécurité à travers les eaux envahissantes dans lesquelles le monde entier périssait ; il en est de même de ceux qui sont en Christ. Tous ceux qui nous entourent sont dans un état de mort, selon la Bible qui déclare : « Le monde entier gît dans le méchant. » (1 Jean 5 : 19, Darby). L’Eglise seule s’est soustraite de la condamnation qui frappe le monde.

Nous qui étions des enfants de colère comme les autres, nous étions sous le coup de la condamnation à mort comme le reste du monde. Mais l’Eternel notre Dieu nous a gracieusement introduits dans une parenté de fils, du fait de notre foi en Christ et de notre obéissance à l’arrangement qu’Il a fait et qui se centralise en Christ. Comme Noé et sa famille, après leur délivrance, donnèrent naissance à un nouveau monde, de même Christ et Son Eglise, bientôt, donneront de nouveau la vie à tous ceux d’entre le genre humain qui accepteront ce qui a été gracieusement préparé pour eux, en Christ.

Le monde mort doit bientôt ressusciter et avoir l’heureuse occasion de parvenir de nouveau à une vie pleine et entière. Christ doit être le Père Eternel de la race humaine (Esaïe 9 : 6, 7), et l’Eglise en sera la mère. Si magnifiques et glorieuses que soient les bénédictions réservées à l’humanité, et qui seront dispensées aux hommes lorsque ceux-ci auront appris combien grande est la culpabilité du péché, de beaucoup plus grande et plus glorieuse sera la récompense que recevront les fidèles membres de l’Eglise qui aiment l’Eternel au point de vouloir, avec joie, obéir à Jésus et Le suivre sous les conditions pénibles et douloureuses du temps présent.

Tiré de l’ouvrage « Pastor Russell’s sermons »

(Les sermons du pasteur Russell), page 341.

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