Le réchauffement climatique – Extraits d’anciennes « Tours de Garde »

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“Il paraît certain que pour transformer la terre en un paradis semblable à celui d’Eden, tel que les prophéties le présentent, et pour en faire un lieu approprié pour la race humaine rétablie, il faut que surviennent de grands changements climatiques, etc. Regardant derrière nous, nous constatons que des changements de climat importants, etc. se produisirent au temps du Déluge ; il s’opéra un changement qui affecta immédiatement la longévité de l’humanité. En effet, auparavant, la moyenne de vie se situait entre 500 et 1000 ans, mais elle fut écourtée immédiatement après (voyez Genèse 6 : 3 ; 9 : 29 ; 11 : 32). De plus, nous apprenons que jusqu’au déluge, il ne pleuvait pas sur terre, mais une vapeur s’élevait de la terre et arrosait la surface du sol. (Genèse 2 : 5,6). Ces changements se produisirent à la fin du premier monde ou dispensation – au commencement du « Présent mauvais monde», ou dispensation – et nous pensons que le temps approprié pour s’attendre à un autre changement, en vue d’un état de choses meilleur, serait la fin de la présente dispensation mauvaise, au seuil du « Monde (de la dispensation) à venir », où la justice habitera. Nous ne croyons pas que ces changements s’effectueront soudainement, mais nous pensons que le Directeur de l’œuvre, infiniment sage, a prévu son plan de telle sorte que les changements physiques et ceux plus élevés s’opèrent parallèlement et au même rythme ». – (R. 534, colonne 2) – 15 octobre 1883.

“Nous pouvons être certains que de grands changements doivent se produire dans les climats et les sols de la terre, avant qu’elle soit « préparée » comme le fut le jardin d’Eden, pour être un foyer convenable à l’homme parfait. Les cyclones, les tremblements de terre, les coups de foudre et les alternances de sécheresse et de fortes pluies, de froides tempêtes de neige et de simouns brûlants, indiquent que la terre est imparfaite, car leurs causes sont sans aucun doute naturelles ; il est en effet très rare de les voir résulter spécialement de la Providence. Que Dieu aie mesuré exactement l’étendue complète de son plan, dans tous ses détails, nous ne pouvons en douter, après avoir pris connaissance du Plan des Ages ; nous savons ainsi que la terre doit parvenir à sa perfection, comme maison du jardin de l’homme, vers la fin de l’Age Millénaire, lorsque, l’épreuve de l’homme étant terminée, viendra le moment approprié, pour tous ceux qui seront bien disposés et pour les obéissants, de jouir de la faveur de Dieu au degré suprême, lorsque « il n’y aura plus de malédiction », que ce soit sur l’homme, ou sur la terre à cause de l’homme. Et si cela est vrai, comme il convient que de grands changements physiques, de même que moraux, se produisent dans cette période de moisson, de transition, qu’est « le jour de préparation », afin que le mal (catastrophe) se termine et que, par le moyen des courants d’eau jaillissant dans le désert (Esaïe 35 : 1,2,6)… Les convulsions physiques sont aussi nécessaires et appropriées que les bouleversements moraux et sociaux. » – (R. 879, colonne 2) – Septembre 1886.

“On peut s’attendre raisonnablement à de grands changements physiques dans la nature, comme faisant partie de l’affliction imminente (où s’entremêleront les ennuis sociaux, politiques, financiers et religieux de ce jour de l’Eternel). Ce que seront ces changements, nous ne le savons pas, mais nous savons que les conditions climatiques présentes, etc., ne sont pas celles auxquelles nous devrions nous attendre, ou qui nous sont promises pour le temps où «le Royaume appartiendra au Seigneur et qu’Il sera Gouverneur parmi les nations. » Si, par conséquent, certains d’entre ceux qui appartiennent au Roi, voient se réaliser à petite distance l’un quelconque des signes effrayants rattachés aux grands changements devant intervenir actuellement, qu’ils se rappellent que le Seigneur connaît les siens et qu’Il ne permettra pas qu’il leur arrive quelque chose qu’Il ne ferait pas concourir au bien » – (R. 2019, milieu de la colonne 1) – 15 août 1896.

“L’EFFET DU DELUGE…La température était égale sur toute la terre, les rayons du soleil agissant sur la voûte d’eau comme ils le font sur le verre blanc d’une serre chaude. La température était la même aux pôles comme à l’équateur. Ceci explique les restes d’animaux tropicaux et de vie végétale trouvés saisis dans la glace des régions polaires, à une profondeur de quelques centaines de pieds ( le « pied » est une mesure anglaise de longueur, équivalant à 0,3048 m, trad.)… Les étudiants de la Bible, à l’esprit scientifique, voient leur foi en la Parole de Dieu s’affermir de plus en plus. Sans affecter la zone torride, une température plus chaude s’étend maintenant très rapidement à la zone glaciale. « Les Montagnes Glacées du Groenland » seront bientôt des choses du passé. Les pôles se réchauffent. Les calottes glaciaires se dissolvent ». – (R. 5159, colonne 1) – 1er janvier 1913.

PREPARATIFS EN VUE DU MILLENIUM. La glace polaire, à la fois arctique et antarctique, paraît décroître régulièrement et il se peut que ces déserts glacials fleuriront littéralement une fois encore, comme la rose (Esaïe 35 : 1). La glace des deux pôles semble voguer vers les régions équatoriales, à tel point que, au nord, elle est devenue une menace pour le commerce. Il se peut que ce soit une œuvre préparatoire en vue des « temps du rétablissement ». – (R. 3184, dans les « Vues de la Tour de Garde » – 1er mai 1903.

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