L’HUMANITÉ S’ÉLOIGNE DE DIEU ET REPOUSSE LA BIBLE PAR SUITE DE FAUX ENSEIGNEMENTS

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(Sermon du Pasteur Russell)

SOMMAIRE

Les moyens que Satan emploie pour séduire réussissent. ‑ Pourquoi Dieu permet-il actuellement qu’il y ait des ténèbres au lieu de la lumière ? ‑ La foi et l’amour éprouvés. ‑ Les responsabilités de ceux qui enseignent. ‑ Dieu est calomnié. ‑ Le devoir de chacun. ‑ La Vérité va bientôt triompher. ‑« Ils seront confus ».

Texte : L’Esprit dit expressément que dans les derniers temps quelques‑uns abandonneront la foi pour s’attacher à des esprits séducteurs et à des doctrines de démons. 1 Tim. 4 : 1‑2.

C’est là une grave accusation portée contre l’enseignement religieux et surtout contre ceux qui enseignent ; cependant, ces paroles sont pleines de modération,

Nous voyons toujours davantage que le monde craint Dieu au lieu de L’aimer et que seules quelques églises Le reconnaissent comme le Père ou le « Dieu de toute grâce ». Selon les paroles de la Bible répétées à maintes reprises, Dieu est Amour, Sa miséricorde est infinie, c’est le Lui que viennent toutes les choses bonnes et parfaites, mais les doctrines de démons inculquées dès notre enfance à notre cerveau nous ont empêché d’apprécier ces déclarations des Ecritures.

Ce fut au deuxième siècle de notre ère que la Bible commença à être copiée et à paraître sous forme de manuscrits très coûteux ; peu de personnes pouvaient la lire, ce fut alors que Satan posa les fondements de grandes erreurs. Le clergé, à cette époque‑là aussi, proclama la succession apostolique ; les évêques prirent alors le titre d’évêques apostoliques, Cela signifia qu’ils étaient les successeurs des apôtres et qu’ainsi leurs enseignements avaient autant d’autorité que ceux des apôtres, Cette imposture prit pied graduellement. Bientôt personne ne fut autorisé à enseigner hormis ceux qui avaient vécu l’ordination de la part des soi‑disant successeurs inspirés des apôtres. La division de l’Eglise en deux classes bien distinctes s’ensuivit le clergé d’une part et le public, les laïques constituant les enfants de l’église de l’autre.

Un peu plus tard, de concert avec l’empereur Constantin, les évêques apostoliques établirent une confession de foi. Une des conséquences de cet acte fut que ces credo se substituèrent à la Bible, car l’empereur décida que la confession de foi de Nicée serait la seule règle de l’orthodoxie à suivie et que quiconque différerait de ces enseignements serait considéré comme hérétique, serait possible de persécution. Dès lors toute étude biblique fut comme une hérésie et amena des persécutions; l’étude de la Bible fut donc bannie et toute référence aux Ecritures fut regardée comme une injure faite aux évêques et à leurs credo.

Combien de temps cela dura‑t‑il ? Douze cents ans. On commença alors à contester l’autorité des évêques comme apôtres. On se mit à étudier la Bible, mais tous ceux qui le firent furent considérés comme hérétiques ou en danger de le devenir puisqu’ils mettaient de côté les credo. Combien d’erreurs se glissèrent ainsi dans l’Eglise pendant 1200 ans ! Et maintenant, devons‑nous nous étonner si nos credo contiennent des erreurs en si grand nombre ? Les doctrines de démons qui firent leur oeuvre parmi les croyances, comme le levain parmi la pâte, les corrompirent et les rendirent nuisibles à la santé spirituelle de la chrétienté.

Disons en passant que ce qui précède fut l’accomplissement de la prophétie de Jésus ayant trait au levain, à la corruption qui se glisserait dans l’Eglise (Matth. 16 : 6, 11, 12; Luc 13 : 21).

Jésus nous en parle encore en Apoc. 17 : 4, 2, où Il nous fait voir une femme ayant une coupe d’or à la main, remplie de ses propres fausses doctrines avec lesquelles elle a enivré tous les habitants de la terre. Toutes les nations ont bu à cette coupe d’abominations pendant des siècles, et maintenant elles commencent à se réveiller, confuses, irritées, troublées ! Mais Dieu soit loué de ce que nous nous réveillons et de ce que nous apercevons le glorieux matin du millénium qui est tout proche. Alors le Messie montrera Sa grande puissance et commencera Son règne. Il enlèvera l’ignorance et la superstition dans lesquelles le monde est plongé, et répandra partout la lumière véritable de la connaissance de la gloire de Dieu. ‑ (Es. 60 :2, 3 ; Hab. 2 : 14.

L’opposition systématique exercée contre la Bible

Je ne blâme pas nos ancêtres catholiques ou protestants, sans doute il y avait parmi eux des hommes mauvais, mais je crois pu il y avait aussi des hommes bons et sincères; je blâme comme l’apôtre, le grand adversaire, Satan, et ses démons les anges déchus. Nous avons été pervertis par ces doctrines de démons comme l’apôtre l’avait déclaré d’une manière prophétique.

Ce fut vers l’an 1500 de notre ère que le peuple un peu partout manifesta le désir de posséder le nouveau Testament et commença à douter de l’inspiration des évêques apostoliques. Ce fut à cette époque aussi que le professeur Tyndale traduisit le nouveau Testament en anglais. Mais il ne put pas le faire imprimer en Grande‑Bretagne à cause de la puissance des évêques (remarquez que c’étaient des évêques protestants) qui craignaient que la parole de Dieu mise ainsi entre les mains du peuple n’amoindrit leur autorité. Tyndale persévéra dans son entreprise, fit imprimer son nouveau Testament en Allemagne et l’introduisit à Londres. Peu de gens savaient lire, à ce moment-là, mais on acheta volontiers ce livre et l’on pria les personnes instruites de la lire à celles qui ne pouvaient pas. Les évêques craignirent bientôt que cela ne leur fît perdre leur puissance, car le peuple pouvait ainsi se former une opinion personnelle. Ils achetèrent l’édition entière et la brûlèrent publiquement devant la cathédrale de St.‑Paul à Londres. Notre Seigneur Jésus nous mit en garde contre ces soi‑disant apôtres (Apoc. 2 : 2) Il n’établit que douze apôtres et reconnut St.‑Paul comme le successeur de Judas. Ces douze‑là devaient être Ses porte‑parole spéciaux ; ils constituent la couronne de douze étoiles de l’Eglise et ses douze fondements (Apoc. 12 : 1 ; 21 : 14). Jésus, faisant allusion aux: faux évêques apostoliques, dit : «  Tu as éprouvé ceux qui se disent apôtres et qui ne le sont pas, et tu les as trouvés menteurs. ‑ Apoc. 2: 2; 2 Cor. 11 : 3.

La destruction du nouveau Testament aggrava les choses. Le peuple désira connaître pourquoi on ne lui permettait pas de lire les paroles de Jésus et de Ses douze apôtres. Les soi‑disant évêques apôtres se mirent alors à l’ouvrage et éditèrent bientôt une Bible à laquelle ils donnèrent le nom de Bible des Evêques, la répandirent parmi le peuple et menacèrent de tourments éternels ceux qui, par sa lecture, se détourneraient des credo. Le pauvre peuple intimidé fut tenu loin de la vérité par ceux qui prétendaient être ses conducteurs divinement établis ! Pauvres évêques qui ne voyaient pas, en agissant ainsi, qu’ils étaient aveuglés par des doctrines de démons!

Les catholiques romains comprirent aussi la nécessité de répandre la Bible parmi le peuple et d’affecter, comme les protestants, d’être des amis du progrès, des amis de ce livre. Ils mirent en circulation l’édition connue sous le nom d’édition de Douai. Il y avait peu de différence entre ces deux versions, chaque parti avisa le peuple que seule sa traduction était correcte ; ces efforts, d’un côté comme de l’autre, n’avaient d’autre but que d’empêcher le peuple d’étudier les Livres sacrés.

Encore aujourd’hui ce même esprit se manifeste partout; quiconque est d’accord avec les différents credo, catholiques ou protestants, est approuvé par la congrégation religieuse à laquelle il se rattache. Par contre, on calomnie et on traite d’hérétique et de dangereux personnage celui qui enseigne la Bible, n’étant appuyé par aucune dénomination religieuse quelconque, et qui montre la simplicité et la pureté du Message Divin d’amour et de miséricorde ; toute accusation fausse portée contre lui est considérée comme un service rendu à Dieu. Il n’est donc pas étonnant qu’il nous ait fallu des siècles pour nous débarrasser des erreurs du passé, et il est étonnant de voir jusqu’à quel point nous avons été aveuglés par l’adversaire Satan

Quelles sont ces doctrines de démons ?

« Les doctrines de démons » sont des mensonges dont le but est de représenter faussement le caractère et les actes de Dieu et ainsi d’intercepter la lumière du Message divin, afin qu’elle ne produise pas son effet sur le coeur humain. Mais, direz-vous peut‑être : «  Dieu n’aurait‑il pas pu empêcher Satan de pratiquer ses tromperies et de mal parler de Son caractère ? Sûrement Il l’aurait pu, car Il déclare qu’il le fera bientôt. Mais, plus d’une fois le Seigneur indique que ce n’était pas Son dessein d’employer la force durant la période de formation de l’Eglise.

Pierre dit : Dieu nous a donné « les plus grandes et les plus précieuses promesses, afin que par elles vous deveniez participants de la nature divine» (2 Pier. 1 : 4). Nous sommes l’ouvrage de Dieu, et le Père céleste travaille seulement par le moyen de Ses promesses dans le choix qu’ll fait d’une classe de personnes telles que les dépeignent Son message et Ses promesses. Bientôt, pendant le règne de Christ, on emploiera la force pour instruire les nations. Ceux qui actuellement sont choisis du milieu du monde, le sont sans le secours d’aucune main, c’est‑à‑dire sans la puissance humaine sans aucune autre puissance que celle de la Vérité «Sanctifie‑les par ta Vérité, ta parole est la Vérité, (Jean 17 : 17). Si la Parole de Dieu tombe dans un coeur honnête et bon elle y produit une oeuvre la transformation, « Soyez transformés par le renouvellement de l’intelligence», par le Saint‑Esprit ‑ Rom. 12 2.

Satan lui‑même, ou par le moyen de ses armées de démons, d’anges déchus, cherche à faire comprendre le message de Dieu d’une manière toute différente de ce qu’il est réellement et à montrer le caractère de Dieu tout différent de ce qu’il est. Paul nous le dit : «  Le dieu de ce monde a aveuglé l’intelligence de ceux qui ne croient pas, afin qu’ils ne vissent pas briller la splendeur de l’Evangile de Christ qui est l’image de Dieu ». (2 Cor. 4 : 4). Si la lumière de la bonté divine brille dans un coeur, elle y a pénétré par la vérité qui l’éclaira en dissipa l’erreur et le péché parce qu’elle l’attira plus près de Dieu, Je crois que la lumière de la vérité divine brillera de plus en plus dans nos coeurs, car nous serons attirés toujours plus près de notre Dieu, séparés du péché et de tout ce que le Père céleste n’approuve pas.

Que faut‑il faire pour anéantir la calomnie que Satan a répandue contre Dieu  » Le malin nous enseigne qu’avant la création de l’homme, Dieu avait préparé un lieu appelé enfer, Schéol, Hadès, habité par des démons à l’épreuve du feu et où brûlait un feu qui contenait assez de combustible pour durer toute l’éternité. Il nous enseigna aussi que Dieu avait créé l’homme, sachant d’avance que la presque totalité de ses descendants iraient dans ce terrible lieu, à l’exception d’un être humain sur dix mille, peut‑être assez saint pour y échapper. Il nous enseigna aussi que nous deviendrions indestructibles afin que nos tourments puissent durer à Jamais ». Je me refuse à croire que quelque esprit humain n’ait jamais pu imaginer de telles doctrines ; j’ai une meilleure opinion que cela de mes semblables. J’attribue ces doctrines aux démons, aux anges tombés comme l’apôtre le fait dans notre texte ; selon son explication, le but de Satan était de nous séparer de Dieu et de la Bible qui est Sa Parole.

Quand cette oeuvre de Satan prit-elle naissance ?

Pendant plus de 6000 ans Satan a cherché à exécuter son plan d’opposition contre Dieu; il commença en disant à notre première mère Eve que, contrairement à ce que Dieu avait déclaré, la conséquence du péché ne serait pas la mort; il a répété ce mensonge jusqu’à aujourd’hui et a réussi à convaincre tout le monde que lorsqu’on est mort on est en réalité plus vivant qu’auparavant.

C’est là la principale doctrine de démons. Réfléchissez combien de fausses doctrines nous ont troublés; toutes sont basées sur la croyance que les morts sont vivants. Souvenons‑nous de ce que la Bible nous dit : « Les morts ne savent rien» (Eccl. 9 5) ; « le salaire du péché c’est la mort » (Rom. 6 23) ; « l’âme qui pèche c’est celle qui mourra » (Es. 18 : 4, 20.). Nous voyons que nulle part il n’est question de tourments éternels. Si nous avions cru la Bible, nous aurions été mis en garde contre la crainte, les tourments, les illusions qui nous ont troublés; mais nous avons négligé la Parole de Dieu et nous avons cru aux paroles de Satan, du serpent, du menteur dès le commencement.

Les doctrines de démons comprennent le purgatoire et les messes dites pour sortir de ce lieu. Elles comprennent aussi l’oeuvre des médiums spirites, car les médiums sont trompés comme aussi les évêques et les prêtres. Ils croient véritablement communiquer avec des êtres humains morts, mais la Bible nous montre clairement qu’ils ont été induits en erreur par les anges déchus, les démons qui connaissent tout ce qui a trait à nos amis morts et qui, au moyen de ces médiums, essayent de nous faire croire qu’ils sont vivants ; ils nous donnent ainsi l’unique preuve qu’on puisse avancer pour soutenir le mensonge de Satan prétendant que les morts sont vivants. Les pauvres créatures qui se mettent sous l’influence de ces esprits diaboliques disent que ces esprits, après avoir prétendu être leurs amis morts, leur déclarent ouvertement qu’ils sont des démons. Ils ne le font naturellement que lorsqu’ils ont pris entièrement possession de ces infortunés, ils tourmentent ensuite leurs victimes et leur disent qu’ils les emporteront bientôt dans les tourments éternels.

Quel est donc le but des démons en enseignant aux hommes de telles absurdités ?

A première vue, il semble que Satan n’eut rien gagné à appuyer des prédictions d’une détresse future; ainsi plusieurs personnes s’éloignent de la vérité et pensent que ceux qui annoncent la bonté et l’amour de Dieu peuvent bien être aussi des victimes du diable. Examinons soigneusement le plan d’attaque de l’adversaire ; il se sert habilement de prédicateurs et de profanes, pour dire que l’enfer, les démons et les différents credo constituent les Plans de Dieu. Il réussit ainsi à placer une barrière entre Jéhovah et les hommes, à les éloigner de Dieu et de la Bible.

Ces doctrines de démons n’ont‑elles pas conduit les gens loin de Dieu, dans les désordres sociaux et les choses absurdes ? N’ont‑elles pas amené certains hommes à se plonger dans les affaires, dans la lecture de romans, d’autres à ne penser qu’au théâtre, à la boisson, aux jeux, en un mot, ne les tiennent‑elles pas éloignés des choses les plus importantes, des choses de Dieu, des choses que la Bible enseigne ? Il en est certainement ainsi, et il y a encore des milliers de prédicateurs qui annoncent les tourments éternels tout en n’y croyant pas; ils pensent qu’en faisant cela ils empêcheront les hommes de se plonger dans le péché. Pensent‑ils qu’ils sont plus sages que Dieu ? Espèrent‑ils entendre cette parole du maître : « Cela va bien, bon et fidèle serviteur si pour avoir mal parlé de Dieu, de Son caractère et de Son message, pour avoir, trompé le peuple ? Jésus ne leur avait‑il pas dit positivement que la vérité seule pouvait sanctifier?

Je plains de tels prédicateurs; ils sont dans un terrible état, comme l’apôtre nous le montre dans notre texte. «Ils disent des mensonges par hypocrisie, ayant leur propre conscience cautérisée ». Seule une conscience cautérisée par l’iniquité peut approuver cette calomnie qui montre le Dieu Tout‑Puissant, le Père de toutes les grâces, plus mauvais que le pire des humains, même plus mauvais que le pire des démons ! Ce serait difficile pour les prédicateurs qui ont été regardés comme des ministres de Dieu et de la Vérité, de s’abaisser humblement et de dire aux gens tout simplement «Nous vous avons trompé ou du moins nous ne vous avons pas annoncé la vérité, mais nous recevions un salaire… ».

Peu de prédicateurs agiront de cette manière. Il y ceux qui se mettent en règle avec Dieu chaque minute, mais ceux-ci forment une petite minorité, la grande majorité aggravera la chose en manquant de courage et de force de caractère. Combien cet état de chose est triste ! Et plus ils attendent pouvoir sortir de cette situation, plus ils augmentent leur responsabilité. Le peuple devient de jour en jour plus instruit ; déjà maintenant il devance les prédicateurs dans la connaissance de Dieu et dans l’honnêteté en pensée et en paroles.

Tout récemment, un jeune homme me racontait qu’il était allé voir son pasteur et lui avait posé la question suivante : « Croyez‑vous réellement aux tourments éternels ? Il répondit : « Oui, certainement, nous y croyons tous ». Alors le jeune homme lui dit ce qu’il pensait et comme celui‑ci quittait le pasteur, ce dernier posant sa main sur l’épaule du jeune homme lui dit : Georges je ne crois pas aux tourments éternels, mais tu sais que nous sommes obligés de les annoncer, autrement nous ne serions plus d’accord avec nos dénominations religieuses et nos crédo ; et peut‑être, ce qui serait pire, le peuple nous abandonnerait.

Quelle honteuse situation ! Les prédicateurs possèdent certainement, par la grâce de Dieu, beaucoup d’avantages que n’ont pas les autres gens, car ils sont instruits et ont du temps à consacrer à l’étude de la Parole de Dieu. Il est donc évident que Dieu ne tiendra pas pour innocent celui qui aura pris Son nom en vain, qui de calomnie, qui Le représente sous un faux jour, et qui agit de même avec la religion et la Bible. Je parle ouvertement, mais non d’une manière désobligeante. Mon coeur s’afflige à la pensée de tous ces prédicateurs qui auront à répondre de leur manière d’agir à la barre du tribunal de Christ. Nos ancêtres, s’ils annonçaient de fausses doctrines, pouvaient encore être excusés, à cause de leur ignorance, des fausses conceptions du temps, des mauvaises traductions de la Bible et de l’esclavage des superstitions; mais aujourd’hui un coeur, s’il est honnête, ne peut présenter aucune excuse valable pour annoncer des choses fausses relativement au caractère de Dieu, pour tromper les enfants de Dieu et le monde, pour employer toute son énergie, comme le fait Satan, à contrecarrer les desseins de Dieu dans le choix d’un petit troupeau, la famille de la Foi.