L’İNFLUENCE TRANSFORMATRİCE DE LA PENSÉE

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« Car comme il a pensé dans son âme, tel il est. » – Proverbes 23 : 7 (Darby).

« Garde ton cœur plus que tout ce que l’on garde, car de lui sont

 les issues de la vie. » – Proverbes 4 : 23 (Darby).

Le cœur est l’un des organes les plus importants de notre corps. S’il cesse de fonctionner, il est certain que la mort s’ensuit. Le sang qui circule dans le cœur constitue la vie, l’énergie du corps. Si le flux sanguin est interrompu pendant un petit moment, un caillot se forme. C’est un acheminement vers la mort. Il faut qu’un flux continu de sang circule dans notre corps pour y maintenir la vie.

Compte tenu de cette fonction importante de notre cœur naturel, la Bible utilise très justement le cœur, centre de la vie, comme symbole du centre de nos affections, y compris la volonté. Notre volonté a affaire avec tout ce que nous faisons. Celui qui, parmi le peuple du Seigneur, veut chercher de plus en plus à se purifier devient de plus en plus vivant. Si nous avons le cœur pur, nous décidons résolument à vivre dans la droiture et la sobriété dans la vie présente. Quiconque apprécie le principe selon lequel le bien est bien, et le mal est mal, désirera vivre droitement — qu’il s’agisse d’un Juif, d’un Païen ou (d’un membre) de l’église de Dieu.

Les membres de l’église, ayant accepté les conditions de Dieu, Lui ont consacré leur vie. Ils se sont engagés à mener un bon combat contre le monde, la chair et le diable. Ils ont des obligations particulières en tant que nouvelles créatures. Leurs espoirs et leurs ambitions sont distincts de ceux du monde. Ils sont donc doublement responsables en ce qui concerne leur cœur, qui représente leurs sentiments les plus intimes.

L’homme est tel qu’il est, selon ses sentiments les plus intimes. Tel que l’homme pense dans son cœur, tel est son véritable caractère. Quelle est votre volonté réelle ? Quels sont vos véritables sentiments ? Non pas, quels mots utilisez-vous ? Non pas, quels sont vos actes ? Mais, quel est le motif qui est à la base de tout cela ?

La nouvelle créature doit être semblable à Dieu, spirituelle, et par la suite de la nature spirituelle dans la gloire — parfaite. Mais avant d’atteindre cette perfection, le cœur de la nouvelle créature doit prouver sa loyauté. Certains seront des vainqueurs dans un sens plus élevé que d’autres, mais aucun ne sera vainqueur, sauf ceux qui sont vrais, loyaux, purs. Si, par conséquent, nous nous sommes consacrés à Dieu, nous devrions nous efforcer de faire en sorte que nos cœurs, nos désirs, nos motivations soient parfaits. La seule attitude correcte est de confesser nos imperfections, si nous nous trompons. Dieu attend de nous que nous soyons loyaux de cœur. Et cette loyauté de cœur doit s’étendre à toute notre vie et la contrôler.

Si nos pensées ne sont pas conformes à nos idéaux, nous devons nous efforcer de les accorder. Nous devons nous débarrasser de la colère, de la malice, de la haine, des querelles et de toutes les œuvres de la chair et du diable. Chez certaines personnes, dans certaines conditions, ces pensées sont très ancrées. Ce ne sont pas les pensées transitoires de l’esprit — les pensées passagères — qui sont visées dans notre texte. Même les personnes de très mauvais caractère peuvent parfois être profondément émues. Leurs yeux peuvent être remplis de larmes pour une chose sans importance. Cela les fait passer pour des personnes au cœur très tendre, et pourtant leur vie peut montrer qu’elles seraient aussi facilement portées à un acte odieux qu’à la sympathie.

Nous voyons ce fait illustré dans le comportement des foules. Les gens qui avaient acclamé Jésus comme roi crièrent cinq jours plus tard : « Crucifie-le ! » Ceux qui, peu de temps auparavant, semblaient tant L’apprécier, paraissaient ne plus L’estimer.

İMPORTANCE D’UNE PENSÉE DROİTE

En réalité, un homme n’est pas toujours ce qu’il semble être en apparence. Son véritable caractère se trouve au plus profond de lui-même — le but de sa vie. Il ne s’agit pas de simples pensées passagères, mais de fissures profondes de la pensée, si l’on peut ainsi désigner celles qui concernent la vie entière. Les Écritures attirent notre attention sur le fait que nous devons être transformés par le renouvellement de nos pensées — en les ayant transformées – Romains 12 : 2.

L’Apôtre, parlant de certains traits de caractère très dépravés, dit : « Et quelques-uns de vous, vous étiez tels ; mais vous avez été lavés, mais vous avez été sanctifiés, mais vous avez été justifiés au nom du Seigneur Jésus, et par l’Esprit de notre Dieu. » (1 Corinthiens 6 : 11 – Darby). Cette purification, cette sanctification, ne vient pas simplement par la lecture de la vérité, ou l’application mentale de la vérité, mais par le cœur — pensant à la vérité. Cette pensée venant du cœur, ces résolutions profondes, sont les nôtres en tant que Chrétiens, et doivent être guidées par certains principes. Ceux-ci ont trait à l’homme réel que Dieu considère — non pas la vieille créature, plus ou moins souillée, selon le degré de dépravation. Dieu regarde la nouvelle créature.

Ces convictions et ces buts profonds du cœur constituent une transformation du caractère. C’est la véritable condition de l’homme, et c’est ainsi qu’il est. S’il éprouve passagèrement quelque sentiment de colère ou de méchanceté, ce ne serait pas sa véritable pensée, sa véritable intention. Ce ne serait donc pas lui, mais sa vieille nature qui s’affirmerait temporairement. En tant que nouvelle créature, il doit surveiller ses paroles, ses pensées, ses actions. Si une mauvaise pensée passagère devait traverser son esprit, ce ne serait pas la pensée de son cœur. En tant que nouvelle créature, il doit l’arrêter, la chasser, afin qu’elle ne prenne pas racine dans son cœur et n’étouffe les meilleurs sentiments.

Cette pensée droite du cœur a beaucoup à voir avec la vie entière. L’Apôtre dit que nous sommes transformés par le renouvellement de notre intelligence, pour connaître la volonté parfaite de Dieu. Tel est le point de vue du Chrétien. Combien nous sommes heureux que notre Père céleste nous juge de ce point de vue ! Combien nous sommes heureux qu’Il soit capable de lire le cœur, qu’Il connaisse nos cœurs, qu’Il connaisse nos pensées les plus intimes !

À un moment donné, nous avons pu penser que nous rendions service à Dieu alors que ce n’était pas le cas. Nous montrons notre loyauté envers Dieu en accordant de l’attention à sa Parole, afin de connaître quelle est sa volonté. Plus nous étudions la Parole de Dieu, plus nous recevons l’esprit de la Vérité, et plus nous l’apprécions. Et dans la mesure où nous comprenons les règles de Dieu et désirons être guidés par elles, nos cœurs se purifieront. Nous prendrons alors d’autant plus garde à nos mains, à ce qu’elles font, et à nos langues, de ce qu’elles disent. Ainsi nous garderons nos cœurs — soumettrons nos volontés à la volonté de Dieu.

La volonté est une partie de notre cœur, tout comme le gouvernail est une partie du navire. La nouvelle volonté est le gouvernail qui nous dirige dans une direction ou dans une autre. Plus nous comprenons la Parole de Dieu, mieux nous comprenons comment diriger notre vie. C’est pourquoi nous devons garder notre cœur et le purifier par la connaissance et l’étude de la vérité de Dieu. Pour ce faire, la volonté doit toujours être en éveil, veillant avec prière et action de grâce.

L’ÉGLİSE À L’ÉPREUVE POUR LA VİE

Certains pourraient demander pourquoi devrions-nous faire tout cela ? D’une manière générale, nous pourrions répondre que nous pouvons faire ce qui est droit, parce que ce qui est droit est bien. Mais cette raison n’est pas suffisante pour nous. Bien que tous reconnaissent la supériorité de ce qui est droit sur ce qui ne l’est pas, cependant, dans notre condition déchue, nous avons besoin de quelques motivations à agir ainsi. Le Seigneur nous en propose donc quelques-unes. Il dit : « Si ton cœur est droit, Je veux te donner la vie éternelle. Si ton cœur est mauvais, alors tu ne seras pas de ceux à qui J’accorderai ce don. Tu mourras de la seconde mort. »

Il y a six mille ans, une épreuve eut lieu. Notre premier père, Adam, fut mis à l’épreuve et échoua. De ce fait, nous n’avons aucun droit à la vie. Mais Dieu a fait en sorte que, par notre Seigneur Jésus, chaque membre de la race d’Adam puisse avoir une autre épreuve. Le Père est disposé à donner la vie éternelle à tous ceux qui aiment la droiture.

Nous acceptons donc avec reconnaissance cette disposition et nous disons : « Père céleste, veux-tu bien nous donner une autre occasion de gagner la vie éternelle ? Nous aimerions avoir cette vie ! Nous sommes très reconnaissants pour cette opportunité ! Nous aimons la droiture ! Si nous sommes fidèles aux principes de droiture, obtiendrons-nous la vie éternelle ? C’est notre désir que ta volonté soit faite en nous — que nous aimions la droiture et que nous haïssions l’iniquité. » « Très bien, alors, » dit le Père céleste, « je vais vous mettre à l’école de Christ, où vous apprendrez la droiture. »

Jour après jour, nous apprenons à l’école de Christ. Nos différentes expériences font partie des instructions générales pour ceux qui aiment la droiture et qui désirent être enseignés par le Seigneur. L’aboutissement de notre épreuve sera la vie ou la mort. Le monde n’est pas actuellement à l’épreuve. Il n’y a pas encore de possibilité pour le monde de gagner la vie. Au cours de cet âge de l’Évangile, l’Église est la seule à être sous cette alliance du sacrifice — à être, par conséquent, à l’épreuve pour la vie éternelle ou la mort éternelle. Dans l’âge prochain, le monde aura l’occasion d’apprendre l’obéissance. L’issue sera alors pour eux la vie ou la mort.

Dieu dit : « J’ai mis devant toi la vie et la mort, la bénédiction ou la malédiction. » Malédiction pour quiconque aime l’iniquité ; bénédiction pour quiconque aime la droiture. Ainsi, pendant les mille ans du règne de Christ, le monde sera à l’épreuve pour la vie éternelle ou la mort éternelle. Tous ceux qui seront obéissants obtiendront la vie éternelle. Mais tous ceux qui auront l’esprit de Satan seront détruits dans la seconde mort.

Seuls ceux qui sont plus que de simples vainqueurs feront partie de la sacrificature royale. Nous n’avons aucune excuse pour que nous fassions partie de la grande foule. Gardons nos cœurs avec toute diligence. Veillons sur nos cœurs. Si ceux-ci sont en pleine harmonie avec la volonté de Dieu, nous aurons peu de problèmes avec notre langue. « C’est de l’abondance du cœur que la bouche parle » – Matthieu 12 : 34.

Notre cœur est l’organe le plus merveilleux de notre corps. La langue est le plus subtil de tous nos membres. Le Seigneur retient nos paroles comme un indice de la condition de notre cœur. Mais comme nous sommes imparfaits, il ne nous est pas possible d’être irréprochables en paroles et en actes. Pourtant, nous devons chercher avec diligence et fidélité à atteindre la maîtrise parfaite de nos paroles. Nous devons être particulièrement sur nos gardes en ce qui concerne les mauvaises paroles. Toute tendance à la calomnie doit être réprimée. Celui d’entre nous qui est injurié ne doit pas injurier pareillement. Ces tendances appartiennent à l’ancienne nature. Pour être agréables au Maître, nous devons garder notre cœur exempt de toute forme de mal. S’il en est ainsi, le cœur est correctement instruit par le Seigneur. Nous saurons alors que nous devons réparer tout ce qui est mauvais. Nous sommes tenus, absolument tenus, de réparer du mieux que nous pouvons. Notre cœur doit demeurer droit.

DÉFİCİENCE DE L’ÉDUCATİON MODERNE

Ce même principe s’applique au monde entier, mais pas à une échelle aussi étendue. L’humanité est influencée par la pensée, par l’expérience. Ainsi, les enfants méchants peuvent être éduqués dans des environnements favorables pour devenir des citoyens utiles. Même chez les gens du monde, nous avons vu que de bonnes résolutions prises pour vivre honnêtement, avec justesse, sobrement, ont eu une influence bénéfique sur leur vie, et en faire des hommes et des femmes nobles, sans être Chrétiens.

Nous avons également vu l’inverse — des malfaiteurs, mais non par nécessité. Certains d’entre eux, nés dans de bonnes conditions, ont lu de mauvais livres et médité sur des choses pécheresses. Ainsi, les pensées de leur cœur ont été mauvaises au lieu d’être bonnes. Ils sont ainsi devenus enclins au mal. En permettant à leur esprit de prendre une certaine direction et à ces pensées de s’enraciner profondément dans leur cœur, certains d’entre eux deviennent très méchants.

Nous avons été profondément impressionnés par ce fait en observant les photographies des quatre tireurs récemment condamnés pour meurtre à New York. Si nous avions vu leurs photos avant de savoir qui ils étaient, nous aurions dit : « Ce sont de forts caractères. » Leur cœur s’était dégradé, sans doute à cause d’une mauvaise éducation et d’un manque d’appréciation des principes de la droiture. Cela semble être largement le cas à l’heure actuelle. Très peu voient les principes de la droiture. La majorité est influencée par la superstition, par la peur et par des espoirs plus ou moins éphémères, plus ou moins trompeurs.

Nous voyons donc que l’éducation générale de nos jours est déficiente sur un point très important. Bien que les écoles aient enlevé jusqu’à un certain point le voile de l’ignorance et de la superstition, elles ne donnent pas pour autant une vue complète et correcte de la droiture. C’est parce que, d’une manière générale, le caractère divin et les lois divines sont ignorés. On tente d’enseigner la moralité en faisant abstraction de la loi divine. Mais cet enseignement semble saper la foi — en éloignant les élèves de la foi en un Créateur Suprême. Nous voyons donc que si le monde fait de merveilleux progrès en matière d’éducation, il n’atteint pas ses propres idéaux. L’esprit humain, dans sa condition déchue et corrompue, est incapable de voir le sujet de la moralité présenté du point de vue des éducateurs.

L’esprit humain a besoin de l’influence de ses organes supérieurs pour assister les organes inférieurs. Par conséquent, bien que ces influences éducatives soient bénéfiques à bien des égards, elles sont très nuisibles à d’autres égards. Elles n’inculquent pas la vénération de Dieu et de la volonté divine. Les gens sont donc incapables de saisir les meilleurs principes. Les seules personnes qui sont dans la bonne attitude sont celles qui cherchent à avoir des pensées nouvelles, à avoir des pensées conformes à l’arrangement divin, à prendre la pensée de Christ au lieu de leurs propres conceptions et jugements, et ainsi à grandir en Lui en toutes choses. Telle est notre heureuse position.

İNFLUENCE DE LA PENSÉE SUR LA SANTÉ

Il existe un autre point de vue sur le texte — « Car comme il a pensé dans son âme, tel il est. » (Proverbes 23 : 7 – Darby) — donné par la Science Chrétienne, à savoir que selon nos pensées, il en sera ainsi pour nous. Ils tirent un certain bienfait de ce point de vue. Ils disent que si quelqu’un pense à des choses bonnes et nobles, il sera influencé en conséquence. Nous pensons que nos amis Scientistes Chrétiens ont en partie raison et en partie tort. Ils soutiennent que si l’on se croit bien portant, on sera bien portant ; que si l’on se croit malade, on sera malade. Il y a une part de vérité dans ce point de vue.

La moitié des gens dans le monde sont malades parce qu’ils pensent l’être. S’ils pensaient, non pas à leurs maux et à leurs douleurs, mais à des choses plus utiles, ils se sentiraient sans doute mieux et seraient plus forts à tous égards. Le mental a quelque chose à voir avec notre état. Celui qui broie du noir à cause d’un mal de tête va sans doute l’aggraver. Celui qui essaie de ne plus penser à son état et se concentre sur d’autres choses s’aidera sans aucun doute.

Moins nous pensons à nos maux et à nos douleurs, mieux ce sera pour nous. Si nous en parlons, nous les aggravons. Il est également mauvais d’exercer trop de complaisance envers les autres. Bien sûr, il y a des moments où il serait cruel de ne pas montrer d’empathie. Mais il n’est pas sage d’encourager ceux qui sont faibles à se plaindre de leur état. Nous devenons plus forts dans la mesure où nous essayons d’éviter de penser à nos maux.

L’erreur commise par nos amis Scientistes Chrétiens est qu’ils poussent ce principe trop loin. Penser que nous sommes sains ne nous rend pas sains. Et il ne serait pas correct de mentir à ce sujet, et de dire que nous n’avons pas de maux et de douleurs quand nous en avons. La ligne intermédiaire est celle que la Bible encourage — ne pas soutenir que nous n’avons ni maux ni douleurs, que la mort est une « erreur mortelle » et qu’il n’y a pas de mort. Nous pouvons aider le processus de mort à progresser, ou nous pouvons chercher à cultiver les pensées les plus utiles, et exercer ainsi une influence bénéfique sur nous-mêmes et sur les autres.

On remarque ce principe en action dans une chambre de malade. Certaines personnes entrent dans la chambre du malade, manifestent beaucoup de compassion, et quittent le malade en donnant l’impression qu’il est dans un état bien pire qu’il ne l’est en réalité, alors qu’elles auraient dû l’aider par des remarques encourageantes. Il n’est pas nécessaire de dire au malade : « Vous avez l’air extrêmement mal en point ! » Mais on peut dire : « Vous vous sentez mieux ce matin ? Vous vous êtes bien reposé ? » Beaucoup de gens ne savent pas à quel point ils ont profité d’un repos, et ne sont pas assez reconnaissants. Nous pourrions donc suggérer : « J’espère que vous vous sentez reconnaissants envers le Seigneur, et que vous êtes heureux de cette belle journée. Voyez comme le soleil brille dans votre chambre ! Écoutez les oiseaux chanter ! » La condition de certaines personnes lorsqu’elles sont malades est celle de « soupirs inexprimables ». Les personnes malades ont besoin de quelqu’un pour faire entrer le soleil dans leur chambre.

Ainsi donc, chers amis, prenons la résolution, puisque nous avons fait alliance avec le Seigneur, de mourir quant à l’ancienne vie, aux anciennes ambitions, aux choses du passé, tout cela doit être abandonné. Pensons comme le Seigneur voudrait que nous pensions, voir toutes les affaires de la vie comme Il voudrait que nous les voyions, et être influencés par les ambitions qu’Il nous propose dans sa Parole. Ainsi, en tant que nouvelles créatures, nous grandirons à la ressemblance du caractère du Seigneur.

WT1913 p5246


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