Quelque chose de meilleur.

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Hébr. XI, 40.

Notre appel céleste.

Comme plusieurs de nos amis chrétiens, pendant longtemps, nous n’avons pas su «dispenser droite­ment la parole de la vérité» (2 Tim. 2 15). Nous ne comprenions pas le plan de Dieu, lequel con­tenait premièrement un salut pour l’Eglise et se­condement un salut pour l’humanité en général (1 Jean 2:2; 1 Tim. 4:10 et Actes 15 : 13—18). L’étude de la Bible sur les lignes des dispensations enlève toutes les difficultés; elle nous montre la promesse que les rachetés « habiteront chacun sous sa vigne et sous son figuier »(Michée. 4:4; Es. 65: 22), et « ils jouiront de l’œuvre de leurs mains » ;  c’est ce que Dieu promit à Israël rétabli dans sa faveur, ainsi qu’à toutes les familles de la terre, mais non à l’Eglise. Relativement à celle-ci, l’épouse de Christ, il est dit que ses membres, à la résur­rection, seront comme les anges, des êtres spirituels ou célestes.

214 Juillet 1912

St. Paul dit en parlant d’eux: «La chair et le sang ne peuvent hériter le royaume de Dieu» (1 Cor. 15: 50); Jésus leur dit qu’il a été leur pré­parer une place dans la maison du Père, en haut (Jean 14:2,3). Le lieu destiné à l’homme, la terre, est très différent; Dieu l’a préparé pour lui dès la fondation du monde (Matth. 25 : 34); il ne ressemble en rien au nôtre, car nous lisons: «Ce sont des choses que l’œil n’a point vues, que l’oreille n’a point entendues et qui ne sont point montées au cœur de l’homme, des choses que Dieu a préparées pour ceux qui l’aiment» — 1 Cor. 2: 9; Es. 64: 3.

L’appel a faire partie de la nature spirituelle.

Nous comprenons maintenant pourquoi, de la Genèse à Malachie, il n’y a pas une suggestion d’une espérance spirituelle ou céleste pour l’homme naturel. Toutes les promesses sont terrestres; dans celles faites à Abraham, par exemple, nous lisons: «Lève les yeux, et du lieu où tu es, regarde vers le nord et le midi, vers l’orient et l’occident; car tout le pays que tu vois, je le donnerai à toi et à ta postérité pour toujours. Je rendrai ta posté­rité comme la poussière de la terre, en sorte que, si quelqu’un peut compter la poussière de la terre, ta postérité aussi sera comptée. Lève-toi, parcours le pays dans sa longueur et dans sa largeur; car je te le donnerai.» — Gen. 13: 14—17.

St. Paul parle de cette différence entre les espé­rances de l’Eglise spirituelle engendrée, fondée à la Pentecôte, et celles des autres humains. Au sujet des fidèles du passé, il dit que, quoiqu’ils aient eu de Dieu le témoignage de leur fidélité, Ils « n’ont pas obtenu ce qui leur était promis, Dieu ayant en vue quelque chose de meilleur pour nous, afin qu’ils ne parvinssent pas sans nous à la perfection.» — Héb. 11 : 38—40.

Aussitôt que nous aurons obtenu notre « chose meilleure», notre plus haute récompense, «la gloire, l’honneur et l’immortalité» en cohéritage avec notre Seigneur, comme son épouse au figuré, alors les anciens dignitaires auront leur récompense, la ré­surrection dans la perfection humaine. Sous le règne du Messie, ces hommes parfaits seront « princes dans toute la terre» (Ps. 45: 17). Alors, des spirituels, par l’entremise des terrestres parfaits, les bénédic­tions et l’instruction descendront sur le pauvre, sur l’ignorant, sur les égoïstes et sur les supersti­tieux de ce monde pour les aider, pour élever les obéissants à la perfection illustrée dans les digni­taires parfaits.

Nous avons entendu une monitrice de l’école du dimanche qui parlait aux enfants de sa classe du ciel, de ses pianos, de ses harpes, de ses orgues, de ses chevaux et de ses voitures, de ses fruits et de ses fleurs, etc.; tout cela n’est qu’une représen­tation des bénédictions que Dieu accordera à ceux qui seront fidèles et obéissants parmi les humains au temps marqué. Cette monitrice n’avait pas une conception juste du ciel, des cieux promis aux fi­dèles qui suivent Jésus sur le chemin étroit. Le grand Instructeur nous dit qu’il est impossible de décrire le ciel avec ses beautés et ses charmes. Il dit à Nicodème: « Si vous ne croyez pas quand je vous ai parlé des choses terrestres, comment croirez-vous quand je vous parlerai des choses cé­lestes.» — Jean 3:12.

La Bible elle-même n’essaye pas de décrire le ciel ni ses habitants; elle nous dit seulement que «Dieu est un Esprit», «habitant une lumière inac­cessible que nul homme n’a vu ni ne peut voir», personnellement (Jean 4 : 24; 1 Tim. 6: 16). Les hommes doivent discerner Dieu dans ses œuvres dont la plus grande, la plus noble est l’homme par­fait, fait à sa ressemblance morale, sur un plan terrestre, «un peu inférieur aux anges», lesquels sont créés sur un plan spirituel. Tout ce que sa Parole dit sur l’héritage céleste est: «Ce sont des choses que l’œil n’a point vues, que l’oreille n’a point entendues et qui ne sont point montées au cœur de l’homme, des choses que Dieu a préparées pour ceux qui l’aiment.» — 1 Cor. 2 : 9.

Si Dieu ne juge pas utile de nous informer de la condition céleste, il nous donne une portion satisfait l’âme. Par l’apôtre, il nous dit (1 Jean «Ce que nous serons n’a pas encore été manifesté; mais nous savons que lorsque cela sera manifesté, nous serons semblables à lui (à Jésus glorifié —à son second avènement dans sa puissance et sa gloire), parce que nous le verrons tel qu’il est.» D’autres, ceux qui ne seront pas changés de la nature humaine à la nature spirituelle, par la puis­sance de la première résurrection, ne le verront pas tel qu’il est, mais seulement tel qu’il sera ré­vélé par sa Providence et ses jugements que tout oeil pourra reconnaître. — Esaïe 40:5.

Quelle satisfaction! c’est plus que nous ne pou­vions demander et même penser! «Semblables à Lui!» — que pourrions-nous demander de plus? —comme lui (Jésus), que Dieu a souverainement élevé, bien au-dessus de toutes principautés, de toutes les puissances, de toutes les dominations et de tout nom qui se peut nommer. — Eph. 1:21.

Nous restons émerveillés devant une telle grâce! Bien plus, nous pouvons réaliser que celui qui nous appelle à devenir « participants de la nature divine» et cohéritiers du Rédempteur dans son royaume de médiation, a pourvu à notre confort et à notre joie dans cet état céleste, dont les détails ne nous sont pas révélés. « Dès le réveil, je me rassasierai de ton image.» — Ps. 17:15.

C’est l’espérance, le désir, le but de chacun de nous « d’affermir notre vocation et notre élection», de courir, afin d’obtenir le grand prix, c’est à dire d’avoir part à la première résurrection. « Heureux et saints, ceux qui ont part à la première résurrec­tion, la seconde mort n’a point de pouvoir sur eux; mais ils seront sacrificateurs de Dieu et de Christ et ils régneront avec lui pendant mille ans» (Apoc. 20: 6). Mettons-nous dans l’esprit, chers amis, que notre participation avec notre Seigneur à la gloire du Royaume dépend de notre fidélité à le suivre ici-bas, dans la mauvaise et la bonne réputation, dans l’honneur et le déshonneur, en renonçant à nous-mêmes et en nous chargeant de la croix.

Les premiers-nés réchappés.

Quand Dieu fit sortir d’Egypte l’Israël typique, les premiers-nés eurent un salut particulier pour leur conservation. La nuit qui précéda leur déli­vrance, tous les premiers-nés étaient en danger de

215 Juillet 1912

mort et furent sauvés étant sous le sang de l’agneau pascal. Nous voyons la signification de ce type magnifique; St. Paul nous dit que Christ est l’Agneau pascal immolé pour nous. Nous nous sommes appro­prié sa chair, sa nature humaine qu’il sacrifia en notre faveur; nous reconnaissons son sacrifice, le sang de l’expiation. Nous voyons que cet âge entier de l’Evangile est l’antitype de cette nuit-là. Nous espérons appartenir aux premiers-nés (engendrés du St. Esprit) qui, durant ce temps de la nuit du péché et de la mort seront des réchappés; à cause du sang en dedans et en dehors, nous sommes comp­tés dignes de la vie éternelle sur le plan spirituel, nous sommes comptés comme membres de l’Eglise des premiers-nés, participants de la première résurrection, participants de la gloire, de l’honneur, de l’immortalité avec notre Seigneur et comme lui.

Les premiers-nés d’Israël réchappé typifient tout le peuple du Seigneur, dans toutes les dénomina­tions et en dehors de toutes les dénominations, ceux qui passent maintenant de la mort à la vie. Dans le type cependant, tous les premiers-nés d’Is­raël étaient échangés contre l’entière tribu de Lévi, la tribu des prêtres qui, en conséquence typifla l’Eglise des premiers-nés «la famille de la foi.» Le Seigneur divisa cette tribu en deux classes; quelques-uns étaient faits prêtres et occupaient une position spéciale dans la faveur et dans la com­munion de Dieu; les autres membres de cette tribu étaient honorés d’emplois, aidant ou servant les prêtres. Ceci est une allégorie, un type.

L’Eglise des premiers-nés se composera de deux classes: un petit troupeau de prêtres et une grande multitude de la maison de la foi, des lévites anti-typiques qui serviront. Le petit troupeau, les prê­tres font leur sacrifice maintenant; s’ils sont fidèles, ils seront, dans peu de temps, faits les membres de la sacrificature royale, — la sacrificature qui régnera, les cohéritiers du grand Roi de gloire, du « grand Prêtre de notre profession, Jésus.» La grande multitude, typifiée par les lévites ordinaires, ne seront pas sur le trône, mais serviront devant le trône. Ils ne seront pas des pierres vivantes du temple, mais ils serviront Dieu dans le temple. Ils n’auront pas la couronne de gloire, mais il leur sera accordé des palmes de victoire.

Quelle place occuperons-nous dans la première résurrection, dans l’assemblée générale de l’Eglise des premiers-nés? Ferons-nous partie de la sacri­ficature royale ou des serviteurs bénis, moins ho­norables, mais honorés quand même? Serons-nous de la classe de l’Epouse ou de celle de ses com­pagnes les vierges qui la suivent?

C’est à nous, les appelés, à affermir notre vocation et notre élection par notre zèle, notre sérieux, notre dévouement au grand Roi et à sa cause. Il nous a appelés au plus haut plan d’exis­tence; il nous reste, sous sa magnifique et bonne organisation, à décider si nous passerons ou si nous ne passerons pas, à décider si nous accepterons la place à laquelle nous avons été appelés, ou la place inférieure qui sera accordée à ceux qui ne garderont pas leurs vêtements sans tache de la part du monde et qui, à cause de cela, doivent passer par de grandes tribulations afin d’entrer dans le royaume.

Nous vous exhortons donc à lutter, non seule­ment afin que vous soyez présents à la grande con­vention, à l’assemblée générale de l’Eglise des pre­miers-nés, mais aussi afin d’affermir votre vocation et votre élection, afin d’être de la classe de l’Epouse, la sacrificature royale, des membres du corps du grand Prêtre, Prophète et Roi de gloire. Encou­rageons-nous les uns les autres et soyons encouragés à maintenir le bon combat de la foi pour avoir la victoire dans nos cœurs sur le monde, la chair et l’adversaire. Soyons tellement remplis de l’esprit de la vérité, l’esprit d’humilité, de douceur, de patience, de longanimité, d’amour fraternel et d’a­mour, que nous soyons en bénédiction aux mem­bres de notre famille, qu’ils puissent remarquer que nous avons été avec Jésus et que nous avons appris de lui; que ces bénédictions puissent abonder et déborder dans beaucoup de cœurs!

Lumières brillantes et brillantes.

Quelqu’un des âges passés fut déclaré être une lumière brillante et brûlante (Jean 5 : 35). Il y a beaucoup de force dans cette expression; il y a des lumières qui sont froides, austères, antipathi­ques. L’espèce approuvée par le Maître est une lumière qui brûle, étant chaude, éclatante, sympa­thique, secourable, intense. Le Maître lui-même fournit la meilleure des illustrations du principe énoncé. Il était la lumière descendue du ciel, non obscurcie, resplendissante, répandant au plus haut point la lumière de la vérité divine. Ce n’était pas une lumière glacée qui défend d’approcher, qui se retire, qui se tient à l’écart du peuple avec un esprit haut et dédaigneux, disant froidement « de magnifiques paroles de vie.» Sa vie entière, au contraire fut sympathique, magnanime. Une des accusations portées contre lui par les pharisiens froids fut: «Il reçoit les pécheurs et mange avec eux » Même ses disciples furent scandalisés de ce qu’il parlait avec une femme de Samarie; mais le commun peuple était heureux de l’entendre. Quand même les gens du commun peuple reconnaissaient que Jésus était bien au-dessus d’eux, quand même ils voyaient en lui les gloires de l’unique Engendré du Père, ils étaient attirés à lui, parce qu’il était la lumière brillante et brûlante. (la lampe qui brûlait et brillait); le peuple disait: « jamais homme n’a parlé comme cet homme.» — Jean 7:46.

Ceux qui étudient la Bible sont tous chrétiens, quoique, hélas, tous les chrétiens n’étudient pas la Bible. En vérité, le livre de Dieu peut être lu en entier par des incrédules; il peut être scruté par des adversaires pour le critiquer, pour y chercher des fautes, comme ils cherchent à en trouver au Maître. Ceux-là n’étudient pas la Bible dans le bon sens. Il n’y a que ceux qui ont consacré leur vie au Seigneur, qui sont désireux de connaître sa volonté, qui peuvent conformer leur vie à ses enseignements qui désirent arriver à l’école de Christ pour être enseignés par lui, il n’y a que ceux-là qui, à notre point de vue, étudient vraiment la Bible, sondant les secrets du Seigneur, pour l’aimer, apprécier son glorieux plan et le comprendre entièrement. De telles personnes qui étudient la Bible seront des lampes brillantes, brûlant dans le monde et parmi les chrétiens de toutes dénominations,

2163 Juillet 1912

dont quelques-uns hélas, ont beaucoup de l’esprit du monde et manquent de l’esprit de la vérité, parce qu’ils n’étudient pas suffisamment la Parole de Dieu.

« Que votre lumière luise ainsi devant les hommes, afin qu’ils voient vos bonnes œuvres et glorifient votre Père qui est dans les cieux» (Matth. 5: 16). Nous ne conseillons pas de porter nos Bibles par­tout avec ostentation; nous sommes exhortés à mon­trer par notre vie de chaque jour les leçons que nous apprenons dans ses précieuses pages. La Bible est la lampe que Dieu a donnée à ceux qui mar­chent dans ses sentiers (Ps. 119: 105), afin que chacun à son tour puisse répandre sur les autres la lumière, la connaissance, l’esprit de la vérité pour leur satisfaction.

En d’autres termes, le St. Esprit n’est pas ré­pandu maintenant sur le monde, mais seulement sur les serviteurs de l’Eternel et sur ses servantes; c’est une onction pour eux et sur eux qui prouve qu’ils sont engendrés comme nouvelles créatures et faits porte-lumière pour le bien des autres; lumières brûlantes et brillantes, lumières vives, sympathiques et secourables, afin qu’ils puissent « proclamer les louanges de celui qui les a appelés des ténèbres à sa merveilleuse lumière.» — 1 Pierre 2: 9.

La lumière luit dans les ténèbres.

Si nous gardons nos lampes arrangées et allu­mées, si nous cherchons à glorifier Dieu comme des lumières qui brûlent et qui brillent dans le monde, nous ne devons pas oublier la Bible et nous dire que nous n’aurons pas plus de succès que notre Maître dans nos efforts pour convertir le monde. La grande lumière a lui dans les ténèbres et: «les ténèbres ne l’ont pas comprise» (Jean 1 : 5 — D.), les religieux de ce temps-là furent les instigateurs de sa crucifixion.

La prophétie du Maître concernant ses disciples sera prouvée véridique jusqu’à la fin de cet âge: « Ne vous étonnez pas, mes frères, si le monde vous hait;» «si le monde vous hait, sachez qu’il m’a haï avant vous» (1 Jean 3: 13; Jean 15: 18). C’est faux de croire que les consacrés du Seigneur, qui font luire leur lumière fidèlement devant les hom­mes, pourraient convertir le monde; ce ne fut pas là l’intention de Dieu. Ce n’est pas le monde, mais l’Eglise qui est éprouvée (jugée) au temps présent. L’opposition du monde et de toutes les puissances des ténèbres servent à nous éprouver comme nouvelles créatures, à éprouver notre fidé­lité envers Dieu et sa Parole.

Quiconque reçoit la lumière de la vérité intelli­gemment doit se réjouir en elle, il doit la faire briller sur les autres; s’il ne le fait pas, il couvrira sa lumière d’un boisseau et montrera son manque de courage, son défaut d’appréciation de cette lu­mière, son manque de sérieux, qualités que le Sei­gneur cherche maintenant en ceux qu’il a in­vités à participer avec Jésus aux gloires du Roy­aume de médiation qui va s’établir parmi les hom­mes. Il est donc important de faire luire notre lumière devant les hommes, que nous ayons la vo­lonté, que dis-je, que nous soyons contents de souf­frir, s’il le faut, pour notre fidélité à Dieu et à son message. Jésus dit: «Quiconque aura honte de moi et de mes paroles, j’aurai aussi honte de lui devant mon Père» (Luc 9 26). Il n’acceptera pas ceux qui ont honte de lui comme membres de la classe de son épouse, il ne les acceptera pas pour être avec lui sur son trône glorieux.

La lumière de ce monde est Jésus; « c’était la vraie lumière qui, en venant au monde, éclaire tout homme» (Jean 1: 9). Jésus n’agit pas pour le monde, mais pour les bénis du Père qui ont les yeux et les oreilles de la foi. « Heureux sont vos yeux parce qu’ils voient et vos oreilles parce qu’elles enten­dent» (Matth. 13: 16). Le temps pour éclairer le monde viendra après l’appel spécial des élus. L’Egli­se, comme une épouse s’assiéra avec l’Epoux cé­leste sur son trône; tous ceux qui auront été fidèles ayant fait luire leur lumière, seront associés, avec la grande lumière, Jésus, comme membres de son corps; ensemble, ils formeront le grand Soleil de justice qui se lèvera, portant la santé dans ses rayons, pour bénir toutes les familles de la terre. « Alors les justes resplendiront comme le soleil dans le royaume du Père.» « Que celui qui a des oreilles pour entendre entende» (Matth. 13 : 43). Que celui qui en a le désir dans son cœur soit obéissant et «affermisse sa vocation et son élection» pour ce salut glorieux, ce salut principal. «A. B.)