Questions et Réponses (Suite et fin) juillet

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Il y a quelque avantage à vouloir marcher à proximité des tambours du régiment Vos pas suivent mieux la cadence et tout progresse d’autant mieux. L’orchestre est en tête et la colonne avance en rang serré, et il est bon, vous savez, de penser que tous ceux du cher peuple du Seigneur, d’où qu’ils soient, étudient la même leçon.

Maintenant, c’est peut-être purement une question de sentiment, peut-être sans importance réelle et cependant chaque petite chose sentimentale a son poids et son influence dans toute l’histoire. Je vous conseillerais de ne pas sauter les leçons comprises entre celle où vous êtes arrivés et celle qui est publiée dans la Watch Tower, mais au contraire de les garder pour un autre soir de la semaine pour que vous rattrapiez les autres. Commencez par la leçon en fonction du thème actuel et continuez-la, réservant l’autre pour une autre réunion, jusqu’à ce que vous terminiez le cinquième volume. Je pense que vous trouverez sage ce conseil. J’ajouterais que ce n’est pas à frère Russell ni à personne d’autre de faire la loi. Faites ce que vous pensez être la volonté du Seigneur. Si vous pensez que le Seigneur désire que vous fassiez l’autre chose, alors faites-la. Et, en tout cas, rappelons-nous que ce n’est ni à frère Russell ni à quelqu’un d’une autre assemblée de décider de ce que l’assemblée doit faire, mais que c’est à elle seule de trancher.

Je pense qu’il y a encore un point important que certains de nos chers frères négligent. Ils ressentent beaucoup trop l’importance de l’anciennat dans le sens de gouverner. C’est naturel, vous savez ; c’est plus fort qu’eux ; mais gardez-vous bien de cela ; c’est le vieil homme qui essaye de s’élever ; tenez-le bien assujetti ; nous sommés tous égaux en tant que Nouvelles Créatures, et nous devrions nous dire : « Je-désire que tous ceux du troupeau du Seigneur ici présents, tous les membres de cette assemblée aient leur mot à dire tout autant que moi ; en tant que Nouvelles Créatures nous y avons tous droit ». Et vous verrez de nouveau que même si l’assemblée ne se révoltait pas contre ce que vous faites, elle appréciera cependant que vous preniez garde à ses libertés et à ses droits, et si vous la consultez, elle y sera sensible. Maintenant il est peu probable qu’il y ait une assemblée quelque part qui fasse plus pour un ancien ou qui se soumettrait plus à un ancien, que ne le ferait la congrégation de Brooklyn, si cet ancien essayait d’outrepasser ses droits. Que les membres de cette congrégation disent à quel moment ils ont pu remarquer soit à Pittsburgh, soit à Brooklyn, que frère Russell ait tenté de commettre un abus de pouvoir sur eux. Autant qu’il le sache, il ne l’a jamais fait. Il leur a donné son conseil, tout comme je suis en train de le faire maintenant, en n’essayant en aucune manière d’employer la contrainte ; mais, après les avoir informés, il leur a simplement recommandé de voter selon leur jugement et d’accepter la décision de l’assemblée comme étant celle du Seigneur dans cette affaire.

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