RAPPORT DE LA 14EME CONFERENCE INTERNATIONALE NOWY SACZ – (POLOGNE) DU 3 AU 8 AOUT 2008 suite

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(suite et fin)

Fr. I. H. (Roumanie) : « La vérité et l’esprit de vérité » – Jean 17 : 17.

Si dans le monde nous trouvons des vérités en mathématiques, astronomie, médecine etc., la seule vérité qui sanctifie et mène à la vie éternelle se trouve dans la Parole de Dieu (2 Samuel 7 : 28). Elle nous libère du péché (Jean 8 : 31, 32). Elle nous purifie (Jean 15 : 3 ; 1 Pierre 1 : 22). Recherchons cet esprit de vérité (1 Jean 4 : 6), dans un combat discipliné (1 Corinthiens 9 : 26, 27 ; Psaume 45 : 3, 4). Le combat avec Satan a commencé en Eden (Genèse 2 : 17). Il est présent au temps de Noé puis avec Pharaon au sujet de la libération du peuple hébreu. Il persiste dans le désert (Exode 32 : 1). Jésus a combattu Satan dans le désert en citant les paroles de l’Ancien Testament (Deutéronome 9 : 3). L’apôtre Paul a dû reprendre les frères de Corinthe (1 Corinthiens 1 : 11-13). Le frère Russell possédait l’esprit de Dieu, mais savait-il tout ? Non (1 Corinthiens 13 : 9). N’éteignons pas l’esprit qui nous anime (1 Thessaloniciens 5 : 19). Ne soyons pas « tièdes » (Apocalypse 3 :15). Ne soyons pas peureux comme certains hommes de Gédéon (Juges 7 : 2-7), ni négligents à l’image de la parabole des dix vierges (Matthieu 25 : 3-12). Offrons nos corps en sacrifice à Dieu (Romains 12 : 1). Soyons actifs – Manne du 9 Septembre.

Fr. P. L. (Pologne) : « Le jour des fai­bles commencements » – Zacharie 4 : 6-10.

En Jésus nous voyons « ces faibles commence­ments » lors des rencontres avec des gens simples et la proclamation de l’idée d’amour. Seul, un petit groupe a été touché par l’influence de ses paroles. Souve­nons-nous de certains événements de son pèlerinage cités dans l’Evangile de Marc aux chapitres 4 à 10. La tempête apaisée sur la mer, le peu de foi ainsi que la frayeur des apôtres (Marc 4 : 35-41). Un homme, sous l’influence de mauvais esprits, guéri par Jésus (Marc 5 : 1-20). La résurrection de la fille de Jaïrus (Marc 5 : 21-43). La lecture, dans la synagogue de Nazareth, de la prophétie d’Esaïe 61 : 1-3. A Capharnaüm Il instruit les apôtres sur la manière d’enseigner (Marc 6 : 6-33). Dans un lieu désert, il nourrit une foule de 5000 hom­mes (Marc 6 : 34-44), puis 4000 (Matthieu 15 : 38). Il marche sur les eaux à la rencontre des disciples sur une barque (Marc 6 : 45-66). Il guérit de nombreux malades (Marc 6 : 55), dont la fille d’une femme grec­que près de Tyr (Marc 7 : 24-37). A Bethsaïda Il guérit un aveugle (Marc 8 : 22-26). En route vers Césarée de Philippe, Il instruit les apôtres (Marc 8 : 27). Pierre, Jean et Jacques sont témoins de la transfiguration (Marc 9 : 2-8). Il poursuit son chemin à travers la Gali­lée (Marc 9 : 30-50), la Judée et le Jourdain (Marc 10 : 1-16), pour arriver à Jérusalem, terme de sa mission (Marc 10 : 17-52 ; 11 : 1-2). Ces « faibles commence­ments » peuvent être appelés les « temps des espé­rances ».

Fr. R. G. (Etats-Unis) : « Cette bonne nouvelle sera prêchée dans le monde entier » – Matthieu 4 : 23 ; 9 : 15 ; 24 : 14.

« Repentez-vous et croyez à la bonne nouvelle » (Marc 1 : 14, 15). « C’est à quoi il vous a appelés » (2 Thessaloniciens 2 : 14 ; Colossiens 1 : 13 ; Matthieu 11 : 13). Notons les deux niveaux du Royaume, terres­tre et céleste (Matthieu 6 : 10 ; Genèse : 22 : 16-18). Le plan de Dieu révélé dans quatre versets du Psaume 104 : 28-31. Dieu envoie son Fils pour restaurer toute chose (Jean 3 : 17). Le glorieux Royaume de Dieu sera précédé de troubles (Nahum 2 : 3), mais aussi d’une augmentation de la connaissance (Daniel 12 : 4). En Luc 21 : 31 nous lisons « Le royaume de Dieu est pro­che » et Dieu abrègera les souffrances (Matthieu 24 : 22). A la résurrection interviendra le rétablissement de toutes choses (Jérémie 31 : 34 ; 2 Pierre 3 : 13). Le chemin de la sainteté sera ouvert à tous par l’introduction de la Nouvelle Alliance (Apocalypse 21 : 4). « Le Fils de l’homme viendra dans sa gloire, avec tous les anges – l’Eglise complète glorifiée » (Matthieu 25 : 31 ; Romains 8 : 19). Rendons témoignage de cette vérité – 1 Pierre 2 : 9 ; Matthieu 24 : 14.

Fr. P. K. (Pologne) : « Comme une huile répandue » – Exposé de clôture.

Cette semaine passée nous fait penser au songe de Jacob. Une échelle dressée entre cette salle et le ciel (Genèse 28 : 18, 19). En reconnaissance à Dieu de cette vision, Jacob dressa un monument et versa de l’huile sur son sommet (Genèse 31 : 13). L’huile d’onction était utilisée dans le Tabernacle pour oindre les ustensiles et les personnes (Exode 30 : 25-30). L’huile est le symbole du saint esprit répandu sur notre Seigneur (Actes 10 : 38). Le psalmiste David souligne la joie que provoque cette onction (Psaume 133 : 1, 2) – Psaume souvent chanté en Pologne ou encore Ephé­siens 5 : 19. L’Eglise se trouve sous cette onction car nous formons un seul corps avec Christ (Romains 12 : 5). Deux récits nous relatent le versement, par une femme, d’une huile parfumée sur le corps de Jésus (Matthieu 26 : 6-13 et Jean 12 : 3-5). Après cette scène, Jésus, en lavant les pieds des apôtres leur in­culque le sens de l’humilité (Jean 13 : 5-15). Le pro­phète Elie procura miraculeusement de l’huile, comme nourriture, à la veuve de Sarepta (1 Rois 17 : 8-16). Le prophète Zacharie nous raconte l’histoire de deux oli­viers déversant de l’huile vers le chandelier (Zacharie 4 : 2-14). L’apôtre Jean dans le livre de la Révélation compare les sept chandeliers aux sept Eglises (Apo­calypse 1 : 20). Que cette onction demeure en nous – 1 Jean 2 : 27.