RECONSTRUISANT LE TEMPLE

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  • Esdras 3 :10 — 4 : 5 —
  • Texte d’or : — « Car le temple de Dieu est sacré, et ce temple, c’est vous. » — 1 Cor. 3 : 17

La fidélité à l’Eternel et la foi en ses promesses sont coûteuses. L’Eternel a arrangé la chose de telle manière que seuls ceux qui consentent à en payer le prix peuvent jouir de ces bénédictions. Seuls le fidèle et l’obéissant consentent à en payer le prix. C’est de cette manière que l’Eternel éprouve son peuple, séparant les croyants simplement de nom des véritables croyants, et sélectionnant pour lui-même ses « joyaux », son « peuple particulier ».

Ce principe s’appliqua aux Juifs qui retournèrent à Jérusalem, de la captivité de Babylone, en réponse à la proclamation du roi Cyrus, faite selon les dispositions prises par l’Eternel. Sur la grande multitude des Juifs emmenés captifs — d’abord ceux des dix tribus et plus tard ceux des deux autres — il n’y en eut que quarante deux mille trois cent soixante (42.360) qui eurent une foi véritable en Dieu et en la promesse abrahamique, un zèle et un courage convenables, etc., et qui furent prêts à répondre. Le reste de la nation s’était si confortablement installé dans Babylone que ses intérêts sociaux et pécuniaires eurent plus de poids que sa foi dans la promesse abrahamique. De cette manière, Dieu passa au crible la nation Juive et, dans ce groupe composé d’Israélites de toutes les tribus, Il recueillit la classe des joyaux — la partie vraiment la meilleure et la plus fidèle de toute la semence d’Abraham. Ainsi que l’Apôtre le déclare à l’égard de l’Eglise élue de cet âge de l’Evangile, de même nous pourrions dire que parmi ces Juifs qui retournèrent de l’exil babylonien, il n’y avait pas beaucoup de grands, de sages, d’instruits ou de nobles, selon la marche et la sagesse de ce monde.

Espérances différées, épreuves en grand nombre.

Leurs épreuves n’avaient pas cessé avec l’abandon des perspectives plus brillantes en Babylonie. Ils quittèrent leurs amis de Babylone, étant pleins de zèle et, dans une certaine mesure, admirés par leurs compatriotes, plus sages selon le monde, qui préférèrent rester en terre étrangère. Une escorte leur fut accordée par le roi, les présents d’argent et les vases de grande valeur affectés au service du temple les accompagnaient, et leurs espérances tenaient une grande place dans leur esprit lorsqu’ils commencèrent leur voyage de près de 1.280 kilomètres, la distance de Philadelphie à Chicago environ. Selon la tradition, ils ont dû voyager pendant environ quatre mois, alors que de nos jours un train express parcourrait la distance en dix-sept heures.

Leur pénible voyage terminé, ils se reposèrent enfin à Jérusalem, mais pour n’y trouver que des causes de découragement plus grandes encore. Seul un très petit nombre d’entre eux avait vu la ville auparavant, et ceux-là l’avaient vue alors qu’ils étaient enfants, car la ville avait été dévastée pendant soixante-dix ans selon la Parole de l’Eternel (2 Chroniques 36 : 21). La muraille et le temple avaient été démolis sur les ordres de Nébucadnetsar; un grand nombre d’habitations privées avaient été également laissées en ruines; et maintenant, après soixante-dix ans de telles désolations, après avoir été « sans habitants», la ville était devenue un désert; Les arbres poussaient là où autrefois se trouvaient les rues. Tout était en désordre. Toute autre classe de personnes, qui ne serait pas remplie de foi et de zèle comme l’était celle de ces Israélites, aurait été complètement découragée. Nous devons nous rappeler que l’Eternel éprouve de cette manière notre courage, notre foi et notre zèle, non pas pour détruire ces qualités, mais pour les rendre plus intenses et les fixer — pour nous fonder et nous développer dans le caractère. Comme il en était des Israélites typiques, il en est de même des Israélites spirituels toutes les pénibles expériences semblables tourneront, sous la Providence divine, à notre avantage si seulement nous sommes résolus à persévérer dans notre foi notre amour et notre zèle.

Il leur fallut plus d’un an pour se mettre dans une condition d’existence raisonnable, et ensuite leur attention se tourna à la reconstruction du Temple. Le fait qu’ils ont commencé sitôt à penser à la maison de 1’Eternel parle bien de leur condition spirituelle. C’est à ce point-là que notre leçon débute justement; elle décrit, comme représentant la foi et la confiance du peuple dans les précieuses promesses associées à ce temple et à cette ville, la pose des fondements du temple ainsi que les prêtres revêtus de leurs robes selon la convenance, et les Lévites qui, tous, poussaient des cris de joie devant 1’Eternel. Hélas, pauvres Juifs. Nous avons grandement compassion d’eux lorsque nous nous rappelons qu’en tant que nation ils restèrent fidèles à ces promesses abrahamiques pendant plus de 1.600 ans, et finalement, cependant, ils rejetèrent le Prince de vie et, en conséquence, leur maison ou nation leur fut laissée déserte. (Matth. 23 : 38). .L’Apôtre fait cette remarque concernant leur foi dans la promesse abrahamique « promesse dont nos douze tribus, qui servent Dieu nuit et jour avec ferveur, attendent l’accomplissement. » — Actes 26 : 7.

Combien nous sommes heureux pour ces pauvres Juifs que, bien qu’ils n’aient pas tous obtenu la faveur la plus importante, seuls les « élus »l’ayant obtenue, tandis que le reste fut aveuglé, néanmoins la miséricorde et la faveur de Dieu ne les ont pas oubliés, et nous assurent qu’ils obtiendront miséricorde prochainement à cause de la miséricorde qui nous a été faite — que l’aveuglement, qui a été sur Israël pendant la sélection de l’Israël spirituel disparaîtra sûrement, et qu’il lui sera ainsi fourni la principale opportunité pour la réconciliation avec Dieu, sous les dispositions de la Nouvelle Alliance de l’âge millénaire Héb. 8 :10-12.

Un chant nouveau dans ma bouche –

Lorsque, par l’imagination, nous voyons ces pauvres mais fidèles Israélites; issus de toutes les tribus, louant Dieu au moment où ils posaient les fondements du Temple, cela nous suggère combien les Israélites spirituels, qui sont revenus de la Babylone mystique, devraient davantage crier de joie et chanter les louanges de leur Roi, de leur point de vue plus élevé de connaissance et d’appréciation de Sa grâce et de Sa vérité. Parlant de nous, les Israélites spirituels, le prophète déclare « Il a mis dans ma bouche un chant nouveau, un hymne à la louange de notre Dieu ». Tous les Israélites spirituels, qui se trouvent dans l’attitude de coeur convenable envers l’Eternel, sont remplis de chants de gratitude et de louange — non pas, cependant, qu’ils entonnent toujours ces chants assez haut pour être entendus, car beaucoup sont plus à même de chanter et de composer des mélodies à l’Eternel dans leur coeur; et, en vérité, le Psaume de Vie, que chacun des disciples du Seigneur proclame en actions et en paroles à ceux de son entourage, est le meilleur témoignage, la meilleure louange que nous pouvons élever à la gloire de notre Roi, plus que tout autre Psaume.

Si les Israélites, qui restèrent à Babylone et dont la foi et le courage furent insuffisants, avaient pu être témoins de la scène à distance, ils se seraient sans doute réjouis de ne pas avoir entrepris un tel pèlerinage et une telle oeuvre de restauration; mais, de même que Paul et Silas dont les dos étaient saignants par suite des cruels coups de fouet reçus, étaient à même de chanter dans la prison, tandis que d’autres dans la même ville, qui jouissaient de tout le luxe de la vie, étaient en fait très malheureux, de même il en était de ces Israélites retournés de l’exil. Pleins de foi et d’espérance, ils étaient également remplis de joie, étant dans l’attente de faveurs supplémentaires encore qu’ils escomptaient de l’Eternel, en accord avec ses glorieuses promesses. Il en est ainsi du peuple de Dieu aujourd’hui. Notre réjouissance n’a pas lieu à cause de faveurs d’avantages et de privilèges temporels, mais en considération de ces joies qui sont nôtres par la foi et l’espérance inspirées par les promesses divines — le plus haut degré de ces mêmes promesses auxquelles les Israélites naturels aspiraient, et qui nous sont assurées par le grand Juif de la semence d’Abraham, notre Rédempteur, nôtre Epoux.

Les cris étaient discordants; certains étaient de foie, d’autres des bruits de pleurs. Ceux qui regardaient en avant en espérance criaient de joie Ceux qui regardaient en arrière et qui se remémoraient le grand Temple de Salomon pleuraient lorsqu’ils songeaient à l’insignifiance du temple dont la construction commençait en comparaison de celui de Salomon. Et ainsi, aujourd’hui, parmi les Israélites spirituels, il y en a certains qui s’affligent du passé quand ils devraient se réjouir du futur. L’Apôtre nous exhorte à oublier les choses qui’ sont derrière et à tendre avec effort vers celles qui sont devant. (Philip. 3 :14. D.). Les leçons que les Israélites spirituels apprennent des expériences passées, même des expériences défavorables, bien qu’elles devraient être gardées en mémoire, n’ont pas à être pleurées par eux, car ils peuvent se rappeler que les mérites du sacrifice de Christ couvrent toutes leurs imperfections et leurs erreurs commises involontairement. Etant instruits de leurs expériences, les Israélites spirituels devraient tendre avec effort vers de nouvelles victoires et de nouvelles joies dans l’Eternel.

«Premièrement pure, ensuite pacifique ». –

Nous devons nous rappeler que ces – 42.000 gens, dont environ 31.000 sont supposés avoir appartenu aux tribus de Juda de Benjamin et de Lévi, et environ 11.000 aux neuf autres tribus. n’occupaient qu’un petit secteur en Palestine d’à peu près mille six cent kilomètres carrés, Jérusalem en étant le centre. Le reste du territoire de la Palestine était plus ou moins peuplé d’immigrants. Le roi de Babylone avait adopté la pratique consistant à déplacer les captifs d’une nation dans le territoire d’une autre nation de façon que ces captifs, étant privés de leurs anciennes relations, fussent plus dépendants du gouvernement babylonien, et perdissent leurs propres traits naturels. Ces peuples, de différentes nationalités, établis en Palestine, s’étaient faits, dans une certaine mesure à la tradition et aux coutumes religieuses de ce pays et, au temps de notre Seigneur, 566 années plus tard, ils étaient connus sous le nom de Samaritains. A leur sujet, notre Seigneur déclara : « Vous adorez ce que vous ne connaissez pas. Nous, nous adorons ce que nous connaissons; car le salut vient des Juifs. » ‘(Jean 4 : 22). Nous nous rappelons les commandements que notre Seigneur donna aux douze apôtres et plus tard aussi aux soixante-dix disciples concernant ce même peuple lorsqu’il les envoya prêcher; il dit : N’allez pas vers les païens et n’entrez dans aucune ville des Samaritains; mais allez plutôt vers les brebis perdues de la maison d’Israël. » — Matth. 10 : 5, 5.

Ces peuples mélangés, que nous appellerons Samaritains pour la convenance, ne prêtèrent qu’une faible attention aux Juifs retournés de Babylone avant qu’ils eussent entendu parler de leur projet de reconstruire le Temple sur son emplacement propre, sur l’emplacement consacré. Il est supposé, en effet, que le Temple fut construit sur le même rocher que celui sur lequel eut lieu le sacrifice typique d’Isaac par Abraham à l’endroit même où se trouve actuellement le « Dôme du Rocher» ce rocher est jusqu’à ce jour tenu sacré par les Musulmans, les Juifs et les Chrétiens. Les Samaritains s’étaient conduits en mauvais voisins jusqu’à ce moment-là, mais maintenant ils semblaient éprouver une inspiration de la construction de ce Temple à mesure qu’ils se rappelaient les anciennes gloires de la nation de ce pays dont le grand roi Salomon avait construit le premier Temple. Cessant de se comporter en ennemis, les Samaritains proposèrent leur assistance dans la construction du Temple. Nous ne pouvons pas douter qu’ils furent sincères dans cette proposition et que réellement leur ferveur religieuse les poussait à la faire.

Maints commentateurs pensent que les Israélites commirent une grande erreur en refusant leur aide et en n’acceptant pas de s’associer avec eux. Mais de tels commentateurs sont, sans aucun doute, dans l’erreur, vu que notre Seigneur, par sa conduite et ses paroles, confirma pleinement la pensée que les Samaritains n’avaient rien à faire, en quoi que ce soit, avec le vrai Temple et sa construction. Dieu avait passé au crible la vraie semence d’Abraham pour en sélectionner la minorité fidèle aussi avoir invité après cela les Samaritains à venir se joindre à eux dans la construction et dans les services du Temple, aurait été y introduire un mélange de demi-païens que 1’Eternel ne désirait pas. La raison pour laquelle l’Eternel ne le désirait pas peut être vue seulement d’un point de vue — non pas de celui d’après lequel son souhait aurait été de les envoyer aux tourments éternels ou de les détruire dans la seconde mort, mais de celui selon lequel l’Eternel a pour un développement futur, un grand plan de salut qui aura son effet sur toute nation, peuple, tribu et langue, aussi bien que sur ces Samaritains. Dans l’intervalle, Il a voulu développer la semence typique d’Abraham, et ensuite la semence spirituelle, pour qu’elles soient ses agents et représentantes dans la dispensation de ses bénédictions à toutes les nations.

«Et ce temple, c’est vous ».

Nous trouvons la même pensée chez ceux du dehors aujourd’hui, troublant ceux qui sont sortis de Babylone et qui souhaitent construire le vrai Temple de Dieu auquel il est fait allusion dans notre texte d’or — le saint temple, le temple anti-typique, « et ce temple, c’est vous » Les fondements de notre temple furent posés à la Pentecôte, dans des conditions manifestement très défavorables du point de vue mondain — un conducteur mort, et quelques centaines de disciples en déroute et considérablement découragés. Néanmoins, ceux qui reconnaissent la main de l’Eternel dans cet événement voient les choses différemment: avec les yeux de la foi, ils discernent en Jésus le grand rocher de notre Salut représenté par le « rocher du dôme », le sommet du Mont de Sion, sur lequel se trouvait l’autel du sacrifice. Avec les mêmes yeux de la foi, ils discernent maintenant que les douze apôtres sont les pierres fondamentales de désignation divine, édifiées sur le rocher Christ Jésus, et que par les ministères de ces représentants de Christ désignés, une glorieuse église un glorieux temple de l’Eternel est en train d’être érigé. Ceux qui alors avaient les yeux de la foi ouverts poussaient des cris de joie, et tous ceux qui depuis ont la même faculté de voir spirituellement se réjouissent de l’oeuvre plus grande que l’Eternel est en train d’accomplir, lorsqu’ils voient maintenant la préparation des « pierres vivantes » qui seront bientôt rassemblées dans la première résurrection pour compléter le glorieux Temple de Dieu, dans et par lequel toutes les familles de la terre pourront, pour leur bénédiction, communiquer avec Dieu.

Il existe aujourd’hui de nombreux « Samaritains » qui n’ont ni part ni lot dans ce grand temple et dans sa construction. On trouve ces Samaritains dans les églises de presque toutes les dénominations, hommes et femmes de bon caractère et d’inclinations religieuses. Certains d’entre eux sont de « bons Samaritains », prêts à soulager le malade et à secourir l’indigent. La sagesse mondaine dit qu ils devraient tous être reconnus comme de «véritables Israélites» même s’ils ne sont pas pleinement consacrés à l’Eternel pour faire Sa volonté. Beaucoup sont inclinés actuellement à nous faire les mêmes reproches que ceux que l’on fit aux Israélites naturels d’avoir repoussé la compagnie et la coopération des Samaritains de ce temps-là.

Seulement un chemin étroit.

Il n’y a qu’une seule ligne de conduite à suivre pour le peuple de l’Eternel : ceux du peuple de Dieu devraient apprécier tout ce qui est bon en leurs voisins et en leurs amis, ils devraient agir avec eux avec justice et bienveillance, mais ils devraient se rappeler que comme l’huile et l’eau ne peuvent se mélanger, de même il ne peut y avoir aucune union réelle entre les consacrés et les non-consacrés sous le rapport de leurs vues religieuses et de leurs efforts pour coopérer dans le service divin. Leurs points de vue sont opposés, leur association est nuisible, aux uns comme aux autres. Si ceux qui sont engendrés spirituellement les véritables Israélites, essayaient de faire honneur – aux idées de la classe des Samaritains, ils compromettraient leur propre alliance avec 1’Eternel. Pareillement, si la classe des Samaritains, ou classe de la Chrétienté nominale de nos jours, était encouragée à s’associer avec les consacrés, elle subirait un préjudice. Elle serait, en effet, induite en erreur si elle pensait qu’elle est devenue cohéritière dans les promesses divines, car personne ne peut hériter de ces promesses si ce n’est par ta foi dans le Rédempteur, par la circoncision du coeur, et par une pleine consécration jusqu’à la mort.

Seuls ceux qui remplissent ces conditions deviennent régulièrement et légitimement de véritables Israélites, des membres de l’Eglise « élue» même, qui font leur noviciat.

Quand leur coopération dans la construction du temple, ‘etc., ne fut pas acceptée, les Samaritains devinrent les adversaires malveillants des Juifs, qu’ils dépeignaient, sans nul doute, comme bigots. Conformément à leurs vues du sujet, ils firent tout ce qui était en leur pouvoir, politiquement et autrement, pour gêner la construction du temple, et de cette manière les épreuves et difficultés des serviteurs de Dieu furent grandement augmentées. Il en est de même aujourd’hui. Ceux qui sont fidèles à l’Eternel, « le peuple qui connaît son Dieu» (Daniel 11: 32), sont considérés comme des bigots et des fanatiques religieux par certains des notables de la Chrétienté nominale, qui, en accord avec leurs conceptions erronées de la situation, font tout ce qui est en leur pouvoir pour nous gêner dans la grande oeuvre de cet âge de l’Evangile, dans la préparation des pierres vivantes de ce Temple. Nous avons besoin de comprendre la situation convenablement, autrement nous serions bientôt découragés et penserions que Dieu est contre nous pour la raison qu’Il permet une telle opposition. Mais, ayant dans nos esprits une juste considération des choses, il nous est possible de réaliser que toutes les oppositions de la Chrétienté nominale nous sont, en réalité, profitables, utiles en ce qu’elles servent à ciseler et polir nos caractères, ce qui est nécessaire pour nous rendre aptes et nous préparer aux honorables positions que nous occuperons dans le Temple de gloire devant être bientôt complété. Une pensée à ne pas perdre de vue est que, dans l’arrangement de l’Eternel, nous sommes les pierres, Il est le maître-ouvrier — et que toutes les épreuves, difficultés, oppositions, perplexités et désappointements de notre expérience, constituent les ciseaux, les meules et le sable émeri nécessaires à notre préparation. C’est de ce point de vue seulement que nous serons capables de suivre le conseil de l’Apôtre : nous réjouir même dans les tribulations. –

W. T. 3648 — – 1905.

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