UN SACERDOCE ROYAL ÉTABLI PAR DIEU

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Tu es sacrificateur pour toujours, selon l’ordre de Melchisédek

SOMMAIRE. — Le nouveau sacerdoce de l’ordre de Dieu. — Chaque membre choisi est appelé. — Le grand souverain Sacrificateur jouissant d’un honneur spécial. La mission dont Dieu l’a chargé. — Le sacrifice de lui-même. — Les simples sacrificateurs de cet ordre. – Le nombre des membres de cet ordre est limité. — Ce sacerdoce est établi dans un but grandiose.

Texte « Nul ne s’attribue cette dignité, s’il n’est appelé de Dieu comme le fut Aaron ». —Hébreux 5 4.

Les paroles de notre texte sont tirées d’une explication de l’apôtre dans laquelle il parle du nouveau sacerdoce et le compare avec l’organisation mosaïque et la sacrificature de l’ordre d’Aaron, Jésus-Christ, lorsqu’il était sur la terre, ne pouvait pas être sacrificateur, parce qu’il existait déjà une sacrificature établie par Dieu, la famille d’Aaron. Aucun Israélite ne pouvait faire partie de ce sacerdoce s’il n’était de la maison d’Aaron. Prendre part au service divin, sans une autorisation spéciale de Dieu, aurait été un péché. Jusqu’à nos jours les Juifs n’ont pu remplir le service de sacrificateur, s’ils n’ont pu prouver leur généalogie jusqu’à Aaron. Les Juifs, actuellement, ignorent quels sont ceux d’entre eux qui appartiennent à la famille sacerdotale par conséquent, ils n’ont plus de sacrificateurs et personne ne peut accomplir le service ordonné par la loi.

Dans l’épître aux Hébreux, Saint-Paul attire l’attention des chrétiens sur un autre sacerdoce. Il dit que Jésus, qui n’appartenait pas à la tribu de Lévi est devenu sacrificateur d’un ordre plus excellent que celui d’Aaron ; Dieu avait parlé longtemps auparavant de la sacrificature de notre Seigneur (Psaume 110 : 4), qui était divinement établie. Le Père céleste adressa Lui-même l’appel à celui qui voudrait être le Messie et le plus grand de tous les sacrificateurs.

Nous avons là une preuve parmi beaucoup d’autres, que notre Seigneur Jésus n’est pas le Père céleste le titre de souverain Sacrificateur ne pouvait lui être conféré que si le Père lui accordait cette faveur. Dieu le glorifia et l’établit chef de ce grand sacerdoce, L’apôtre cita les paroles suivantes du psalmiste Davîd, qui avaient trait à Jésus « Tu es sacrificateur pour toujours à la manière de Melchisédek ». Melchisédek fut un personnage important, qui vécut au temps d’Abraham. Il était si important, que lorsqu’Abraham eut remporté une grande victoire et qu’il désira témoigner à Dieu sa reconnaissance pour toutes ses bontés, il vint auprès de Melchisédek, « roi de Salem, sacrificateur du Dieu Très-Haut », et lui offrit la dîme de tout ce qu’il avait pris à ses ennemis (Genèse 14 : 18-20). Puisque c’est l’inférieur qui offre des dons à celui qui lui est supérieur, Melchisédek était donc plus grand qu’Abraham qui, à son tour, était plus grand qu’Aaron, l’un de ses descendants. Combien plus grand qu’Aaron était celui qui fut un type de Christ et de son sacerdoce.

Le Père céleste accorda un très grand honneur à notre Seigneur Jésus-Christ en l’établissant souverain Sacrificateur et Roi, Rédempteur suprême du monde Dieu l’a désigné pour répandre des bénédictions sur tout le monde, mais Il ne pouvait l’élever à cette haute position qu’après l’avoir éprouvé, comme la Bible le déclare.

Jésus fut digne d’ouvrir le livre et d’en rompre les sceaux.

Dans un autre endroit des Ecritures, Saint Paul nous dit que notre Seigneur Jésus laissa la gloire dont il jouissait auprès du Père céleste avant que le monde fût, et prit « une forme de serviteur en devenant semblable aux hommes et en se montrant sous l’apparence d’un homme, il s’est humilié lui-même » pour faire la volonté du Père son obéissance à Dieu le conduisit jusqu’à la croix.  « C’est pourquoi Dieu l’a souverainement élevé, et lui a donné le nom qui est au-dessus de tout nom, afin qu’au nom de Jésus tout genou fléchisse » (Philippiens 2 : 5-11). Dans la position élevée que Jésus occupe, il est le véritable Sacrificateur-Roi dont Melchisédek n’était que le type.

Ce que nous venons de dire est appuyé par les propres paroles de Jésus dans le cinquième chapitre de l’Apocalypse notre Seigneur nous montre là le Père céleste assis sur son trône de gloire et tenant dans sa main droite un rouleau écrit en dedans et en dehors et scellé de sept sceaux. Ce rouleau contenait les plans que Dieu avait formés en lui-même avant la création du monde. Personne que Lui-même ne connaissait le contenu de ce rouleau, et Lui seul avait la puissance d’exécuter les plans qu’il contenait. Selon l’apôtre, le Père savait d’avance, même avant la création du monde, que notre Seigneur sera:: seul digne d’ouvrir le livre.

A travers les cieux et la terre, la proclamation suivante fut entendue : « Qui est digne d’ouvrir le livre et d’en rompre les sceaux ? » Personne ne s’approcha alors Jean pleura beaucoup. Un ange le toucha et lui dit « Ne pleure point ; voici le lion de la tribu de Juda, le rejeton de David a vaincu ». Le Lion de Juda était le fort, le puissant de la tribu, le Messie dont Dieu avait déclaré par une prophétie qu’il sortirait et serait issu de la maison de David. Le Fort, le Puissant était donc capable d’accomplir l’oeuvre et de l’accomplir dans la perfection.

Personne d’autre, dans le monde, ne pouvait l’accomplir, car tous les humains étaient imparfaits. Jésus fut envoyé dans le monde il possédait toutes les qualités, il était parfait, à l’image de Dieu. Lorsqu’il devint l’homme Jésus-Christ, il était qualifié pour accomplir les plans de Dieu, Mais il devait être éprouvé. Personne, avant lui. N’avait été trouvé digne d’accomplir ces plans, parce que les conditions que Dieu avait posées étaient trop difficiles à remplir.

Dieu avait examiné, parmi les êtres créés, quel serait celui à qui l’on pourrait confier cette charge et qui serait son premier ministre, comme nous l’appellerions Il avait examiné quel serait l’être capable de le représenter parfaitement dans l’oeuvre du Royaume et d’être son associé éternel. Dieu s’était proposé d’élever ce représentant à une haute position Il lui accorderait l’honneur de posséder la nature divine.

Immortalité. — Avoir la vie en soi-même.

Les Ecritures nous disent que Dieu possède l’immortalité, c’est-à-dire qu’Il n’est pas sujet à la mort. Tous les anges sont mortels cela ne veut pas dire qu’ils meurent mais qu’il leur est possible de mourir. Dieu a pourvu au nécessaire pour la continuation de la vie de ceux qui Lui seront obéissants et fidèles à ceux-là, Il accorde la vie éternelle et c’est son plaisir de le faire. Dieu est lui-même immortel, il ne lui est pas possible de mourir sa vie ne dépend pas de l’absorption d’aliments de liquides, elle ne dépend pas de l’air ni d’autre chose. Jésus dit : « Comme le Père a la vie en Lui-même, ainsi il a donné au Fils d’avoir la vie en lui-même » (Jean 5 : 26). C’est là une chose si merveilleuse qu’elle dépasse toute compréhension humaine.

Dieu décida d’accorder l’immortalité à celui qu’Il élèverait à une si haute position, Il lui accorderait d’avoir la vie en Lui-même mais il devait, avant toute chose, faire preuve d’une fidélité parfaite. Jéhovah se proposa d’offrir, au Logos premièrement, l’occasion de se montrer digne de cette haute position, car le Logos, « la Parole », fut le premier Etre créé par le Père céleste (Apoc. 3 :14 : Col. 1 :15 Jean 1 :1-3). Les personnes qui croient à la doctrine de la trinité ont une croyance déraisonnable. Elles croient que Jésus ne devint pas un homme, qu’il prit simplement, pendant un certain temps, une forme humaine ce n’est pas ce que la Bible enseigne. Nos amis trinitaires conduisent dans une voie ridicule ceux auxquels ils enseignent que Jésus fut égal au Père ou qu’il fut lui-même le Père céleste : cette doctrine est anti scripturaire.

Le Fils de Dieu laissa la gloire dont il jouissait auprès du Père, il fut fait chair et habita parmi nous. Il ne fut pas un homme ordinaire, il ne fut pas un homme pécheur : nous contemplons en lui une gloire qu’aucun autre ne possédait, c’était la perfection (Jean 1 :14 : Héb. 7 : 26). Jésus devint homme dans le but d’exécuter les plans du Père céleste qu’il ne pouvait pas alors comprendre entièrement : il savait que le premier pas à faire était de consentir à devenir un homme, le second de se présenter en sacrifice. Jésus apprit, de la bouche de ceux qui interprétaient la loi, qu’il ne pouvait rien accomplir, dans ses fonctions de sacrificateur avant d’avoir atteint l’âge de trente ans. Lorsqu’il eut trente ans, Il se présenta au Père céleste, se consacra à Lui et fut baptisé par Jean.

« Les cieux s’ouvrirent ».

C’est au Jourdain que le Père céleste ouvrit à son Fils les yeux de la compréhension, c’est là que Jésus devint l’Agneau immolé: au moment où il se consacra au Père, au Jourdain, il mourut, c’est-à-dire qu’il fit un contrat d’alliance avec Dieu jusqu’à la mort. Ses disciples font de même au moment où nous faisons alliance avec Dieu, où nous nous consacrons à Lui, nous sommes morts au péché, nous avons renoncé véritablement à tous nos intérêts terrestres. Notre mort date, non du moment où notre corps meurt réellement, mais du moment où nous abandonnons notre propre volonté. C’est au moment où Jésus abandonna sa volonté propre qu’il fut considéré mort par Dieu, qu’il fut l’Agneau immolé et qu’il eut le droit d’ouvrir le livre.

Nous lisons que lors du baptême de Jésus, le St-Esprit descendit sur lui et « le ciel s’ouvrit »à lui (Luc 3 : 21), il comprit les choses profondes de Dieu ; les plans de Dieu se découvrirent à son esprit, il n’avait pas compris auparavant leur signification, ces plans ne lui étaient pas révélés, comme ils ne sont pas révélés à l’homme charnel. L’homme charnel ou animal, parfait ou imparfait, « ne reçoit pas les choses de l’Esprit de Dieu…, il ne peut pas les connaître, parce que c’est spirituellement qu’on en juge » (1 Cor. 2 : 14). Jésus était un homme charnel parfait et il donna tout son être lors de sa consécration. Dieu l’engendra alors du Saint-Esprit à la nouvelle nature. Dès le moment de l’engendrement de l’Esprit, les choses anciennes sont passées, toutes choses deviennent nouvelles.

Après avoir reçu le Saint-Esprit, Jésus alla immédiatement au désert où il resta quarante jours. Pendant ce temps, il étudia les Ecritures, il médita la Parole de Dieu qu’il avait entendue dès son enfance à la synagogue. Possédant le saint Esprit, notre Seigneur était éclairé et pouvait comprendre ce que symbolisaient la manne dans le désert, le serpent d’airain, le taureau du jour de propitiation et l’agneau pascal. Tous les plans de Dieu relatifs au salut des humains furent ouverts aux yeux de Jésus, il avait brisé les sept sceaux. Il comprit à ce moment-là ce qu’il aurait à souffrir et qu’il serait crucifié.

Jésus étudia la Bible de toute la force de son être pendant quarante jours sans prendre de nourriture ensuite il fut tenté par le diable qui vint auprès de lui ; le Maître était affaibli physiquement, Satan vit là une occasion favorable de le tenter, mais notre Seigneur résista à toutes les suggestions de l’adversaire qui, finalement, se retira. La Bible ne nous dit pas que Satan ne revint jamais auprès de Jésus pour le tenter.

Dieu éprouva à fond le grand Sacrificateur maintenant assis sur son trône et participant de la nature divine, dont Melchisédek fut le type. Jésus fut reconnu digne de cette haute position, non seulement pendant les quarante jours qu’il passa au désert, mais aussi pendant les trois ans et demi qui suivirent ; il en fut reconnu digne jusqu’au calvaire, jusqu’à la mort de la croix. Maintenant il est souverainement élevé, bien au-dessus des anges, des principautés, des puissances et de tout nom qui se peut nommer ; Il est à la droite du Père céleste, à la première place d’honneur. Notre Seigneur Jésus est le premier ministre de Dieu, le premier après le Père.

Ce que contenait encore le livre.

Le livre ou rouleau que Dieu tenait dans sa main contenait quelque chose de plus que ce que nous venons d’examiner il faisait connaître que le Père, après avoir appelé le Seigneur Jésus, l’établit Chef de l’Eglise qui est son Corps. Dix-neuf siècles avant l’établissement du Royaume du Messie, Dieu envoya Jésus dans le monde ; il ouvrit le chemin afin que Juifs et gentils puissent entrer dans l’Eglise, avoir part aux épreuves de Jésus et ensuite à ses honneurs. Dans le livre, il est écrit qu’un taureau et ensuite le bouc de l’Eternel devaient être offerts en sacrifice, au jour de propitiation. L’Eglise doit donc avoir part aux souffrances de Christ et à sa gloire qui doit suivre. Héb. 13 :11-13.

Toute l’oeuvre de l’âge de l’Evangile a eu pour but le perfectionnement de cette Eglise, de ce petit troupeau. L’appel à en faire partie fut adressé premièrement aux Juifs qui étaient dans de bonnes dispositions, ils furent appelés à devenir la postérité spirituelle d’Abraham. Comme il ne se trouva pas un nombre suffisant de Juifs pour compléter l’Eglise, la porte s’ouvrit aux gentils afin que tous ceux qui le désiraient puissent être les héritiers de la promesse avec les Juifs qui formaient les premiers membres de la postérité d’Abraham. Tous les membres de l’Eglise seront aussi les membres du Corps du véritable souverain Sacrificateur et Roi « selon l’ordre de Melchisédek ».

Dieu n’appelle actuellement que la classe de personnes désireuses de venir à Lui. L’apôtre parle de certaines personnes qui cherchent le Seigneur et font leurs efforts pour le trouver (Actes 17 :27). Maintenant, il n’y a qu’une voie pour aller à Dieu, c’est de devenir membre du corps de Christ. Ceux qui consentent à suivre le chemin étroit seront les cohéritiers de Christ. Certaines personnes disent : J’attendrai encore quelque temps pour m’engager sur le chemin étroit. Elles ne sont pas prêtes à se sacrifier, à donner tout au Seigneur qui leur laisse toute liberté. Jésus dit un jour « Lequel de vous, s’il veut bâtir une tour, ne s’assied d’abord pour calculer la dépense et voir s’il a de quoi la terminer ». Il vaut mieux ne pas mettre la main à la charrue que de regarder derrière soi après avoir commencé le travail.

« Si quelqu’un veut venir après moi (être mon disciple, dit Jésus), qu’il renonce à lui-même, qu’il se charge de sa croix, et qu’il me suive ». Chers amis, voilà les conditions! Quoi que le Père nous réserve, nous désirons le prendre de sa main. Jésus ne donna pas d’autres détails il ne dit pas en quoi consiste la croix que nous aurons à porter. Le Père, par contre, avait désigné les épreuves et expériences qui seraient le lot de notre Seigneur Jésus, Il les avait préparées avant la création du monde. Quand à nous, nous devons accomplir la volonté du Père, boire la coupe qu’il a remplie pour nous, quelle qu’elle soit. Dieu ne nous fait cependant pas l’honneur de nous présenter une coupe aussi pleine qu’à notre Seigneur.

« Rassemblez-moi mes fidèles ».

Chaque enfant de Dieu consacré doit se poser les questions suivantes Est-ce que je marche réellement sur les traces de Jésus ? Ai-je fait un contrat d’alliance avec Dieu comme le fit Jésus ? Celui qui nous a appelés est fidèle. Si nous n’obtenons pas le grand prix, le prix de l’appel céleste, ce sera de notre propre faute. Dieu est disposé à faire pour nous ce qu’il fit pour Jésus.

Maintenant, revenons à notre texte : « Nul ne s’attribue cette dignité, s’il n’est appelé de Dieu ». Nous ne nous sommes pas appelés nous-mêmes, mais de quelle manière sommes-nous arrivés à la connaissance de la vérité ? Nous pouvons remercier Dieu de ce qu’Il nous a ouvert les oreilles pour entendre son message remercions-le de ce qu’Il nous a accordé ce privilège, de ce qu’Il nous a appelés. A quoi avons-nous été appelés ? Ecoutez quel est l’appel qui fut adressé à Jésus et à tous ses disciples, l’appel auquel Jésus répondit et auquel nous devons répondre : « Rassemblez-moi mes fidèles, ceux qui ont fait alliance avec moi par le sacrifice » (Ps. 50 : 5). Par nature, nous étions des pécheurs comme tous les membres de la race déchue d’Adam, mais, malgré nos fautes. Dieu pouvait nous mettre à l’épreuve, afin que nous fassions de notre mieux. C’est alors que le message nous fut adressé, le message parlant de paix par Jésus-Christ, le message nous disant que, si nous nous donnions à Dieu, il pardonnerait nos péchés, nous engendrerait du saint Esprit et nous accepterait comme membres de sa famille.

Dieu a pris des dispositions à notre égard ; Il a voulu que Jésus sanctifiat et rendit saints ceux qui feraient ce premier pas, Christ leur imputerait ou attribuerait ses mérites pour couvrir leurs imperfections naturelles. Etant recouverts de ces mérites, ils sont considérés comme des êtres humains parfaits. Lorsque Christ impute ses mérites à quelqu’un, il lui ouvre un crédit dans le livre de comptes de Dieu.

Dieu ne peut accepter sur l’autel du sacrifice que les humains qui sont sans défauts. Nous ne pouvons donc nous offrir en sacrifice que lorsque notre Seigneur Jésus a suppléé à ce qui nous manquait pour être parfaits, Christ accomplit ces choses pour nous, afin que nous puissions offrir à Dieu un sacrifice qui lui soit agréable, afin que nous puissions offrir ce sacrifice par Christ. N’est-ce pas là de la part de Dieu de merveilleuses dispositions ? Elles nous permettent d’avoir part aux souffrances de Christ, afin que nous puissions un jour avoir part à sa gloire (2 Tim. 2 : 11, 12). Tout ce que Christ possède, il le partagera avec son Eglise fidèle. Pour nous encourager, il nous dit qu’il fera concourir toutes choses à notre bien. —Rom. 8 : 28,

Notre Père céleste changera en bénédictions nos épreuves et nos difficultés il ne permettra pas que nous soyons tentés au-delà de nos forces il nous donnera la force de surmonter chaque tentation (1 Cor. 10 : 13). Je suis sûr que tous, d’un seul coeur, nous accepterons ces biens suprêmes et précieux que Dieu, dans sa grâce, a préparés pour nous alors. Il nous acceptera et nous ferons partie de ce grand sacerdoce de Melchisédek dont notre Seigneur Jésus est le Chef. Lorsque le nombre des élus, des membres de cet ordre (c’est-à-dire de l’ordre de Melchisédek) sera complet, il y aura 144.000 membres. Ils se tiendront tous avec l’Agneau sur la montagne de Sion et auront le nom du Père céleste écrit sur leur front. — Apoc. 14 :1-5.

Sermon C.T.R. 1916

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