A L’OCCASION DE LA NOUVELLE ANNEE 2003

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Très chers lecteurs,

A l’occasion de la Nouvelle Année, nous voudrions tout d’abord élever nos cœurs et nos pensées vers l’Eternel, notre Bon Père Céleste, le puissant Créateur et Conservateur de l’univers entier, pour Lui rendre l’honneur, la louange et la gloire et Le remercier pour toutes ses bénédictions reçues jusqu’à présent et, en particulier, pour l’envoi de son Fils Unique bien-aimé, notre Seigneur Jésus-Christ, devenu le Rédempteur du monde entier grâce à sa mort expiatoire sur la croix. Nous voudrions, en même temps, exprimer notre foi en l’Eternel, pour ce qui concerne l’avenir, foi se reposant sur ses promesses de soutien, de grâce et de miséricorde.

« A celui qui peut faire, par la puissance qui agit en nous, infiniment au-delà de tout ce que nous demandons ou pensons, à Lui soit la gloire dans l’Eglise et en Jésus-Christ, dans toutes les générations, aux siècles des siècles ! Amen ! » – Ephésiens 3 : 20, 21.

Et en cette occasion, il nous est agréable de vous adresser nos vœux les meilleurs de bénédictions divines, pour vous et les vôtres. Puissent les écluses des cieux vous être largement ouvertes pour laisser couler un flot continu et sans cesse croissant de la grâce d’En-haut ! – Malachie 3 : 10.

Nous avons à chaque instant besoin de cette grâce. Et pour tout moment de besoin, elle nous est promise, ne l’oublions pas (Hébreux 4 : 16). Aussi, courage ! Ne faiblissons pas dans la foi ! Pas question de baisser les bras ! Levons-nous et, avec confiance, assurance et humilité, allons au Trône de la grâce et de la miséricorde. Là, nous serons réconfortés et consolés, revigorés et fortifiés, spirituellement. Ensuite, et plus que jamais, regardons à Jésus, le Chef et le consommateur de la foi, qui, en vue de la joie qui Lui était réservée, a souffert la croix, méprisé l’ignominie, et s’est assis à la droite de Dieu (Hébreux 12 : 2). L’Apôtre nous assure que si nous mourons avec Lui, nous vivrons avec Lui, et que si nous souffrons avec Lui, nous régnerons avec Lui (2Timothée 2 : 11, 12). Combien riche et significative est cette promesse !

Nous ne savons pas ce que sera pour nous l’année 2003, dans ses détails. Mais nous pouvons penser qu’elle ressemblera à l’année passée dans ses grandes lignes. Nous nous attendons à la communion fraternelle dans nos assemblées locales, aux conventions, à l’intérieur ou à l’extérieur du pays. Nous nous attendons aussi aux visites de frères pèlerins et à la joie et à l’édification spirituelles résultant de leur service. Ne négligeons pas ces privilèges. Pensons aussi à ceux qui en sont privés indépendamment de leur volonté, les malades, les isolés et efforçons-nous de trouver le moyen de les contacter pour nous réjouir avec eux et les réconforter spirituellement.

Pour ce qui concerne nos affaires privées, c’est-à-dire familiales, professionnelles ou autres, il peut en être diversement. Le soleil de la faveur divine peut sourire avec éclat au-dessus de notre toit. Remercions-en notre Père Céleste ! Mais Il peut changer sa manière d’agir à notre égard. L’horizon peut s’assombrir et amener de lourds nuages, porteurs d’orages. Apprenons à accepter la contrariété et rappelons-nous que toutes choses concourent au bien de ceux qui aiment Dieu, qui sont appelés selon son dessein. Rappelons-nous qu’Il ne nous abandonnera pas ni ne nous délaissera. Saisissons donc sa main, fortement, et ne la lâchons pas !

Pour ce qui est des événements mondiaux présents, ils nous font penser aux paroles du Seigneur qui déclara en Matthieu 24 : 6, 7, qu’on entendrait parler de guerres et de bruits de guerres, qu’une nation s’élèverait contre une autre nation et un royaume contre un autre royaume, et qu’il y aurait, en divers lieux, des famines et des tremblements de terre. Dans le passé, il y eut et des guerres, et des famines et des tremblements de terre, mais la description du Seigneur paraît se référer à la fréquence, à l’importance et à la simultanéité de ces fléaux, simultanéité propre au temps présent de la Moisson de l’Age de l’Evangile. Aussi, que les conflits ou les bruits de bottes que l’on peut entendre ici ou là ne nous effraient pas. « Quand ces choses commenceront à arriver, redressez-vous et levez vos têtes, parce que votre délivrance approche » (Luc 21 : 28), déclara le Seigneur. Et ce n’est pas seulement la délivrance de l’Eglise qui approche, c’est aussi celle du monde entier, lequel, après le temps de détresse se développant présentement, jouira d’une ère de repos, de bonheur et de paix, sera délivré du péché et de la mort, et aura la possibilité d’obtenir la vie éternelle sur terre, dans ce Royaume pour lequel nous prions tous : Que ton règne vienne, que ta volonté soit faite, sur la terre comme au ciel !

Forts de cette perspective, continuons à travailler à notre sanctification, bien-aimés Frères et Sœurs ; soyons confiants au début de cette nouvelle année et efforçons-nous de croître à l’image et à la ressemblance du Seigneur Jésus pour mériter l’approbation de notre Père Céleste et entrer dans la joie de notre Maître. – Matthieu 25 : 21.

Le Comité de Rédaction

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