« Je vous exhorte donc, frères, par les compassions de Dieu, à offrir vos corps comme un sacrifice vivant, saint, agréable à Dieu, ce qui sera de votre part un culte raisonnable. » – Romains 12 : 1
Cette exhortation de l’apôtre Paul se base sur les paroles précédentes du onzième chapitre de cette même épître, comme cela nous est montré par le mot de liaison « donc » – ce verset découle des choses énoncées dans le chapitre précédent. Le chapitre onze parle des miséricordes de Dieu à l’égard tant de l’Israël naturel que de l’Israël spirituel – il ne se rapporte pas tellement au monde. Mais le chapitre dix relate de manière élaborée les miséricordes de Dieu à l’égard de toutes ses créatures. Dans cette épître, l’Apôtre s’adresse à ceux qui étaient des Gentils. Au regard de ces miséricordes divines (son Plan de Rédemption et l’appel de certains Gentils pour prendre les places perdues par l’Israël naturel dans le Corps de Christ), Paul exhorte ses auditeurs à présenter leurs corps comme des sacrifices vivants, saints et agréables à Dieu.
La question se pose naturellement : « A qui s’adressait l’Apôtre ? » Il emploie ces paroles de toute évidence sous la forme d’une exhortation, non pour le monde, mais pour les croyants. Les premières paroles de l’épître nous indiquent qu’elle s’adresse à ceux qui étaient déjà consacrés. Mais de toute évidence, certains qui étaient en contact avec l’Eglise, à Rome, ne s’étaient pas encore consacrés. Certains croyants, qui étaient parvenus à une certaine connaissance du Seigneur et qui avaient compté le prix du sacrifice de soi, mais qui ne s’étaient pas encore pleinement offerts au Seigneur, pouvaient alors devenir des frères dans la Vérité, dans le plus profond sens du terme. Les paroles de l’Apôtre pourraient s’appliquer de la même manière aux deux classes – ceux qui avaient présenté leurs corps comme un sacrifice vivant, et ceux qui projetaient de le faire. Il aurait été tout aussi convenable de dire : « Frères, vous qui vous êtes déjà offerts au Seigneur, je vous exhorte à accomplir votre vœu de consécration ; car vos corps sont saints et agréables à Dieu. »
Le Père céleste ne force jamais personne ; Il dit qu’Il est désireux d’accepter les sacrifices, et que maintenant est le moment favorable pour le faire. Il fait savoir que le renoncement à soi et le sacrifice sont les seules conditions par lesquelles on peut entrer en communion avec Lui. Mais nulle part Il n’ordonne ou n’oblige quiconque à se consacrer. Faire ainsi reviendrait à changer la question de sacrifice en obligation, et l’idée même du sacrifice est contraire à une exigence.
Les conditions pour être disciples
Le meilleur exemple de ce que nous devrions faire est montré par notre Seigneur et par les Apôtres, qui sont les membres principaux de la famille royale de Dieu. Notre Seigneur n’a pas cherché à piéger qui que ce soit à son service – comme on le voit faire aujourd’hui. Au contraire, Il a agi selon ses lignes directrices grandioses et nobles. Il a dit : « Venez à moi, vous tous qui êtes fatigués et chargés » (Matthieu 11 : 28). Ceci est un appel à la raison. Si vous vous rendez compte que vous êtes malades du péché, alors venez à Moi – J’ai le désir et le moyen de vous aider pour venir au Père.
En parlant avec le jeune chef de la synagogue, notre Seigneur exposa les conditions pour être disciple. Il n’a pas dit : « Ne t’en fais pas pour cela ; Ne prends pas cela trop au sérieux. » Au contraire, Il a défini précisément les conditions de la consécration. Personne ne peut être son disciple à moins de tout abandonner. Au jeune homme riche, notre Seigneur expliqua que toute sa moralité était inconsistante. Il possédait des richesses et il devait les utiliser à la gloire du Seigneur. Il ne pouvait être disciple de Christ en étant égoïste.
Le jeune homme a pu dire : « J’ai des enfants auxquels je dois subvenir. » Mais le Seigneur lui dit : « Donne tout ce que tu as à Dieu. » Un parent peut consacrer ses enfants à Dieu dans la mesure où il est concerné. Le Seigneur ne demanderait à personne de faire ce qu’il n’est pas en mesure de faire. Mais Il a dit : « Prends ta croix et suis-moi, » si tu veux être mon disciple. – Marc 10 : 21.
Notre Seigneur dit encore : « Quiconque met la main à la charrue, et regarde en arrière, n’est pas propre au royaume de Dieu » (Luc 9 : 62). Nous devrions transformer notre esprit afin d’utiliser toutes nos capacités, ou alors rester sur le côté. La méthode du Seigneur devrait nous guider. Nous ne devrions pas essayer de piéger qui que ce soit ou user de supercheries pour convaincre. Nous ne devrions pas chercher à invoquer ce que l’on peut gagner matériellement en devenant un chrétien. Nous devrions dire aux gens qu’il n’y a pas d’autre manière de venir à Christ que par le chemin de la croix. Nous ne pouvons L’atteindre d’aucune autre manière. C’est à la manière du Seigneur, ou pas du tout. Nous devons porter notre croix, comme Lui. Nous croyons que nous faisons davantage de bien aux autres en leur présentant clairement le Message, plutôt qu’en essayant de les piéger. Néanmoins, en leur présentant les épreuves et la croix, nous devrions aussi leur présenter les gloires à venir.
Un texte qui s’applique aux consacrés
A ceux qui se sont déjà consacrés nous pourrions dire : « Vous êtes entrés en alliance avec Dieu pour suivre Jésus. Vous avez renoncé à votre propre volonté. Souvenez-vous que cela inclut votre corps mortel. Continuez ce travail de présentation de votre corps – de mourir quotidiennement. Gardez à l’esprit cette alliance par le sacrifice ; car il n’est pas encore achevé. La simple promesse d’accomplir une alliance n’est pas l’accomplir.
Le Père nous a engendrés du Saint Esprit, et nous donne les grands privilèges réservés à ceux qui sont devenus des Nouvelles Créatures en Christ. Ensuite, c’est à nous d’aller de l’avant, et de donner jour après jour nos vies à son service. Il serait donc tout à fait approprié que l’Apôtre dise à ceux-là : « Donnez vos vies chaque jour. Souvenez-vous que c’est votre corps mortel que vous devez sacrifier au service du Seigneur. C’est vous-mêmes, vieille nature, la nature humaine et non la Nouvelle Créature, qui doit être sacrifiée. Vous êtes un sacrifice vivant dans le sens que ce corps, reconnu mort au péché, est continuellement sacrifié. Il n’est pas destiné à être préservé, ou à être votre propriété éternelle. Mais c’est votre alliance et votre privilège d’accomplir le sacrifice de votre chair. C’est pourquoi, je vous exhorte à le faire. »
Un texte qui s’applique aux justifiés à l’essai
Pour ceux dont la justification n’a pas été vivifiée, le texte peut signifier : « Vous désirez servir Dieu. Cela se voit par votre participation aux réunions de l’Eglise. Le fait de vous rassembler avec les saints de cette congrégation signifie que vous aimez les choses saintes – que vous désirez connaître la volonté de Dieu. Maintenant, donc, frères, je vous exhorte à faire une pleine consécration de vous-mêmes à Dieu. Considérez votre corps comme un sacrifice vivant – non pas dans l’idée de commettre un suicide et détruire votre corps, mais dans l’idée de considérer votre corps comme un sacrifice vivant, en utilisant jour après jour votre force et votre vie au service du Seigneur. »
L’exhortation « Offrez vos corps » semblerait ainsi pouvoir s’appliquer tant aux consacrés qu’à ceux qui s’efforcent de connaître le Seigneur. L’affirmation suivante – « saint et agréable à Dieu » – doit être comprise en harmonie avec cela. Si cette déclaration s’applique à ceux qui sont déjà consacrés, alors l’apôtre veut dire : « Cette vivification de votre justification que le Seigneur vous a accordée vous a rendu saint. Et parce que le Seigneur vous considère comme saint et pleinement agréable à ses yeux, vous devez continuer à faire de bonnes œuvres – à compléter la bonne œuvre que vous avez commencée. Le sacrifice étant considéré saint et agréable à Dieu, alors, le résultat sera grand et glorieux.
Cette exhortation, au point de vue de celui qui ne s’est pas consacré, peut être comprise comme signifiant : « Si tu franchis ce pas de la consécration, souviens-toi que le mérite de Christ te sera alors imputé, et que par cet arrangement en Christ, Dieu est tout disposé à t’accepter. »
La consécration jusqu’à la mort est ce qu’il y a de plus raisonnable
Tous ceux qui reconnaissent les miséricordes et les bénédictions de Dieu considèrent que le sacrifice des choses terrestres pour le précieux privilège de Le servir est un « service raisonnable ». Si ce fut un service raisonnable pour Jésus, d’abandonner la gloire céleste, de devenir un homme et de se sacrifier jusqu’à la mort, alors assurément, le nôtre est plus que raisonnable. Étant imparfaits, nous n’avons que très peu à donner. Et lorsque nous avons une opportunité de montrer notre reconnaissance envers notre Père céleste, alors nous devrions nous hâter de la saisir.
Le Père a fait une proposition au Seigneur Jésus, et nous ne devons pas supposer qu’Il aurait pu suggérer quoi que ce soit qui ne fut pas un service raisonnable. Demander à Jésus de sacrifier sa vie pour l’humanité sans aucune récompense d’une vie future aurait été totalement déraisonnable. Le Père a placé devant le Rédempteur une grande joie, en récompense de son obéissance. Et il en est de même pour nous. Le Seigneur ne nous invite pas à nous sacrifier sans aucune récompense en retour. Il nous dit que si nous faisons cela, Il nous fera cohéritiers de son Fils, participants avec Lui dans toutes les joies du Royaume.
La consécration n’est pas la fin de notre travail
Le terme « Frères » peut être considéré de deux points de vue différents. D’un côté, nous pouvons l’appliquer à ceux qui sont justifiés en perspective, dans une attitude d’esprit justifiée, et dont la justification grandit à chaque pas fait vers Dieu. D’un autre côté, il se réfère à ceux qui sont devenus frères au plein sens du terme – qui ont franchi le pas de la consécration, et dont la consécration a été acceptée par le Père au travers du Seigneur Jésus. Ceux-là présentent leur corps continuellement, chaque jour. Ce matin, nous nous sommes présentés devant le Seigneur et nous avons demandé sa bénédiction pour notre journée. C’est une présentation jour après jour, heure après heure. C’est l’abandon constant de notre propre volonté, d’une manière ou d’une autre – c’est agiter journellement notre offrande devant le Seigneur. Il en était ainsi avec notre Seigneur Jésus. Il a non seulement fait une pleine consécration au début, mais jour après jour, Il a offert sa vie, jusqu’à ce que son sacrifice soit achevé au Calvaire.
Si quelqu’un s’engage à consacrer son temps et ses talents, et qu’ensuite il refuse d’offrir son sacrifice, il serait assuré de ne pas obtenir le grand prix pour lequel le Père l’avait invité à courir. La Grande Multitude sera composée de ceux qui ont présenté leurs corps, mais qui ont négligé les opportunités à donner leurs vies – leur temps, leur influence, leur argent, tout – au service du Seigneur. Cette négligence leur fera perdre leur place sur le trône, leur privilège de faire partie de la classe de l’Épouse. L’Épouse sera constituée de ceux qui non seulement ont présenté leurs corps au départ, mais qui ont fidèlement continué à les présenter jusqu’à la mort.
Contraints par les miséricordes de Dieu
L’Apôtre donne la raison pour laquelle nous devrions considérer cette présentation de nos corps comme étant les « compassions ou miséricordes de Dieu » – « Je vous exhorte donc, frères, par les compassions de Dieu, à offrir vos corps. » Dans une certaine mesure, les miséricordes de Dieu concernent tout. Il fait luire son soleil et tomber la pluie aussi bien sur les bons que sur les méchants. Pendant des siècles, les grâces particulières de Dieu n’ont été accordées qu’aux Juifs. Mais l’arrangement du Plan de Dieu est tel que les Gentils, aussi bien que les Juifs, peuvent maintenant obtenir la faveur de Dieu. Dieu a renversé le mur de séparation au travers de Christ, donnant à tous, de cette manière, la possibilité de revenir en harmonie avec Lui et de L’avoir comme Père, le Donateur de Vie, et par Christ, d’avoir part à ses bénédictions.
Tous ceux qui voient, entendent et ont les yeux de leur compréhension ouverts, devraient considérer cela comme une bonne raison pour se consacrer pleinement, s’abandonner totalement au Seigneur. C’est véritablement un service plus que raisonnable, comme nous l’indique l’Apôtre ; et le prix qu’Il y rattache est indiciblement désirable et précieux. Il serait vraiment déraisonnable d’accepter les merveilleuses faveurs de Dieu et ensuite de négliger de vivre à la hauteur des conditions qui en découlent. Si nous croyons vraiment ce que Dieu nous dit, si nous avons une foi réelle dans ses grandes et précieuses promesses, alors nous allons répondre aux exigences avec joie et fidélité.
Une femme nous a dit récemment : « Vous mettez davantage l’accent sur le fait de vivre pieusement que nous dans notre église. Vous dites : ‘Crois au Seigneur Jésus et tu seras sauvé.’ Vous mettez une importance particulière au fait de croire. » Oui, répondons-nous, ce mot « croire » a une importance majeure sur le sujet dans son entier. Si en rentrant chez vous aujourd’hui, nous vous disions de vous arrêter à une certaine maison, portant un certain numéro, que vous y trouverez, dans un coin particulier sous les marches, un petit sac contenant un trésor de valeur qui vous appartiendrait – alors, si vous croyez à nos paroles, vous irez chercher ce sac. Si vous dites que vous nous croyez et qu’ensuite, vous preniez un tout autre chemin, alors nous aurions l’assurance que vous ne nous avez pas cru. Votre trajet l’aurait prouvé.
Maintenant, Dieu nous a offert l’opportunité d’être cohéritiers de notre Seigneur Jésus-Christ « pour un héritage qui ne se peut ni corrompre, ni souiller, ni flétrir » (1 Pierre 1 : 4). Si nous croyons cela, alors nous chercherons à savoir quelles en sont exactement les conditions. Quiconque croit réellement trouvera que les conditions sont très faciles en comparaison avec la grande récompense. Mais si celui-ci ne fait pas tous les efforts pour gagner ce grand prix, alors il prouvera qu’il n’a pas cru au Message ; car s’il apprécie cette offre et y croit, il sera sûrement avide de mettre de côté tout poids et tout fardeau, pour courir patiemment jusqu’à la fin, afin d’obtenir la couronne. – Hébreux 12 : 1, 2.
La plénitude de notre offrande
C’est donc un service raisonnable. L’Apôtre nous indique les conditions. Tous ceux qui aimeraient obtenir cette grande bénédiction doivent s’offrir en sacrifices vivants, saints, agréables à Dieu. Il nous appartient de présenter nos corps. Ce n’est pas la Nouvelle Créature qui fait cela ; il n’y a pas de Nouvelle Créature lorsque le corps est présenté. Notre esprit naturel a perçu dans le message du Seigneur qu’il existe un chemin plus excellent – un chemin en harmonie avec le Seigneur – et nous désirons entrer ainsi en harmonie avec Lui. Et cette volonté nouvelle, transformée, présente nos intérêts terrestres et tout ce que nous avons en sacrifice. Nous sommes pleinement humains lorsque nous nous offrons au Seigneur. Nous sommes ensuite engendrés à un nouvel esprit, à une nouvelle espérance, et ainsi, nous sommes des Nouvelles Créatures.
Lorsque nous nous offrons nous-mêmes à Dieu, nous ne venons pas nous présenter directement à Lui. Nous venons au travers du grand Souverain Sacrificateur – tout comme dans le type, l’offrande du bouc pour l’Eternel était présentée par le Souverain Sacrificateur. Nous venons au Père par notre Rédempteur. Nous n’offrons pas un sacrifice justifié, mais nous venons avec tous nos péchés, pour nous purifier dans cette fontaine qui nous est rendue accessible. Le sentiment de notre cœur s’exprime ainsi :
« Tel que je suis sans rien à moi,
Sinon ton sang versé pour moi.
Et ta voix qui m’appelle à Toi,
Agneau de Dieu, je viens, je viens ! »
Mais Dieu ne peut pas accepter un sacrifice dans cette condition imparfaite ; ce n’est que lorsque nous passons par le Sacrificateur que Dieu nous accepte. Si nous étions parfaits, nous pourrions nous approcher en notre propre nom ; mais nous ne sommes pas parfaits, et c’est pourquoi nous ne nous approchons de Dieu que par le Souverain Sacrificateur, Jésus. Le grand Souverain Sacrificateur nous impute ensuite son mérite, et inclut notre sacrifice comme faisant partie du sien. Alors, la bénédiction divine descend sur nous – nous sommes engendrés du Saint Esprit. Dès lors, nous sommes des Nouvelles Créatures en Christ. Nous avons été présentés à Dieu, selon ses règles, et avons été acceptés.
Le refus d’accepter montre un manque d’appréciation
Maintenant, nous sommes morts ; et notre vie est cachée avec Christ en Dieu. Nous avons présenté nos corps, et ils ont été faits sacrifices vivants ; ils ont été reçus par Dieu et immolés avec Christ et nous nous sommes relevés pour marcher en nouveauté de vie. Le corps signifie également tous les intérêts terrestres, présents, passés et futurs – tous les intérêts que nous n’ayons jamais eus ou que nous pourrions avoir. Un tel renonce à toutes les espérances et à tous les droits auxquels il aurait pu prétendre dans le rétablissement à venir. L’alliance est une alliance exclusive. Le sacrifice d’un tel est devenu saint et agréable à Dieu, dès lors que le mérite de Jésus a été imputé ; et notre offrande continue d’être agréable jusqu’à la fin. Et alors que jour après jour nous offrons nos vies au service du Seigneur, cela nous apporte de plus en plus de bénédictions du Seigneur, et nous remplit de plus en plus de son Esprit.
Donner tout ce que nous avons au service du Seigneur n’est pas seulement une chose plus que raisonnable, mais c’est aussi une offrande beaucoup trop petite. C’est bien moins que ce que nous voudrions offrir joyeusement à Celui qui a manifesté à notre égard une telle compassion et une telle grâce si merveilleuses. Puisque Dieu nous a offert une si grande récompense et de telles bénédictions en échange de nos pauvres vies, nous devrions saisir qu’un refus de cette offre indiquerait non seulement un piètre manque d’appréciation de son infinie bonté, mais aussi une faiblesse d’esprit. Cela montrerait un jugement puéril incapable de peser et de comparer les plaisirs personnels futiles et éphémères de cette vie avec une éternité de joie, de bénédictions et de gloire sur le plan divin, bien au-dessus des anges, des principautés, des puissances et de tout nom que l’on puisse nommer, près de notre Seigneur glorieux et notre Tête – un état tellement glorieux, tellement élevé, qu’aucun esprit humain ne peut en saisir l’infinité. Soyons fidèles – même jusqu’à la mort !
WT1914 p5422