CONNAITRE LE VRAI DIEU C’EST L’AIMER

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“La gloire de l’Eternel sera révélée, et au même instant toute chair la verra,

car la bouche de l’Eternel a parlé” –

Esaïe 40 : 5 –

Ces paroles nous font comprendre que le temps approche où toute chair (chacun) connaîtra la gloire de Dieu, du moins en partie. Toute chair désigne, d’une part, ceux qui vivront alors et, d’autre part, tous ceux qui auront vécu avant cette époque-là. Nous sommes heureux de savoir que Dieu a élaboré des plans si grandioses en faveur des humains. Si nous jetons un coup d’oeil dans le passé, nous comprenons que cette connaissance univers elle de la gloire de Dieu n’est pas encore un fait accompli pour le monde. Dieu fit connaître une petite partie de sa gloire, de son caractère, de ses desseins à Abraham, au seul croyant de son temps, et lui dit qu’il se proposait de bénir toutes les familles de la terre par lui et par sa postérité. Ce n’était là qu’une promesse, non une révélation de la gloire, de la grandeur de Dieu ; néanmoins Abraham vit un reflet de cette gloire, parce qu’il crut aux promesses de l’Eternel, ainsi en fut-il pour Isaac et Jacob. Ils distinguèrent imparfaitement les desseins généreux de Dieu, ils entrevirent des temps futurs où la malédiction du péché serait enlevée, où tous les membres de la famille humaine connaîtraient vraiment Dieu ; la gloire de Dieu ne leur fut pas vraiment révélée.

L’espérance d’un temps béni ne se perdit jamais chez les Israélites, descendants d’Abraham, Isaac et Jacob. Après leur délivrance de l’esclavage en Egypte, Dieu fit alliance avec eux au mont Sinaï, il leur fut dit que s’ils observaient la loi, ils seraient dignes d’être la postérité d’Abraham qui doit bénir toutes les familles de la terre, mais, comme tous les membres de la race déchue d’Adam ils montrèrent leur incapacité à observer la loi (Romains 3: 20). L’espoir de devenir la postérité spirituelle d’Abraham diminua, s’affaiblit dans le coeur des Israélites ; pour les fortifier, les encourager, le Seigneur leur fit la promesse de conclure avec eux une alliance encore plus importante que l’alliance de la loi du Sinaï – Jérémie 31 : 31-34.

Les Israélites, avons-nous dit, ne purent pas observer la loi parfaite de Dieu ; ils échouèrent dans leurs efforts parce qu’ils étaient pécheurs, membres de la race d’Adam, nés dans le péché, conçus dans l’iniquité ; leur mère les conçut dans le péché selon l’expression de la Parole de Dieu. Plus tard, Dieu envoya son Fils “né sous la loi” assujetti à la loi afin de prouver qu’il était capable d’accomplir ce que d’autres Israélites étaient incapables d’accomplir. Jésus observa la loi et prouva ainsi qu’il était “saint, innocent, sans tâche, séparé des pécheurs”. Les pécheurs étaient incapables d’observer la loi de Dieu, mais Jésus l’observa et c’est à Lui que fut accordé l’immense privilège de devenir la postérité d’Abraham selon la promesse.

Jésus fut reconnu digne d’être celui qui devait bénir le monde.

Le fait que Jésus observa la loi ne lui donna cependant pas le titre de postérité spirituelle d’Abraham, mais prouva qu’il en était digne. Bien qu’il fût homme parfait, II pouvait ne pas entreprendre l’oeuvre que Dieu avait en vue, car II avait la possibilité de ne pas donner sa vie pour sauver les humains sous la sentence de mort. Pour redonner la vie à l’humanité mourante, II devait premièrement donner sa propre vie comme prix équivalent pour la vie d’Adam, qui, par sa chute entraîna avec lui toute la race humaine ; d’autre part, II devait être un Juif parfait pour qu’il pût racheter les Juifs qui étaient sous la loi. Il devait, en un mot, sacrifier ses droits à la vie humaine parfaite pour accomplir la volonté du Père Céleste ; c’est ce qu’il fit.

Cependant même, après avoir accompli ainsi la volonté de Dieu, Jésus ne pouvait être cette postérité d’Abraham qui devait bénir le monde entier s’il n’avait été vraiment engendré du Saint Esprit pour devenir cette postérité. Lors de son baptême, II fut engendré du Saint Esprit à une nouvelle nature et, à ce moment-là II consacra à Dieu jusqu’à la mort ses droits à la vie humaine parfaite. Pendant les trois ans et demi de son ministère, II accomplit son alliance, son contrat de sacrifice ; son oeuvre ne fut entièrement accomplie que sur le Calvaire lorsqu’il dit : “Tout est accompli”. Dieu ressuscita Jésus le troisième jour après sa mort ; c’est alors qu’il fut reconnu digne d’être la postérité d’Abraham qui devait bénir le monde. Dès lors II ne fut plus un homme, mais un Etre spirituel possédant d’immenses privilèges, ayant entre ses mains le prix, la valeur de ses propres droits à la vie humaine terrestre, dont il fera usage au temps marqué par le Père Céleste, en le donnant comme prix de la rançon d’Adam et de sa race.

Depuis sa résurrection, notre Seigneur Jésus est la postérité spirituelle d’Abraham. L’apôtre Paul dit en parlant de la mort de Jésus et de sa résurrection : “C’est pourquoi (à cause de son obéissance jusqu’à la mort) aussi Dieu l’a souverainement élevé, et lui a donné le nom qui est au-dessus de tout nom” -Phil. 2 : 8-11-. Ce nom est Christ, l’Oint de Dieu. Jésus-Christ est oint pour être le Chef de l’Eglise qui est son Corps et pour être Souverain Sacrificateur selon l’ordre de Melchisédek, II est oint pour être Roi des rois et Seigneur des seigneurs.

Les membres de l’Eglise furent choisis premièrement parmi les Juifs.

Selon la Bible, les dispositions glorieuses prises à l’égard de notre Seigneur Jésus par le Père Céleste ne sont pas les seules. Dieu voulut aussi choisir une certaine classe de personnes qui devait être rassemblée d’entre les nations pour devenir les membres du corps de Jésus : ceux-ci sont appelés aussi la sacrificature royale, “l’épouse, la femme de l’Agneau”, les cohéritiers de Christ. L’appel de cette classe de personnes s’est poursuivi pendant près de dix-neuf siècles. Il fut nécessaire que notre Seigneur Jésus commençât cette oeuvre de sélection parmi les Juifs. – Actes 3 : 25, 26 – 13 : 46 – Romains 1 : 16 – 11 : 7-21.

Pendant très peu d’années probablement le Seigneur trouva 25.000 Juifs qui se consacrèrent à Lui c’étaient “de véritables Israélites en qui il n’y avait point de fraude” et qui étaient prêts à le recevoir. C’est à ceux-là que Jésus dit : “II vous a été donné de connaître le mystère du Royaume de Dieu ; mais pour ceux du dehors tout se passe en paraboles”. Il en est de nos jours comme au temps du Maître : aucun de ceux qui ne sont pas préparés, Juifs ou gentils, ne peut marcher sur les traces de Christ. Les choses révélées lors à ceux qui en étaient dignes le furent par leur compréhension spirituelle ; il en est de même aujourd’hui, les consacrés du Seigneur verront et comprendront, mais Dieu ne désire pas que d’autres personnes comprennent actuellement ; le temps où ils comprendront viendra plus tard, c’est celui dont parle notre texte. Bientôt le message sera annoncé à tous.

Il y eut, nous le savons, des phases successives diverses dans le choix de l’Eglise. Dieu choisit premièrement les Juifs les plus dignes de la Palestine, ensuite ceux qui étaient dispersés au loin. L’apôtre dit qu’en tout lieu les Juifs entendaient le divin message les premiers ; l’occasion d’entendre l’appel ne fut adressé aux gentils qu’en second lieu. Dieu voulut que la classe d’individus appelée à régner avec Christ et à bénir tous les humains eut une composition tout à fait cosmopolite. Jésus est le Chef de cette classe dont tous les membres doivent avoir un coeur fidèle, tous doivent passer par la porte étroite de la consécration, tous doivent marcher dans le même chemin étroit et sur les traces de leur Précurseur. Qu’ils fussent Juifs ou gentils avant leur consécration, peu importe, tous sont maintenant des nouvelles créatures en Christ, dont les anciennes espérances, les buts et les désirs terrestres sont passés et pour lesquelles toutes choses sont devenues nouvelles. 2 Corinthiens 5: 17

Les Vérités sont révélées au temps marqué.

Nous avons esquissé brièvement la voie suivie par le monde dans son ensemble ; jusqu’à aujourd’hui, la gloire du Seigneur ne lui a pas été révélée. Notre Seigneur Jésus, il est vrai, connaissait la gloire du Père Céleste ; les apôtres virent aussi clairement la gloire du Seigneur en esprit, mais peu de personnes, même dans l’église primitive la virent clairement (Ephésiens 1 : 18-23). Les apôtres qui jouissaient de la faveur de Dieu n’eurent néanmoins pas le privilège de connaître certaines choses que nous avons la possibilité de connaître. Certaines vérités sont destinées à certaines dispensations et ne peuvent être comprises avant le temps marqué pour cela. Par exemple, le prophète Daniel cherchait à comprendre des choses qui lui avaient été annoncées, mais l’ange lui répondit : “Va, Daniel, car ces choses seront tenues secrètes et scellées jusqu’au temps de la fin”. -Daniel 12 : 8-10.

Selon les Ecritures, nous sommes entrés dans la période appelée le temps de la fin. Depuis lors, la connaissance des temps et des saisons s’est dévoilée graduellement ; les sages quant aux choses célestes ont de mieux en mieux compris ces temps et saisons au fur et à mesure que les temps marqués pour la compréhension de ces choses s’approchaient. A cette classe de personnes, il est accordé la compréhension de tout ce que doivent savoir les véritables élus, jusqu’au moment où Christ recueillera auprès de Lui les derniers membres de cette classe. Nous devons nous confier en Dieu et dans les dispositions qu’il a prises et ne pas vouloir à tout prix connaître à l’avance ce qu’il n’a pas encore jugé bon de nous révéler.

Dieu fait connaître au temps marqué ce qui doit s’accomplir selon ses décrets. Si nous avons les dispositions du coeur requises par Dieu, nous aurons tout ce qu’il faut pour que notre compréhension spirituelle soit ouverte et que nous puissions apprécier à leur juste valeur les choses que le Seigneur nous accorde libéralement. Ses enfants fidèles reconnaissent qu’il a éclairé toujours davantage leur compréhension spirituelle depuis quelques temps ; Dieu a répandu sur ses enfants des bénédictions spéciales en abondance ; ces bénédictions ont été et sont des richesses de grâce et de connaissance.

Satan est un menteur et un meurtrier.

L’humanité en général a éprouvé de grandes souffrances depuis six mille ans, par suite de la terrible conception qu’elle s’était faite de Dieu, conception erronée qui prit naissance en Eden déjà. Dieu dit à nos premiers parents au sujet du fruit défendu : “Le jour où tu en mangeras, tu mourras”. Mais Satan leur dit par l’intermédiaire du serpent que cela n’était pas vrai. “Vous ne mourrez point”. Il fait ainsi Dieu menteur et devint lui-même meurtrier, car il fut la cause de la mort de toute notre race (Jean 8 : 44). Dieu, par contre, parut rester impassible et inactif. Il ne détruisit pas Satan, bien qu’il eût condamné à mort Adam et Eve et les eût chassé d’Eden.

En réalité, les humains ont ajouté foi au mensonge de Satan ; ils croient que leur mort n’est qu’apparente et qu’en définitive ils ont passé à une nouvelle vie plus intense que la précédente ; chacun croit vraiment que Dieu ne déclara pas la vérité lorsqu’il prononça ces paroles : “Tu mourras”. Cette croyance a grandement déshonoré le Père Céleste ; depuis six mille ans, on le fait connaître sous un faux jour. Le mensonge de Satan fut la base d’autres doctrines mensongères et d’autres faux jugements portés sur le caractère de Dieu ce mensonge s’est perpétué, multiplié et a donné naissance à toutes sortes de fausses notions et conceptions sur notre Dieu et sur son caractère.

Ce mensonge, aujourd’hui, est à la base de presque toutes les fausses doctrines. On s’est représenté Dieu comme étant celui qui imagina les terribles tortures de l’enfer et du purgatoire pour les humains. Une personne morte reste naturellement dans le tombeau inconsciente, mais si cette personne morte est vivante, elle doit être quelque part ; or il n’y a guère qu’un petit nombre d’individus qui craignent Dieu, aussi la grande masse qui, selon certains chrétiens, n’est pas digne du ciel, mais qui reste vivante cependant, doit aller quelque part dans les tourments en enfer ou au purgatoire.

Certains chrétiens disent aussi, Dieu serait heureux de pouvoir détruire l’homme s’il en avait le pouvoir, mais il le fit trop bien ; lorsque l’homme meurt, Dieu ne peut détruire l’âme qui est immortelle. Presque tous croient à une telle absurdité, à une telle impuissance de la part du Père Céleste ; ils le calomnient, l’insultent, le faisant passer pour l’être le plus mauvais qui ait jamais vécu. Il est impossible de faire la description d’un être plus infernal que celui qui nous a été représenté comme étant notre Père Céleste. On nous a transmis toutes sortes de descriptions fantaisistes du Dieu de toute grâce et de toute miséricorde, on l’a fait soit par ignorance, soit aussi avec un certain degré de connaissance consciente. Pourquoi Dieu n’a-t-il pas frappé ceux qui blasphémèrent ainsi son Saint Nom ? Il ne l’a pas fait. Il a même permis à quelques-uns de ses propres enfants d’agir de cette manière dans leur ignorance et leur aveuglement.

L’apôtre Paul fit part de la crainte qu’il avait que Satan ne tente certains membres de l’Eglise comme il avait tenté notre mère Eve, par de fausses doctrines et en faisant connaître sous un faux jour le Père Céleste (2 Corinthiens 11 : 3). Il nous est difficile de comprendre maintenant que nous avons pu croire autrefois des mensonges de ce genre, mais il en a bien été ainsi, pour la plupart d’entre nous. Il nous est difficile maintenant de sympathiser avec les gens qui partagent encore ces erreurs, et cependant nous avons été un jour tout aussi aveugles qu’eux. L’ignorance est l’instrument puissant dont Satan s’est servi pour aveugler tous les humains. – Actes 3 : 17 ; 1 Corinthiens 2 : 8 ; 2 Corinthiens 4 : 4.

Satan s’est révolté contre Dieu ; ce qu’il désire, c’est que la gloire de Dieu ne brille pas dans le coeur des hommes, car cette gloire a une influence sanctifiante qui nous aide à agir selon le bon plaisir de Dieu. Satan veut nous empêcher de voir cette gloire, il veut nous tenir dans les ténèbres, nous empêcher de reconnaître le caractère réel de Dieu.

Les desseins de Dieu s’accompliront.

Certains évangélistes pensent que Dieu pleure et grince des dents d’impuissance sur la condition désespérée de notre race; ces gens ne savent pas que Dieu est sage et puissant et qu’il est Maître de la situation ; II a formé des plans grandioses qu’il mènera à bonne fin ; II n’a aucune inquiétude quant à leur réalisation, au contraire, II en a remis la responsabilité à son Fils Jésus, comme la Bible nous l’apprend

Dans cette grande oeuvre de relèvement, de rétablissement des humains, l’Eglise sera associée avec son Seigneur ; cette oeuvre se poursuivra pendant mille ans. La Bible dit que le Messie bénira toute la race d’Adam et lui rendra tout ce qui fut racheté pour elle sur le Calvaire. Ce qui fut perdu, ce fut un homme, une demeure terrestre en Eden, la ressemblance terrestre de l’homme avec son Créateur. Jésus est venu pour chercher et sauver ce qui était perdu, c’est pourquoi les humains, à la fin de l’âge millénaire auront recouvré tout cela et pourront alors rentrer en faveur auprès du Père Céleste. – 1 Corinthiens 15:24-28.

La Bible nous dit qu’à la fin de l’âge millénaire, Dieu confiera à Christ encore une autre oeuvre : comme représentant de Dieu il mettra à l’épreuve tous les humains pour vérifier s’ils sont parfaits ; tous ceux qui ne se rangeront pas de tout coeur du côté de la justice et qui ne haïront pas l’iniquité seront détruits du milieu du peuple.

Tout ce qui sera défavorable à l’existence des humains sera extirpé ; Dieu détruira tous ceux qui aiment l’injustice et le péché, II n’en laissera subsister ni racines, ni rameaux. (Mal. 4:1). St. Pierre dit à ce sujet : “Eux, semblables à des brutes qui s’abandonnent à leurs penchants naturels et qui sont nées pour être prises et détruites”. (2 Pierre 2 : 12). Il n’y aura pas de résurrection de la seconde mort. “Ils seront comme s’ils n’eussent jamais été”. – Abdias 16.

La gloire de Dieu sera bientôt révélée.

Nous désirons faire ressortir d’une manière toute spéciale qu’au cours des six mille ans écoulés, la gloire du Seigneur n’a pas été révélée, toute chair n’a pas vu sa gloire ; ceux seuls qui l’ont contemplée sont les enfants de Dieu engendrés de l’Esprit (Romains 8 : 9). Ceux qui ont contemplé cette gloire l’ont contemplée depuis qu’ils sont devenus enfants de Dieu ; depuis que leur entendement spirituel a commencé à s’ouvrir ; si alors ils ont été fidèles, leur vue spirituelle s’ouvre de plus en plus pour contempler la gloire de Dieu la magnificence de son caractère, sa bonté toute d’amour et sa tendre miséricorde. Notre Père Céleste possède toutes ces qualités sublimes, mais Satan déclare qu’il ne les possède pas ; Satan veut aussi faire croire que notre Père Céleste possède justement toutes les mauvaises qualités qu’il n’a pas.

Pendant le Millenium, toute chair aura l’occasion de contempler la gloire de Dieu ; tous verront, tous comprendront. “Les yeux des aveugles verront” et “les sourds entendront”. Dieu est resté dans le silence pendant longtemps, II ne s’est pas défendu contre ses diffamateurs, mais prochainement son attitude fera éclater aux yeux de tous son grand honneur (Psaumes. 50 : 21). Lorsque les humains apprendront que Dieu est amour, leurs sentiments changeront complètement : les fausses conceptions, les faux jugements du passé leur feront apprécier d’autant mieux la grandeur du caractère de Dieu. Dans un tableau, un arrière-plan très sombre fait souvent ressortir admirablement l’harmonie de l’ensemble, ainsi en est-il des ténèbres et des erreurs de jugements des hommes sur tout ce qui concerne Dieu. Tout cela contribuera à sa louange et à sa gloire. Les humains aimeront et honoreront toujours davantage le Seigneur et ce ne sera que le commencement de leur adoration qui ira toujours grandissant au fur et à mesure que sa gloire et sa bonté se révéleront aux yeux étonnés du monde.

Connaître notre Dieu c’est l’aimer.