« Le Désiré de toutes les nations viendra »

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« Aussi la création attend-elle avec un ardent désir la révélation des fils de Dieu … Or, nous savons que, jusqu’à ce jour, la création tout entière soupire et souffre les douleurs de l’enfantement » – Romains 8:19, 22.

Le monde chrétien espère depuis longtemps que le second avènement de Jésus soit une époque heureuse.

En ce qui nous concerne, nous croyons que Jésus est revenu, quoiqu’invisible et qu’il est en train de préparer l’établissement de son royaume lequel apportera à toutes les familles de la terre la vie éternelle, la santé et la paix. Nous le croyons parce que les signes marquant sa seconde présence sont actuels.

Pendant son ministère, Jésus avait informé ses disciples qu’Il leur serait enlevé : « Il commença à leur apprendre qu’il fallait que le Fils de l’homme souffrît beaucoup, qu’Il fût rejeté par les anciens, par les principaux sacrificateurs et par les Scribes, qu’Il fût mis à mort » (Marc 8:31).

Peu avant sa crucifixion et son ascension dans les lieux célestes, Jésus leur dit : « Je vais vous préparer une place. Et lorsque Je m’en serai allé et que Je vous aurai préparé une place, Je reviendrai et Je vous prendrai avec moi, afin que là où Je suis vous y soyez aussi » (Jean 14:2, 3). Ces paroles de Jésus troublèrent les disciples, et lorsqu’une occasion convenable se présenta, ils Lui demandèrent à quel moment Il reviendrait. « Il s’assit sur la montagne des oliviers. Et les disciples vinrent en particulier Lui poser cette question: Dis-nous quand cela arrivera-t-il, et quel sera le signe de ton avènement (grec : parousia, présence), et de la fin du monde (grec : aion, âge) ? » – Matthieu 24:3.

La réponse de Jésus contient des renseignements précieux concernant son second avènement. Elle nous apprend qu’Il reviendrait mais d’une manière invisible. Si, à son retour, on pouvait le voir, Il l’aurait dit à ses disciples. Depuis son ascension, Jésus est un Etre spirituel de haut rang.

Il possède la nature divine, celle que possède le Dieu tout-puissant Lui-même que « nul homme n’a vu ni ne peut voir » (1 Timothée 6:16).

Jésus indiqua à ses disciples quelques-uns des signes qui leur permettraient de savoir qu’Il est de retour.

Le plus important des signes qui indiqueraient sa présence invisible, c’est un grand temps de trouble. Ce ne serait pas un trouble pareil à ce que le monde a connu dans le passé, mais un trouble d’un genre tout à fait différent. Il dit : « Car alors, la détresse sera si grande qu’il n’y en a point eu de pareille depuis le commencement du monde jusqu’à présent ». En effet, ce temps de trouble serait tellement grave qu’il devrait être abrégé, expliqua Jésus, et qu’il n’y en aura jamais plus de pareil, car, « si ces jours n’étaient abrégés, personne ne serait sauvé » – Matthieu 24:21, 22.

L’évangéliste Luc, parlant lui aussi de ce temps de trouble, signe de la présence de notre Seigneur, rapporte les paroles de Jésus : « Et sur la terre, il y aura de l’angoisse chez les nations qui ne sauront que faire, au bruit de la mer et des flots, les hommes rendant l’âme de terreur dans l’attente de ce qui surviendra pour la terre » – Luc 21:25, 26.

Le mot « angoisse » dans ce texte est traduit du mot grec « aporia » qui veut dire sans issue.

Le prophète Esaïe explique que le bruit de la mer et des flots dont a parlé Jésus, illustre les masses humaines mécontentes, frustrées, souffrantes et en révolte quand le temps de trouble aura atteint son point culminant. Il écrit : « Oh ! quelle rumeur de peuples nombreux ! Ils mugissent comme mugit la mer. Quel tumulte de nations ! Elles grondent comme grondent les eaux puissantes, les nations grondent comme grondent les grandes eaux » (Esaïe 17:12, 13). David le psalmiste parle aussi de ce temps de trouble. Il parle d’eaux commençant à bouillonner et à écumer, de la terre ou ordre social bouleversé, de montagnes, ou royaumes chancelant au cœur des mers, symbole des masses humaines agitées et mécontentes – Psaume 46:2-4.

Le temps de trouble décrit par les prophètes de Dieu, est différent de tout ce que le monde a connu précédemment. Nous croyons qu’il a déjà commencé et que ceux qui prêtent attention aux signes annoncés le discernent déjà. Il ne se passe pas de semaine sans que la presse focalise sur les différents problèmes qui, de plus en plus, troublent le monde et restent sans solution.

L’accroissement de la population de la terre est un de ces problèmes. En 1830 on estimait la population du globe à un milliard d’âmes. Il a fallu soixante siècles, depuis la création d’Adam, pour que ce chiffre soit atteint. Un siècle plus tard, ce nombre avait doublé, et il n’a fallu que cinquante ans pour qu’en 1980 ce chiffre monte à 4 milliards d’âmes et qu’il soit de 6 milliards en 1997. Si la population continuait à augmenter dans ces proportions, le nombre d’habitants de la planète deviendrait inquiétant. On se demande comment tous ces gens pourront trouver à manger, alors que déjà maintenant des centaines de millions d’hommes, de femmes et d’enfants, habitant des pays sous-développés, se couchent le ventre creux et qu’un grand nombre d’entre eux meurent de faim.

A première vue cet état de choses semble n’être qu’une question d’économie, mais c’est plus que cela. Cela relève du domaine ethnique.

Il y a quelques années, un journal publia un article traitant de l’accroissement de la population et du problème de l’alimentation qui en résulte.

L’auteur de l’article y exprime sans précaution son point de vue. Il écrit que « les Etats-Unis devraient rester une île d’abondance au milieu d’une mer de famine. L’avenir de l’humanité est en cause … Cette planète est à vrai dire un Eden – jusqu’à présent notre seul Eden, un Eden en proie à la pollution. Il y en a parmi nous qui ont pollué la planète en se reproduisant en trop grand nombre … Si on voulait sauver les millions d’affamés, on détruirait ce qui reste de l’Eden (de la planète Terre) ».

« Doit-on envoyer des aliments », continue-t-il, « sachant que chaque enfant sauvé en Asie du sud-est, aux Indes, en Afrique, vivra probablement et donnera naissance à d’autres enfants qui contribueront à augmenter le nombre de misérables ? … Tous les efforts, mal dirigés, pour aider les affamés, n’ont fait qu’augmenter le nombre de ceux qui chaque soir se couchent le ventre creux. Il n’y a jamais eu autant de misérables dans ce monde que maintenant ». Ce point de vue est dur et ressemble fort à la manière non moins dure d’agir dans l’armée où l’on procède au « triage », où les grands blessés sont négligés au profit des moins atteints, susceptibles de retourner rapidement sur le champ de bataille.

Pourvoir à l’alimentation de ces milliards de bouches supplémentaires n’est qu’un aspect du problème. Il faut également pourvoir à leur habillement, à leur logement et à tout ce qu’il faut pour assurer leur existence. Jamais le nombre de gens à pourvoir du nécessaire n’a été aussi important. Les grandes usines du monde n’ont jamais eu à fabriquer autant de produits de consommation que maintenant. Pour satisfaire une clientèle croissante, les géants industriels fabriquent en grande quantité des sous-produits donnant des déchets, qui polluent l’air, l’eau et le sol.

Ils présentent un danger pour la santé de l’homme et créent d’autres problèmes encore inconnus. On ne mesure pas encore l’étendue du dommage qui en résulte, mais on sait que certains de ces polluants restent actifs pendant longtemps, certains pendant des centaines d’années.

Les dépôts d’ordures ne suffisent pas à contenir tous les déchets ménagers. Pesticides, insecticides, huiles usées, déchets nucléaires, acides, sources d’eaux empoisonnées par des déchets chimiques, sont le résultat d’efforts accomplis par l’homme imparfait pour fournir les choses nécessaires – ou inutiles – à la vie des milliards d’habitants de la terre. Quelqu’un a écrit que si des mesures énergiques ne sont pas prises, d’ici vingt ans, la terre sera une planète infecte, invivable, où des milliards de pauvres gens se battront pour des ressources rares et chères.

Pour tracassant que sont devenus ces problèmes, le plus grand des tourments actuels est celui de la destruction possible de la civilisation dans une guerre nucléaire. En plus des deux grandes superpuissances, (dont l’une, l’URSS, vient de connaître une dislocation entraînant des tensions entre les nouvelles Républiques qui ne font qu’aggraver le problème nucléaire) d’autres grandes nations possèdent maintenant la bombe nucléaire. Dans les années à venir, d’autres nations vont devenir membres du « club nucléaire ». Après cela, c’est à qui possédera le plus de bombes nucléaires, et fera face à la multiplication d’éventuels conflits.

Tous ces problèmes n’ont jamais existé auparavant. Ils sont particuliers à notre époque. C’est de ces troubles que parlait Jésus dans sa prophétie quand Il dit : « la détresse sera si grande qu’il n’y en a point eu de pareille depuis le commencement du monde jusqu’à présent », détresse qui serait un signe de sa seconde présence – Matthieu 24:3, 21.

Ces difficultés ont pour origine l’accroissement de la connaissance.

Le prophète Daniel les situe au temps de la fin, donc à l’époque de la seconde présence de Jésus (Daniel 12:1-4). La connaissance s’est remarquablement accrue au cours des cent années passées et son application pratique s’est étendue à tous les domaines. Par suite des progrès réalisés dans le domaine de la santé, la mortalité infantile a diminué, les soins médicaux et les médicaments améliorés donnent une espérance de vie plus longue aux humains. Des milliers de nouveaux produits chimiques et industriels ont été fabriqués, qui rendent service à l’humanité, mais qui ajoutent à la pollution inévitable. C’est l’accroissement de la connaissance qui a conduit à l’invention de la bombe nucléaire, dont la terrifiante puissance de destruction fait peur aux gens « dans l’attente de ce qui surviendra pour la terre ».

La question des disciples, pour ce qui est de savoir comment ils pourraient reconnaître sa seconde présence, envisageait un aspect futur du divin plan des âges : « Quel sera le signe de ta présence, et de la fin du monde [aion, âge) ? » Les deux parties de la question indiquent, par les mêmes signes, d’une part, la présence invisible de Jésus, et d’autre part, l’approche de la fin de l’actuel monde mauvais (Galates 1:4). Pour le peuple de Dieu qui a souffert pendant si longtemps, c’est une bonne nouvelle, de même que pour toute la création gémissante, subissant des souffrances semblables aux douleurs de l’enfantement. L’apôtre Pierre dit qu’après la disparition de l’actuel monde mauvais, ou civilisation, dans l’aspect final du temps de trouble, s’établira un monde nouveau, un nouvel ordre social, où la justice régnera (2 Pierre 3:7, 10, 12, 13).

C’est la manière de l’apôtre Pierre de décrire l’introduction du royaume millénaire de Christ pour le bonheur de toutes les familles de la terre ! – Genèse 22:18 ; Apocalypse 20:4, 6.

Ces signes encourageants ne sont perçus que par ceux qui veillent par la foi. Aujourd’hui, bien que ces grands événements soient proches, les humains en général ne sont pas encore éclairés sur l’intention de Dieu pour les délivrer des liens du péché et de la mort, et les rétablir dans la vie et la santé (Matthieu 24:38, 39). Des hommes d’état angoissés par les problèmes du monde, se rendent compte qu’ils ne peuvent être résolus que par un conducteur sage et juste qui répartirait équitablement les bienfaits de la terre parmi toutes les nations sans considérer leurs intérêts particuliers. C’est dans ce but que fut créée la Société des Nations, mais elle n’a pu tenir tête à l’égoïsme manifeste des nations.

L’Organisation des Nations Unies, son successeur est en train de lutter pour ne pas sombrer à son tour. On espère et on conçoit la nécessité d’une collaboration mondiale sage et juste.

D’où vient ce faible espoir qui soutient le cœur des humains malheureux dans un monde tourmenté par la faim, la maladie, le crime et la mort, un monde luttant vainement contre l’égoïsme individuel et l’avidité des chefs, un monde en proie à des problèmes apparemment insolubles qui menacent une civilisation vantée partout ? Sans doute, le Créateur miséricordieux a-t-Il mis cet espoir au cœur de l’homme pour qu’il ne désespère pas malgré la gravité des difficultés qui se présentent. Peut-être le prépare-t-Il, à son insu, à anticiper et à se réjouir dans le nouveau gouvernement de justice qui va bientôt s’établir pour le bonheur de tous les humains, vivants et morts.

C’est le Dieu sage et bienveillant qui, avant le début de notre monde, a projeté de bénir toute sa création humaine lorsque le nouvel ordre de choses serait institué sur la terre et que la justice y régnerait.

Tel est le désir de tous les peuples.

Puisque la scène est presque prête où doit se dérouler le dernier acte du plus grand drame de tous les temps, pourquoi son accomplissement tarde-t-il ? L’apôtre Paul répond à cette question en disant que toute la création attend avec un ardent désir la révélation des fils de Dieu. L’apôtre Jean révèle que ces fils de Dieu, les disciples de l’âge de l’Evangile, régneront avec Christ dans son royaume de gloire, pour bénir tous les humains. « Heureux et saints ceux qui ont part à la première résurrection … Ils seront sacrificateurs de Dieu et de Christ, et ils régneront avec Lui pendant mille ans » – Apocalypse 20:6.

Lorsque Jésus était sur la terre, Il invitait ses disciples à marcher sur ses traces en sacrifice. Il leur dit à tous : « Si quelqu’un veut venir après moi, qu’il renonce à lui-même, qu’il se charge chaque jour de sa croix, et qu’il me suive » (Luc 9:23). Il ne leur cacha pas que le chemin était étroit, difficile, un chemin de souffrances. « Etroite est la porte, resserré le chemin qui mène à la vie, et il y en a peu qui les trouvent » (Matthieu 7:14). En fait, il a fallu plus de dix-neuf cents ans pour sélectionner, éprouver et parfaire ceux qui ont répondu à l’appel à marcher sur les traces du Maître. Ces disciples ne constituent qu’un petit troupeau, appelé « épouse de Christ ». Les noces de l’Agneau seront célébrées lorsque le nombre de ce corps glorieux sera complet. Alors le royaume de Christ s’établira sur toute la terre, le Désiré de toutes les nations accordera la paix, la justice et la vie éternelle à tous – Apocalypse 19:7.

Le prophète Aggée confirme les déclarations des saints prophètes de Dieu disant : « Ainsi parle l’Eternel des armées : Encore un peu de temps, et J’ébranlerai les cieux et la terre, la mer et le sec ; J’ébranlerai toutes les nations ; le Désiré de toutes les nations viendra, et Je remplirai de gloire cette maison, dit l’Eternel des armées » – Aggée 2:6,7 (Vulgate).

Dans son épître adressée aux frères Hébreux, l’apôtre Paul développe les pensées du prophète. Il explique que la voix de Dieu fit trembler la terre, lorsqu’au Sinaï Il conclut l’Alliance de la Loi avec la nation d’Israël. Rappelant la prophétie d’Aggée, l’apôtre écrit : « Une fois encore j’ébranlerai non seulement la terre, mais aussi le ciel. Ces mots : Une fois encore, indiquent le changement des choses ébranlées, comme étant faites pour un temps, afin que les choses inébranlables subsistent. C’est pourquoi, recevant un royaume inébranlable, montrons notre reconnaissance en rendant à Dieu un culte qui lui soit agréable, avec piété et avec crainte » – Exode 19:16-18 ; Hébreux 12:18-28.

L’apôtre Paul indique ici que l’ancienne Alliance de la Loi faite avec Israël et dont Moïse était le médiateur, ouvrait la voie à la vie aux Israélites qui respecteraient ses commandements. Elle représentait la meilleure et Nouvelle Alliance, avec un meilleur Médiateur : Jésus et son Eglise glorifiée qui, pendant le royaume millénaire de Christ, accordera la vie éternelle à toute l’humanité. L’ébranlement de la montagne qui précédait la conclusion de l’Alliance de la Loi, illustrait l’ébranlement actuel des cieux et de la terre annonçant l’introduction de la Nouvelle Alliance et le don de la Loi au peuple.

L’apôtre Pierre explique à ce sujet : « Le jour du Seigneur viendra … en ce jour, les cieux passeront avec fracas, les éléments embrasés se dissoudront, et la terre avec les œuvres qu’elle renferme sera consumée … Mais nous attendons, selon sa promesse, de nouveaux cieux et une nouvelle terre, où la justice habitera » (2 Pierre 3:10, 11). L’ébranlement et l’embrasement des cieux et de la terre symboliques, mentionnés par le prophète Aggée et par l’apôtre Pierre sont des aspects du temps de trouble actuel qui minent les fondations du monde social, civil et religieux.

L’Eternel avait promis de nombreuses bénédictions aux Israélites s’ils demeuraient fidèles. Pourtant quand leur Messie vint ils Le rejetèrent et, de ce fait, les grandes et précieuses promesses qui leur avaient été faites passèrent à l’Israël selon l’esprit : l’Eglise (1 Corinthiens 3:16 ; 2 Corinthiens 6:16 ; Hébreux 3:6 ; Matthieu 23:37, 38 ; 1 Pierre 2:6-10). C’est cette maison spirituelle composée de Jésus et de ses fidèles disciples de l’Age de l’Evangile tendant à sa fin, que l’Eternel remplira de sa gloire.

Cette gloire sera transcendante ! Ils seront revêtus de la nature divine ! Ils seront en présence de l’Eternel, le verront tel qu’Il est ! Jésus leur a fait cette promesse : « Celui qui vaincra, Je ferai de lui une colonne dans le temple de mon Dieu … J’écrirai sur lui le nom de mon Dieu, et le nom de la ville de mon Dieu, de la nouvelle Jérusalem qui descend du ciel d’auprès de mon Dieu, et mon nom nouveau » – Apocalypse 3:12.

Au livre de l’Apocalypse on lit au sujet de l’honneur accordé à ces êtres bénis d’une façon particulière : « Un des sept anges … m’adressa la parole, en disant : Viens, je te montrerai l’épouse, la femme de l’agneau. Et il me transporta en esprit sur une grande et haute montagne. Et il me montra la ville sainte, Jérusalem, qui descendait du ciel, d’auprès de Dieu, ayant la gloire de Dieu. Son éclat était semblable à celui d’une pierre très précieuse, d’une pierre de jaspe transparente comme du cristal … La ville n’a besoin ni du soleil ni de la lune pour l’éclairer ; car la gloire de Dieu l’éclaire, et l’agneau est son flambeau. Les nations marcheront à sa lumière, et les rois de la terre y apporteront leur gloire. Ses portes ne se fermeront point le jour, car là il n’y aura point de nuit » – Apocalypse 21:9-11, 23-25.

Ils vivront et régneront avec Christ pendant mille ans pour bénir toutes les familles de la terre dans un monde nouveau où il n’y aura plus de guerres, ni de famine, ni de maladie, ni de douleur, ni de mort (Apocalypse 21:1-5). Il n’est pas étonnant que l’apôtre Paul ait écrit : « Aussi la création attend-elle avec un ardent désir la révélation des fils de Dieu ». Si les humains savaient que le Dieu bienveillant, par notre Seigneur Jésus-Christ et ses fils glorifiés, tient d’abondantes bénédictions en réserve pour eux, ils s’en réjouiraient déjà maintenant.

Le nombre des élus n’est pas encore complet. Le temps est court.

Que celui qui a des oreilles entende !