ANCIEN TESTAMENT
« Abram, ne crains point ; je suis ton bouclier, et ta récompense sera très grande » – Genèse 15 : 1.
Dieu était son bouclier – pour le protéger, pour le garder de la colère et du pouvoir de tous les rois de la terre et de leurs armées. Dieu était capable et désireux de faire concourir toutes choses à son bien. Quel réconfort il y avait dans cette pensée ! Combien cela nous rappelle que Dieu est aussi notre bouclier ! Il nous protège de toute chose et de toute puissance mauvaise. Cette pensée est bien exprimée dans l’un de nos cantiques : « Tu es le bouclier de mon âme, quand les tempêtes se déchaînent. Lorsque la multitude des ennemis s’avance, tu es mon refuge et ma forteresse ; devant Toi tous les ennemis doivent s’incliner ». W.T. 2853-1901.
La consolation offerte ici à Abraham est celle qui est prodiguée à tous ceux qui sont de la foi d’Abraham, et son parallèle, dans le Nouveau Testament, est cette précieuse déclaration de notre Seigneur : « Celui qui m’aime sera aimé de mon Père, je l’aimerai, et je me ferai connaître à lui…Nous viendrons à lui, et nous ferons notre demeure chez lui ». (Jean 14 : 21, 23). Ainsi, au milieu de toutes les tentations et épreuves qui nous assaillent pendant notre pèlerinage terrestre, et bien que nous marchions par la foi vers l’héritage béni réservé aux saints victorieux, nous pouvons reconnaître la voix de notre Dieu, nous disant : « Ne crains point ; je suis ton bouclier, et ta récompense sera très grande ». W.T. 1906-1895.
************************************************
« Y a-t-il quelque chose qui soit trop difficile pour l’Eternel ? » – Gen. 18 : 14, Darby.
L’Esprit de Dieu est puissant dans quelque direction qu’il agisse. Comme illustration de sa puissance, l’Apôtre prend pour exemple notre Seigneur et sa mort littérale ; il nous indique comment le saint Esprit de Dieu releva Jésus d’entre les morts par la résurrection.
La pensée est que cette puissance de Dieu ainsi exercée en faveur du Seigneur Jésus et qui s’exercera, selon la promesse de Dieu, à la clôture de cet âge, en faveur de tous les membres fidèles du Corps de Christ, est une puissance par laquelle la nouvelle créature, si elle sait en tirer parti, trouvera la force de vaincre la chair, de la maîtriser et, plus que cela, de la rendre active et énergique au service de la justice. W.T. 3203-1903.