« … un si grand salut, qui, ayant commencé par être annoncé par le Seigneur. » – Hébreux 2 : 3 – Darby.
Il n’y avait non seulement pas de vie éternelle dans notre race, et aucun espoir d’en obtenir une si ce n’est par Jésus, mais toutes les promesses du passé auraient été impuissantes sans son œuvre d’expiation, et ce n’est qu’à sa venue que l’on a su comment notre rédemption devait s’accomplir. Il est vrai que Dieu avait fourni divers types et figures dans les nombreux sacrifices du passé illustrant le fait que sans effusion de sang il ne peut y avoir de rémission des péchés ; mais ils ne pouvaient être compris avant la venue de l’Antitype. C’est alors qu’Il mit en lumière la vie et l’immortalité — la vie pour le monde, la vie éternelle qui sera conférée pendant l’ère millénaire — l’immortalité pour son Église, son épouse, son petit troupeau, ses cohéritiers. Ces choses ne furent jamais mises en lumière auparavant ; elles ont à peine été aperçues et vaguement décrites, mais il restait au grand Maître à exposer devant nous le salut que Dieu offrait par son intermédiaire. Remercions Dieu que nos cœurs aient poussé nos lèvres à proclamer de plus en plus les louanges de Celui qui nous a appelés des ténèbres à son admirable lumière. Par la foi en Lui, nous sommes déjà considérés comme ressuscités pour marcher en nouveauté de vie, et bientôt, par Lui, le Père nous ressuscitera par sa propre puissance, afin que nous soyons semblables à Lui et que nous partagions sa gloire, son honneur et son immortalité. Z’06-186 R3795:5 (Hymne 255)