CANTİQUE PENDANT LA NUİT – 13 avril

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« Afin que… nous puissions avoir une forte consolation, |nous| qui cherchons refuge à saisir l’espérance placée devant nous. » – Hébreux 6 : 18 – KJV

Les Saints ont en effet, dans toutes les peines et tous les chagrins, une consolation bénie que le monde ignore totalement. Seul l’enfant de Dieu peut la connaître. Quelle est cette consolation ? C’est le doux murmure de l’espérance, de l’amour et du courage lorsque le cœur et la chair sont presque abattus. C’est la consolation divine, la seule qui ait en elle une vertu de guérison ou de rafraîchissement. Elle est réservée aux seules âmes nobles qui supportent fidèlement le fardeau et la chaleur du jour au service du Roi des rois ; tandis que ceux qui dérivent nonchalamment au gré du courant du monde et des tendances descendantes de la nature charnelle ne pourront jamais avoir une idée de sa douceur. Z’15-345 R5803:1 (Hymne 328)