Au printemps la nature se réveille, moment propice, une fois de plus, pour réunir les disciples du Seigneur. La rencontre à Vigy en cette période de Pâques a pu réunir une centaine de frères et de sœurs et amis de la Vérité pendant deux jours.
Le dimanche 20 avril 2014, la conférence débuta à 10 heures. La journée fut présidée par le fr. Paul Brychcy. Les orateurs sont intervenus selon le programme établi.
Le fr. Joseph Skarbek : « Non, jamais tout seul » (tiré du Cantique N° 360)
La solitude est lourde à porter. Dès l’origine de la création, l’Eternel a pourvu à la solitude, « Il n’est pas bon que l’homme soit seul » (Genèse 2 : 18). « L’Eternel Dieu forma une femme de la côte qu’il avait prise de l’homme, et il l’amena vers l’homme. » – Genèse 2 : 22.
D’autre part, l’homme sans la présence de Dieu est impuissant. Heureusement Dieu intervient dans de nombreux cas. Citons Moïse : élevé à la cour de Pharaon en Égypte jusqu’à l’âge de 40 ans, il s’enfuit en Madian, éloigné des siens jusqu’à l’âge de 80 ans, l’Eternel va alors lui confier une mission : libérer les hébreux de l’esclavage en Égypte. Mais Moïse proteste : « Qui suis-je pour aller vers Pharaon, et pour faire sortir d’Egypte les enfants d’Israël ? » (Exode 3 : 11). Dieu, cependant, le rassure : « Je serai avec toi » – Exode 3 : 12 ; Esaïe 55 : 11.
La même promesse a été faite à Josué lors de l’entrée en Canaan : « … Je serai avec toi, comme j’ai été avec Moïse ; je ne te délaisserai point, je ne t’abandonnerai point. » – Josué 1 : 5.
Dieu n’oublie pas ses fidèles : « Rassemblez-moi mes fidèles » (Psaume 50 : 5). « … Car Dieu lui-même a dit : Je ne te délaisserai point ; et je ne t’abandonnerai point » (Hébreux 13 : 5). « L’Eternel est mon berger » (Psaume 23 : 1).L’Eternel est mon refuge. -Psaume 91.
L’Eternel a envoyé son Fils pour nous servir. « Moi l’Eternel, je t’ai appelé pour le salut … » (Esaïe 42 : 6-8).Par contre, notre Seigneur a été incompris parmi les siens et a éprouvé la solitude – « Mon âme est triste jusqu’à la mort … » (Matthieu 26 : 38, 39). Mais Il a été réconforté (Luc 22 : 43).Sur la croix, Jésus a ressenti l’abandon de son Père (pour notre cause) (Matthieu 27 : 45, 46). Glorifié, Il nous invite : « Venez à moi … et vous trouverez du repos » (Matthieu 11 : 28, 29).Il nous procure la nourriture spirituelle par son serviteur fidèle et prudent (Matthieu 24 : 45). « Ayez donc les sentiments qui étaient en Jésus-Christ. » – Philippiens 2 : 5.
Le fr. Hubert Lipka (Allemagne) : « Vous n’avez pas encore résisté jusqu’au sang » – Hébreux 12 : 4.
L’apôtre Paul, dans son épître aux Hébreux chapitre 11, énumère les héros de la foi. Parmi ceux-ci : Abel, Hénoch, Noé, Abraham, Isaac, Moïse, Daniel et bien d’autres. Chacun d’eux est pour nous un témoignage.
« … Rejetons tout fardeau, … et courons avec persévérance dans la carrière qui nous est ouverte … afin que vous ne vous lassiez point, l’âme découragée … Vous n’avez pas encore lutté jusqu’au sang, en luttant contre le péché. » – Hébreux 12 : 1-4.
N’imitons pas les Israélites pour leur manque de foi dans les promesses divines. Conformons-nous aux paroles du Psalmiste : « J’ai constamment l’Eternel sous mes yeux … » – Psaume 16 : 8-11.
En Christ, nous avons le modèle idéal. Jésus a été tenté en tant qu’être humain mais n’a jamais succombé à la tentation. « Méprisé et abandonné des hommes … » (Esaïe 53 : 3, 4). Il a toujours été présent au côté du Père céleste et c’est par Lui que les humains obtiendront le salut et donc la vie.
Jésus languissait jusqu’au dernier repas de la Pâque, Il était soucieux également pour ses disciples comme le prouve la prière sacerdotale en Jean chapitre 17. L’apôtre Paul Le considère supérieur à Moïse « Car il a été jugé digne d’une gloire d’autant supérieure à celle de Moïse. » – Hébreux 3 : 3.
Humilié par son peuple jusqu’à la croix, couronné d’épines, Il a résisté jusqu’au sang. Les Juifs allèrent même contester l’inscription placée en haut de la croix par Pilate : « … Jésus de Nazareth, roi des Juifs … » – Jean 19 : 19-22.
Notre combat ne cesse depuis notre consécration. « Souvenez-vous de ces premiers jours, où, après avoir été éclairés, vous avez soutenu un grand combat … N’abandonnez donc pas votre assurance … vous avez besoin de persévérance … pour obtenir ce qui vous est promis … » – Hébreux 10 : 32-39.
« Car Dieu n’est pas injuste pour oublier votre travail … » – Hébreux 6 : 10, 11.
« Qu’aucun homme … ne vous ravisse à son gré le prix de la course … » – Colossiens 2 : 18-20.
« Nous avons connu l’amour, en ce qu’il a donné sa vie pour nous ; nous aussi nous devons donner notre vie pour les frères. » – 1 Jean 3 : 16.
Le fr. Romain Mlotkiewicz : « Le Veau d’or » (Exode chapitre 32).
Moïse et Aaron conduisent le peuple hébreu dans le désert (Exode chapitres 14 à 16). Au cours de la marche, le peuple se révolte en réclamant de l’eau, de la nourriture, de la viande et il sera entendu après l’intercession de Moïse auprès de l’Eternel. Au cours de l’étape au Mont Sinaï, l’Eternel doit confier à Moïse les Tables de la Loi. Moïse se rend seul sur la montagne (Exode 24 : 12, 13). Il confie la surveillance du peuple à Aaron et à Hur (Exode 24 : 14). L’absence de Moïse se prolonge. Le peuple s’impatiente. Reviendra-t-il ?
Satan exploite ce doute : « … fais-nous un dieu … » (Exode 32 : 1). Aaron essaie de les décourager mais finit par céder, et devient complice de leur action. Il fait fondre les joyaux déposés par le peuple. Il en résultera une statue « un veau d’or » que le peuple va adorer : « Voici ton dieu ! ». Aaron fait bâtir un autel pour l’idole et décrète une fête en l’honneur de l’Eternel. Quel blasphème !
Moïse, de retour, brise les Tables de la Loi et détruit le veau d’or (Exode 32 : 19, 20). Trois mille hommes sont tués par la tribu de Lévi qui n’a pas participé à la scène d’idolâtrie. Aaron, malgré les sévères reproches de Moïse, est épargné. – Deutéronome 9 : 19, 20.
Il est épargné une seconde fois lors d’une contestation contre Moïse alors que Marie, frappée de lèpre, a été guérie au bout de sept jours. Elle mourut à Kadès. – Nombres 20 : 1.
Une nouvelle fois le peuple réclame de l’eau. (Nombres 20 : 2-13). Moïse reçoit l’instruction : « Vous parlerez en leur présence au rocher et il donnera ses eaux. » (v. 8). « Moïse leva la main et frappa deux fois le rocher avec sa verge. Il sortit de l’eau en abondance. » (v. 11). Parler au rocher et frapper le rocher sont deux actions différentes. Moïse et Aaron ont été sévèrement punis pour cette transgression : « Parce que vous n’avez pas cru en moi … vous ne ferez pas entrer cette assemblée dans le pays que je lui donne. » (v.12). Aaron mourut à 123 ans, puis Moïse à 120 ans. Ils n’entrèrent pas dans le pays de Canaan.
Ces événements nous incitent à ne pas douter dans les promesses de Dieu. Dans le Nouveau Testament, est évoqué le doute d’un important personnage. Il s’agit de Jean-Baptiste. Emprisonné, il ne voit pas les actions de Jésus. Il envoie deux de ses disciples auprès de Jésus pour Lui demander : « Es-tu celui qui doit venir, ou devons-nous en attendre un autre ? » (Luc 7 : 19). La réponse constituait en une énumération des miracles de Jésus. – Luc 7 : 22.
Actuellement, n’arrive-t-il pas à certains parmi nous de douter quant à la Seconde Présence du Seigneur ? Les preuves actuelles de celle-ci ne sont pas la bénédiction du monde, mais les bénédictions promises pour l’Église et les préparatifs à les recevoir pour le monde (Matthieu chapitre 24). Ne cherchons pas une autre voie, soyons confiants, patients et persévérants dans l’attente de la réalisation du Plan de Dieu envers l’humanité (Manne du 20 Mars).
Le fr. Rozwarski Zénon : « La vie de Jésus en trois dimensions »
La naissance de Jésus eut lieu lors d’un recensement décrété par César Auguste (Luc 2 : 1-6). Le prophète Esaïe annonça cette naissance : « … Voici, la vierge deviendra enceinte, elle enfantera un fils, et elle lui donnera le nom d’Emmanuel. » – Esaïe 7 : 14.
Le monde chrétien fête la naissance de Jésus à Noël, le 25 décembre, elle est confondue avec une fête païenne. Sa naissance se situe plutôt en automne quand les bergers font encore paître leurs troupeaux.
Précédant la naissance de Jésus, Jean-Baptiste, né de Zacharie et d’Élisabeth, joua un rôle important auprès de Jésus. – Luc 1 : 5-15.
Jésus, à l’âge de douze ans, discourait déjà avec les docteurs du Temple (Luc 2 : 41-49). A l’âge de trente ans, Il fut baptisé par Jean-Baptiste. Engendré de l’Esprit, Il débuta sa mission en appelant les 12 apôtres ainsi que 70 disciples – « … Il m’a oint pour annoncer une bonne nouvelle aux pauvres. » – Luc 4 : 18.
Il a été souvent mal compris par son entourage, et en particulier quand Il les incita à « manger sa chair et boire son sang » (Jean 6 : 52-56). L’apôtre Paul nous met en garde contre les faux frères (Galates 2 : 4, 5). Il rappelle les outrages que lui-même a subis à Philippes. – 1 Thessaloniciens 2 : 2.
Jésus parlait du Royaume à venir en le comparant à dix vierges (Matthieu 25 : 1-13). Après sa résurrection, Il rassure deux disciples attristés qui se rendaient à Emmaüs : « … Ne fallait-il pas que le Christ souffrît ces choses et qu’il entrât dans sa gloire ? … » (Luc 24 : 13-26). Il en sera de même pour les membres de l’Église (1 Corinthiens 15 : 50). Ils seront glorifiés avant que se déversent les bénédictions sur les habitants de la terre alors qu’il sera annoncé « Elle est tombée, Babylone la grande ! » et que le Royaume de Christ sera instauré (Apocalypse 14 : 8). « Que celui qui a soif vienne … prenne de l’eau de la vie, gratuitement. » – Apocalypse 22 : 17.
Après une nuit de repos, la conférence a repris le lundi à 9h sous la présidence du fr. Francis Gikière qui appela successivement les orateurs suivants :
Le fr. Régis Liberda : « Sara, héroïne de la foi »
L’apôtre Paul, dans l’épître aux Hébreux chapitre 11, énumère un certain nombre de héros de l’Ancien Testament. Et parmi ceux-ci, deux femmes : Sara (v.11) et Rahab (v.31).
L’apôtre Pierre souligne la fidélité de Sara envers Abraham (1 Pierre 3 : 6). A sa naissance, son père la nomme Saraï (ma princesse) (Genèse 11 : 29). Abram était dix ans plus âgé que Saraï. Elle était fort belle (Genèse 12 : 14). Par contre, elle était stérile (Genèse 11 : 30). Et pourtant, l’Eternel promet de bénir sa postérité (Genèse 13 : 14-16). L’Eternel renouvelle sa promesse, mais il n’y a toujours pas d’héritier (Genèse 15 : 5, 6). Il définit même les limites du pays promis (Genèse 15 : 18-21). Saraï a maintenant 75 ans. Jugeant que la promesse a été faîte uniquement à Abram, elle propose à Agar, sa servante, d’aller vers Abram. De cette union, naît Ismaël. Confortée par cette naissance d’Ismaël comme héritier, Agar méprise Saraï, qui pendant sept années, supporte les railleries d’Agar. C’est alors que l’Eternel intervient en faveur de Saraï.
Abram âgé de 99 ans et Saraï âgée de 89 ans reçoivent la promesse de la naissance d’un fils nommé Isaac. Dorénavant, Abram sera appelé Abraham et Saraï sera appelée Sara (princesse, mère des croyants).
Sara, agacée par le comportement d’Agar et d’Ismaël envers elle et son fils Isaac, demande à Abraham de les chasser, et Abraham accède à sa demande (Genèse 21 : 9-12). Ensuite, l’Eternel exige le sacrifice d’Isaac. Abraham obéit (Sara et Isaac ne sont pas au courant). Au dernier moment, un bélier est sacrifié à la place d’Isaac. (Genèse 22 : 9-18). Sara vécut jusqu’à l’âge de 127 ans (Genèse 23 : 1). Elle restera un modèle de souffrance et de patience. – Jacques 5 : 10.
Le fr. David Skarbek : « La dernière semaine du ministère de Jésus-Christ »
Les derniers moments de sa vie devaient se dérouler à Jérusalem : « Mais il faut que je marche aujourd’hui, demain … vers Jérusalem » (Luc 13 : 33, 34) ‒ « Jésus prit les douze auprès de lui et leur dit : Voici, nous montons à Jérusalem … » (Luc 18 : 31-34) ‒ « Six jours avant la Pâque, Jésus arriva à Béthanie » (proche de Jérusalem) – Jean 12 : 1.
Jésus aimait se rendre à Béthanie dans la maison de Lazare, Marie et Marthe (Jean 11 : 5). Cette fois-ci, Marie déverse du parfum sur Jésus (Jean 12 : 3). Jésus apprécie son geste : « … Elle a d’avance embaumé mon corps pour la sépulture » – Marc 14 : 8 ; Manne du 16 Novembre.
Jésus entre dans Jérusalem – « … Voici, ton roi vient à toi … » (Matthieu 21 : 5) – conformément à la prophétie de Zacharie (Zacharie 9 : 9). Il est acclamé par la foule (Jean 12 : 12, 13). Jésus pleure en voyant la ville (Luc 19 : 41-44). Il se lamente sur Jérusalem (Matthieu 23 : 37-39). Il manifeste son autorité en chassant les vendeurs du Temple (Matthieu 21 : 12, 13). Entouré de ses disciples, Il désire manger la dernière Pâque avec eux (Luc 22 : 15). Il leur transmet une leçon d’humilité en leur lavant les pieds – « Si donc je vous ai lavé les pieds, moi, le Seigneur et Maître, vous devez aussi vous laver les pieds les uns les autres. » – Jean 13 : 14.
Ne cherchons pas à nous glorifier – « … Que le plus grand parmi vous soit comme le plus petit … » (Luc 22 : 26). « Je vous donne un commandement nouveau : Aimez-vous les uns les autres ; comme je vous ai aimés, vous aussi, aimez-vous les uns les autres. » – Jean 13 : 34.
Le fr. Joseph Szumowski : « Le dialogue de Jésus avec la Samaritaine »
Jésus quitta la Judée, avec ses disciples, pour se rendre en Galilée, traversant la Samarie (Jean 4 : 3, 4). Fatigué, Il s’arrête à un puits et rencontre une Samaritaine avec qui Il va dialoguer alors qu’auparavant Il avait conseillé à ses disciples : « N’allez pas vers les païens et n’entrez pas dans les villes des Samaritains. » – Matthieu 10 : 5.
La Samarie est une province avec une plaine agréable. Dans les temps anciens, lors de la rencontre de Jacob avec son frère Ésaü, Jacob s’installa à Sichem, une ville de Samarie (Genèse 33 : 18, 19). C’est également dans cette ville que les os de Joseph furent rapatriés depuis l’Égypte et enterrés. – Josué 24 : 32.
Au temps de Jésus, la Samarie était peuplée d’étrangers. Lors de la guérison de dix lépreux par Jésus « L’un d’eux se voyant guérit, revint sur ses pas, glorifiant Dieu à haute voix … C’était un Samaritain. » (Luc 17 : 15-17). Par contre, lors d’un passage de Jésus en Samarie les habitants refusèrent l’hospitalité à Jésus et ses disciples. – Luc 9 : 51-53.
Le dialogue de Jésus avec la Samaritaine a donc surpris non seulement la Samaritaine mais également les disciples de Jésus qui se référaient à leur coutume : « Vous savez, leur dit-il, qu’il est défendu à un juif de se lier avec un étranger ou d’entrer chez lui. » – Actes 10 : 28.
‒ « Comment toi, qui es Juif, me demandes-tu à boire, à moi qui suis une femme samaritaine ? » – Jean 4 : 9.
‒ « Si tu connaissais le don de Dieu et qui est celui qui te dit : donne-moi à boire ! Tu lui aurais toi-même demandé à boire, et il t’aurait donné de l’eau vive. » – v.10.
‒ « Là-dessus arrivèrent ses disciples, qui furent étonnés de ce qu’il parlait avec une femme. » – Jean 4 : 27.
A l’avenir, la grâce de Dieu sera dispensée à tous, aux Juifs et aux païens dont les Samaritains font partie. – 2 Corinthiens 9 : 14.
Le fr. Jean Piorkowski : « Les joyaux de l’Eternel »
Les disciples du Seigneur sont désignés symboliquement sous diverses appellations comme : Lumière du monde, bonne terre, petit troupeau, pierres vivantes, Temple du Seigneur, Église, et nombreux autres symboles mentionnés dans le Livre de l’Apocalypse.
Ils sont également représentés dans l’habit de gloire du souverain sacrificateur. En particulier dans les douze pierres précieuses insérées dans le Pectoral et sur lesquelles était gravé le nom de chacune des douze tribus d’Israël. Le Pectoral, plié en deux, représentait la lettre et l’esprit de la Loi. (Brochure : Figures du Tabernacle page 34). Les joyaux, 12 pierres précieuses, représentent le Corps de Christ, l’Eglise (144 000), l’Épouse de l’Agneau (Apocalypse 21 : 9-21), ou encore les 12 fondements, c’est-à-dire les douze Apôtres appelés par Jésus (Jean 1 : 35-50). Ces joyaux sont retirés de la boue, purifiés, polis et valorisés par leur dureté, fermeté, endurance. « Ils seront à moi dit l’Eternel des armées … » (Malachie 3 : 17). Après leur façonnage et leur polissage ils sont rassemblés dans les cieux à l’époque de la moisson. « Rassemblez-moi mes fidèles qui ont fait alliance avec moi par le sacrifice » (Psaume 50 : 5). « Il enverra ses anges … et ils rassembleront ses élus des quatre vents … » (Matthieu 24 : 31). Certains le sont déjà, et d’autres sont encore en préparation. – Esaïe 62 : 3 ; Luc 21 : 36 ; Manne 21 Décembre.
Le dimanche, en début d’après-midi, le fr. Daniel Wozniak a présenté et commenté les décisions prises lors de la réunion administrative qui a eu lieu le samedi 1er mars 2014.
Par deux fois, le dimanche et le lundi, la chorale, dirigée par le fr. Henri Peau, a exprimé sa joie en entonnant plusieurs cantiques. Une photo de l’ensemble des participants à cette conférence a été prise pour marquer le souvenir de cette communion fraternelle.
Nous remercions tous ceux qui ont contribué à l’organisation de celle-ci et en particulier notre Père céleste pour sa divine protection.