COMPTE RENDU DE LA CONFÉRENCE DE PÂQUES VİGY, 24 ET 25 AVRİL 2011

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La Conférence s’est déroulée dans une bonne am­biance fraternelle et a permis la rencontre de nom­breux frères et sœurs (environ 140) de France, d’Allemagne, de Pologne, de Suisse, de Hollande et même une sœur de Grèce.

Le frère Daniel Wozniak présida le premier jour. Il invita les orateurs selon le programme établi.

Le fr. Frédéric Lecroart : « Le Pardon »

Les 4 attributs de Dieu mènent au pardon. Le par­don est lié au péché. Dieu éloigne de nous les trans­gressions (Psaume 103 : 12). Il nous purifie à l’image des lépreux (Matthieu 8 : 3). Justifiés par la foi nous sommes en paix (Romains 5 : 1) et donc réconciliés avec Dieu. – Colossiens 1 : 21, 22.

Le pardon dans la sagesse divine : Des hommes intercèdent auprès de Dieu pour le pardon d’Israël (Psaume 130 : 4), tel Moïse (Exode 32 : 20), Daniel (Daniel 9 : 9). C’est par la foi que nous recevons le pardon des péchés (Actes 10 : 43 ; 26 : 18) en toute humilité et reconnaissance. – Luc 7 : 40-43, 47.

Le pardon dans la justice de Dieu : Sans effusion de sang il n’y a pas de pardon (Hébreux 9 : 22). Le pardon doit être réciproque (Marc 11 : 25). Le péché contre le Saint Esprit ne peut être pardonné (Marc 3 : 29), et Dieu punit l’iniquité. – Nombres 14 : 18.

Le pardon dans la puissance de Dieu : Il a été manifesté au travers du Fils de l’Homme (Marc 2 : 5) que Dieu a ramené d’entre les morts. – Hébreux 13 : 20 ; 1 Corinthiens 15 : 20.

Le pardon dans l’amour de Dieu : Il a envoyé son Fils pour sauver le monde (Jean 3 : 17). Dans le futur tous Le connaîtront (Jérémie 31 : 34), quand tous revi­vront en Christ. – 1 Corinthiens 15 : 22 ; Romains 10 : 13 ; Actes 2 : 21.

De quelle manière l’homme doit-il exercer le pardon ? Il doit le faire à l’image de Dieu (Genèse 1 : 26 et 27), mais il n’a pas la puissance d’effacer ou de condamner le péché (Luc 7 : 48) mis à part l’exemple de l’apôtre Pierre dans le cas de la condamnation à mort d’Ananias et Saphira. – Actes 5 : 4.

Le pardon entre les humains : Le bel exemple de Joseph envers ses frères et les paroles de Jacob avant de mourir (Genèse 50 : 17), sans vengeance (Lévitique 19 : 18), sans amertume (Éphésiens 4 : 31), sans négligence (Éphésiens 4 : 26 ), avec amour (Pro­verbes 10 : 12 ; 1 Corinthiens 13 : 4 à 7). Souvenons-nous des paroles dans la prière du Seigneur (Matthieu 6 : 9-15) et le nombre de fois que nous devons par­donner. – Matthieu 18 : 21 et 22.

Le Fr. Bronislaw Kaczor (Pologne) : « Que ton royaume vienne, sur la terre comme au ciel. »

A l’origine, tout ce que Dieu créa était « bon » (Ge­nèse 1 : 31). Aucune maladie n’affectait l’homme, il se trouvait être roi de la terre. Que s’est-il passé ? L’homme perdit la vie éternelle. Il a été tenté par la connaissance du bien et du mal (Genèse 3 : 22). Pour survivre il a dû faire des efforts (Genèse 3 : 19). Le couple expérimenta une première tragédie : la mort d’Abel. Un être humain, issu du premier couple, créé de la poussière de la terre (Genèse 2 : 7) se trouvait anéanti et dans la tombe, où il n’y a aucune transfor­mation.

L’harmonie avec Dieu a été rompue. Dans le monde, point de paix, les nations se révoltent. L’apôtre Paul en Romains 14 : 17, nous dit : « Car le Royaume de Dieu, ce n’est pas le manger et le boire, mais la jus­tice, la paix et la joie, par le Saint Esprit ». Nous atten­dons ce Royaume dans une paix intérieure. Nous trou­vons le réconfort dans les paroles de l’apôtre Paul (1 Corinthiens 15 : 22) : « Et comme tous meurent en Adam, de même aussi tous revivront en Christ » et en Jean 3 : 16 nous lisons : « Car Dieu a tant aimé le monde qu’il a donné son Fils unique, afin que qui­conque croit en lui ne périsse point, mais qu’il ait la vie éternelle ». La Rançon nous assure le salut, d’abord pour l’Église et ensuite pour tous. – Romains 8 : 19.

A quand cette réalisation ? Question posée par les Pharisiens à Jésus (Luc 17 : 20 et 21). Durant toute la période de l’âge de l’Évangile cette question a intri­gué les humains. Dans les derniers temps plusieurs mouvements religieux ont annoncé l’instauration de ce royaume en liaison avec l’élévation du dernier membre du Corps de Christ, tel le Mouvement Miller ou le Pas­teur Russell en 1914. D’autres dates plus récentes ont également été avancées.

Ne soyons pas découragés, soyons patients.

Le fr. Lutz Ruthmann (Allemagne) : « A cause de mon Nom ».

Dieu destina Moïse à la libération des enfants d’Israël du joug de Pharaon. Des anges lui apparurent dans un buisson ardent. Moïse hésita : Qui suis-je pour aller au-devant de Pharaon ? Que dirais-je au peuple s’il demande le nom du Dieu de leurs pères ? Tu leur répondras : « Je suis celui qui suis » – Exode 3 : 10 à 15.

Le nom de Dieu apparaît sous le tétragramme (4 lettres) JHWH ou Jahvé ou encore Jéhovah. Il ne peut pas être comparé à un nom d’homme. Dans les quatre lettres on peut y voir les quatre attributs de Dieu, base de son caractère : justice, amour, sagesse et puis­sance. En ce qui concerne Jésus, le prophète Esaïe Le décrit sous plusieurs appellations : Admirable, Con­seiller, Dieu puissant, Père éternel, Prince de la paix. (Esaïe 9 : 5). Pour protéger les enfants d’Israël, l’Eternel envoya un ange (Jésus dans sa forme pré-humaine) (Exode 23 : 20 et 21). L’Eternel promit de les délivrer (Exode 6 : 2 à 7). Il exerça sa puissance (Psaume 106 :7 et 8), non pas pour les exterminer mais pour les multiplier (Exode 32 : 12 et 13 ; Esaïe 48 : 9 à 11). Il renouvela son alliance (Exode 34 : 6 à 10) et bénit son peuple (Nombres 6 : 24 à 27), à condi­tion que le peuple veuille bien L’écouter (Deutéronome 28 : 1 à 10) sinon il serait confronté aux malédictions (versets 18 et 19) ; ce qui est arrivé (Ézéchiel 36 : 20 à 22) en profanant le nom de l’Eternel. Toutefois l’Eternel rachète ceux qui s’appellent de son Nom. – Esaïe 43 : 6 et 7.

Ces promesses ont été faites à Abraham et à sa descendance (Galates 3 : 16). Leurs réalisations intro­duiront la Nouvelle Alliance avec la nation d’Israël (Jé­rémie 31 : 31 à 33) à laquelle se joindront tous ceux qui auront appris que Dieu est avec eux. – Zacharie 8 : 23.

Le fr. Michal Suchacki (Pologne) : « L’Aveugle de naissance » – Jean chapitre 9.

Un homme âgé de 20 ans environ, aveugle de naissance, mendiait au bord du chemin emprunté par Jésus. Les disciples de Jésus Lui posèrent la ques­tion : « Qui a péché ? ». Jésus répondit : « Ce n’est ni lui, ni ses parents. C’est l’héritage du péché commis par Adam. »

Après avoir fait de la boue avec sa salive, Il l’appliqua sur les yeux de l’aveugle en lui enjoignant d’aller se laver au réservoir de Siloé ce qu’il fit, et de ce fait recouvra la vue. Cette guérison déclencha l’opposition des Pharisiens qui s’insurgèrent contre le Seigneur, disant : « Cet homme, Jésus, ne vient pas de Dieu et il n’observe pas le sabbat ! » Les pharisiens s’en prirent aux parents mais ceux-ci ne se laissèrent pas manipuler. « Il a l’âge (adulte) interrogez-le ! » Ils insistèrent auprès de l’homme guéri de sa cécité. Ce­lui-ci leur répondit (verset 30) : « Il est étonnant que vous ne sachiez d’où il est ; et cependant il m’a ouvert les yeux. » Les Pharisiens furent touchés dans leur amour-propre (verset 34) : « Ils répondirent : Tu es né tout entier dans le péché, et tu nous enseignes ! Et ils le chassèrent. »

Nous avons là un comportement exemplaire de ceux qui sont faussement accusés et qui, avec calme et sérénité, sans préjugés, avec mesure et dans l’humiliation ont supporté les critiques insensées de l’adversaire.

Le deuxième jour, la présidence fut assurée par le fr. David Skarbek. Le programme fut le suivant :

Le fr. Marius Kwarciak : « Nous n’ignorons pas les desseins de Satan » – 2 Corinthiens 2 : 10, 11.

Nous avons à lutter contre le monde, la chair et Satan. Qui est Satan ? Quelle est sa stratégie ? Comment le repousser ?

Satan est l’adversaire de Dieu et de son plan, et de ce fait, adversaire des Nouvelles Créatures. Il a intro­duit sur terre le germe du péché qui mène à la mort et fut précipité du ciel (Esaïe 14 : 12 à 15). Il devint le premier meurtrier (Jean 8 : 44) et menteur dès l’origine (Genèse 3 : 4 et 5) : « Vous ne mourrez point ». Il cherche à gouverner le monde et il est le « Prince de ce monde » jusqu’à ce jour. Dieu permet cette situation jusqu’à un certain point (2 Corinthiens 4 : 3 et 4). Il in­fluence les hommes, cherchant à les amener à s’opposer à Dieu depuis les temps anciens.

Citons quelques exemples : Il poussa David à faire le dénombrement du peuple d’Israël ce qui entraîna une sévère punition de la part de l’Eternel (1 Chro­niques 21 : 1-14). Pour faire mourir Jésus enfant, il conduisit le roi Hérode à exterminer les enfants de Bethléem. Auprès des apôtres il amena Simon (Pierre) à renier le Seigneur (Luc 22 : 31 et 32 ; Matthieu 16 : 16, 17, 21 à 23) et Judas à trahir le Maître. Il se dé­chaîne actuellement sur les membres de l’Église : « Il rôde comme un lion rugissant, cherchant qui il dévo­rera » (1 Pierre 5 : 8). Résistons-lui et revêtons les armes appropriées contre ses ruses (Éphésiens  6 : 11, 12, 16). Il intervient même, au sens moral, au sein de la famille, prônant le concubinage, le divorce, l’homosexualité. Il se déguise en ange de lumière pour mieux séduire (2 Corinthiens 11 : 14). Il essaie de cor­rompre nos pensées (2 Corinthiens 11 : 3 et 4) en pro­posant une autre voie de salut, dépourvue de difficul­tés que l’on retrouve dans certaines sectes.

« Ne laissons pas à Satan l’avantage sur nous » (2 Corinthiens 2 : 11). « Soumettez-vous donc à Dieu ; résistez au diable. » – Jacques 4 : 7.

Le fr. Lutz Ruthmann (Allemagne) : « Pourpre, cramoisi et fin lin ».

Lors de leur sortie d’Égypte les enfants d’Israël dé­pouillèrent les Égyptiens (Exode 3 : 21 ; 12 : 35, 36). Les matériaux devaient servir à la construction du Ta­bernacle (Exode 25 : 1 à 8). Parmi ceux-ci des étoffes teintes travaillées par des mains habiles (Exode 38 : 23), utilisées à la réalisation du rideau du Parvis (Exode 27 : 16). Les teintes recherchées étaient :

Le pourpre, ou encore un bleu violet, un violet foncé assimilé à la couleur royale. – Juges 8 : 26 ; Es­ther 8 : 15 ; Daniel 5 : 7, 29 ; Luc 16 : 19.

Le cramoisi ou encore rouge écarlate assimilé aux péchés. – Esaïe 1 : 18 ; Apocalypse 17 : 3, 4.

Le lin d’un blanc jaunâtre, utilisé pour les vête­ments portés par les rois, les sacrificateurs et les lé­vites. – 1 Chroniques 15 : 27.

Communément, on associe les vertus aux couleurs, par exemple : vert-espoir ; bleu-fidélité ; rouge-amour ; jaune-fausseté. Parmi les nombres, certains chiffres sont particuliers tels que 3, 4, 7, 12. Prenons comme exemple le chiffre 4 : 4 rivières sortaient du Jardin d’Éden. 4 anneaux d’or soutenaient les barres de l’Arche de l’Alliance. Nous avons les 4 points cardi­naux, les 4 saisons de l’année. Dans la Bible nous dis­tinguons 4 grands prophètes, 4 Évangiles ou encore les 4 bêtes de l’Apocalypse.

Nous pouvons décrire Jésus sous 4 aspects : Comme Fils de Dieu, comme homme parfait, comme Fils de l’Homme souffrant, comme Roi des rois. Les 4 Évangiles se complètent en mettant en avant leurs particularités.

En Matthieu nous trouvons la généalogie de Jésus et sa gloire – Il est présenté comme le Roi des rois, que l’on peut associer à la couleur rouge pourpre.

En Marc le salut, un serviteur dévoué dans la sa­gesse et la souffrance (cramoisi).

En Luc, Jésus est présenté exempt de péchés (fin lin blanc).

En Jean est présentée la partie spirituelle de Jésus comme Fils de Dieu.

Le fr. Bronislaw Kaczor (Pologne) : « Qui ob­tiendra la couronne de vie ? »

Jésus fut abordé par la mère des fils de Zébédée avec la requête suivante : « Fasse que mes deux fils soient assis dans le royaume, l’un à la droite, l’autre à la gauche » ce à quoi Jésus répondit : « Cela ne sera donné qu’à ceux à qui mon Père l’a réservé » (Mat­thieu 20 : 20 à 23).Lors d’un autre événement Jésus s’exprima ainsi : « Ceux qui me disent : Seigneur, Sei­gneur ! N’entreront pas tous dans le royaume des cieux, mais seulement celui qui fait la volonté de mon Père qui est dans les cieux » (Matthieu 7 : 21). À ceux qui y entreront l’apôtre Jean dit : « Heureux et saints ceux qui ont part à la première résurrection ! La mort n’a point de pouvoir sur eux ; mais ils seront sacrifica­teurs de Dieu et de Christ, et ils règneront avec lui pendant mille ans » – Apocalypse 20 : 6.

Nous ne devons pas juger selon l’apparence et nous souvenir de la manière dont l’Eternel guida Sa­muel pour oindre le roi David. – 1 Samuel 16 : 7.

Le moment voulu, Dieu suscitera un Royaume qui ne sera jamais détruit (Daniel 2 : 44). Le psalmiste Da­vid au chapitre quinze décrit admirablement ceux qui y séjourneront.

L’apôtre Paul déclare trois choses : « J’ai combattu le bon combat, j’ai achevé la course, j’ai gardé la foi. Désormais la couronne de justice m’est réservée ; le Seigneur, le juste juge, me la donnera dans ce jour-là, et non seulement à moi, mais encore à tous ceux qui auront aimé son avènement » (2 Timothée 4 : 6 à 8). « ….Courez de manière à remporter le prix » (1 Co­rinthiens 9 : 24 à 27), mais « Combattez suivant les règles » (2 Timothée 2 : 5). « Portez les fardeaux les uns les autres » (Galates 6 : 1 et 2). « Courons vers le but pour remporter le prix » (Philippiens 3 : 14). Les épreuves nécessaires se termineront avec la fin de notre vie humaine.

Le fr. Adolphe Debski : « Les âges ajustés ».

Cette expression « Les âges ajustés » est tirée du Nouveau Testament « The Emphatic Diaglott », rédigé en anglais et comportant le texte grec, avec une tra­duction littérale sous chaque mot, ainsi qu’une traduc­tion libre du côté droit de chaque page. Voici ce qui se lit sous chaque mot en Hébreux 11 : 3 après traduction en français : « … Dans foi nous percevons ont été ajustés les âges par une parole de Dieu » – et dans la partie droite de la page : « …Dans la foi nous perce­vons que les AGES ont été si complètement ajustés par le Commandement de Dieu, … »

La Bible Chouraki confirme la notion de temps que comporte le mot « âges », par l’emploi du mot « ères » : «  … les ères ont été formées par un mot d’Elohim … »

Dans la majorité des Bibles, figure le mot « monde » en lieu et place du mot « âges ». Nous lisons ainsi, dans la Bible Segond : « C’est par la foi que nous recon­naissons que le monde a été formé par la Parole de Dieu… » Il y a lieu de signaler que le mot grec qui fi­gure ici est « aioonas« , qui signifie bien « âges » selon Strong, référence 3952 et W.E. Vine, page 41 ; par contre, le mot grec signifiant « monde » est « kosmos« . On le trouve, par exemple, en Jean 1 : 9. Ainsi, en Matthieu 28 : 20, ce n’est pas le mot « kosmos » qui se trouve, mais le mot « aioonos« . Il ne s’agit donc pas, dans ce verset, de la fin du monde, mais de la fin d’un âge, de l’âge l’Évangile, qui sera suivi de l’âge Millé­naire.

Il est encore un mot qui demande à être bien exa­miné en rapport avec notre étude ; c’est le mot « formé », du grec KATARTIZO, figurant en Hébreux 11 : 3. La Concordance Strong, référence 2675, donne à ce mot la signification suivante : Compléter entière­ment, c’est-à-dire réparer (littéralement ou au figuré), ou ajuster, bâtir, réparer ; (rendre) parfait ; joindre parfaitement ensemble, préparer, rétablir.

Cette explication met en relief l’idée de réparer, de rendre parfait, de rétablir. Elle décrit très bien l’œuvre prévue du rétablissement de toutes choses, qui ramè­nera les hommes de bonne volonté à l’état de perfec­tion et rendra possible la vie éternelle sur terre.

D’un autre côté, nous y percevons aussi une œuvre de jonction, d’ajustement, de raccordement de ces âges mentionnés au verset 3, chapitre 11 de cette épître aux Hébreux.

Ces âges, quels sont-ils ? Apparemment, il s’agit des âges prévus par l’Eternel en rapport avec la créa­tion de l’homme et constituant le « Divin Plan des Âges ». En ce qui concerne leur ajustement, l’orateur évoqua certaines pensées à propos des trois premiers de ces âges, mais le temps qui lui était imparti ayant expiré, il clôtura son service, souhaitant à l’assistance la bénédiction divine.

À cette Conférence, le secrétaire Daniel Wozniak a présenté le résultat de la réunion Administrative qui avait eu lieu le 5 mars 2011 et fait approuver par un vote des membres présents les décisions prises pour une durée de deux ans.

La Chorale dirigée par le fr. Henri Peau a pu se produire le Dimanche et le Lundi, étant toujours ap­préciée par l’assistance.

Nous remercions les organisateurs ainsi que tous les participants de cette Conférence, de même que la direction de l’Établissement pour l’ensemble des ser­vices que nous rend l’ADEPPA. Nous transmettons nos salutations Chrétiennes à tous nos lecteurs.

Pour l’AEB, le fr. Romain Mlotkiewicz.

« Voici l’agneau de Dieu

qui ôte le péché du monde. »

Jean 1 : 29