DISTRIBUTION VOLONTAIRE DES TRAITES

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J’ai été heureux d’apprendre dernièrement que l’intérêt des frères de France, de Suisse, de Belgique et d’Italie est croissant, profond et grand. Cette condition de choses me réjouit. J’ai appris a aimer plusieurs d’entre vous, à apprécier votre cœur  sérieux, surtout pendant ma der­nière visite.

Il faut que je vous dise quelques mots au sujet des avantages de l’oeuvre des distributeurs volontaires, de ceux qui répandent les traités gratuits, sagement, partout où il y a vraiment des lecteurs pour les lire. Cette oeuvre doit sans doute se faire surtout dans les endroits protes­tants, ce qui sera indiqué par le bureau de Genève. Tous peuvent s’engager dans ce service; après avoir fait la distribution dans votre propre famille sans beaucoup de peine, plusieurs d’entre vous, peuvent le faire dans les villes et les villages voisins, en un temps opportun, par exemple le soir, le dimanche ou pendant des jours de vacances; ils peuvent ainsi répandre la Vérité. J’espère que l’année présente sera une année de grands efforts en France et par conséquent de grandes bénédictions pour tous les volontaires, collaborateurs dans l’oeuvre de la moisson.

Il paraît que l’oeuvre du colportage n’a pas autant de succès en France qu’ailleurs. Nous le regrettons, mais nous devons nous y soumettre. Nous vous conseillons de faire tout ce qui peut être fait. Vous pouvez tous colpor­ter le soir ou le dimanche, parmi vos voisins et vos amis et attirer leur attention sur la Vérité, leur dire combien cela vous a fait de bien de comprendre la Parole de Dieu de la bonne manière. Ainsi vous pouvez vendre un vo­lume et plus et intéresser plusieurs personnes. Un autre plan qui réussit très bien en Angleterre est celui-ci chaque petite assemblée, selon ses moyens achète le vo­lume premier des Etudes des Ecritures, pour le prêter, cela systématiquement, maison après maison, le prêtant un certain jour et le reprenant la semaine suivante, donnant à chacun une semaine pour l’étudier; ensuite elle vend le livre à ceux qui le désirent, mais elle ne presse per­sonne. Cette méthode a eu un grand succès et a été le moyen de faire du bien à plusieurs. Nous avons confiance que bientôt nos amis de France l’essayeront. Les livres vous seront procurés à bas prix, comme étant utiles. Une des assemblées anglaises a, en sa possession, au moins une centaine de livres à prêter. Ces livres ont été prêtés et repris de nouveau et de nouveau; plusieurs sont vendus pour garder propre toute la collection. Les personnes qui sont très pauvres et qui désirent l’acheter, peuvent ne donner qu’une petite somme, selon ce que vous jugerez. Espérant avoir bientôt un compte-rendu <du bureau> à ce sujet, et espérant que vous aurez confiance dans les résultats de l’oeuvre, je reste Votre frère et serviteur dans le Seigneur, C.-T. Russell.

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