JÉSUS NOTRE AGNEAU PASCAL.

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« Car toutes les fois que vous mangez ce pain et que vous buvez cette coupe, vous annoncez la mort du Seigneur jusqu’à ce qu’il vienne » – 1 Corinthiens 11 : 26.

La saison de la Pâque, telle qu’elle est célébrée par les Juifs, approche. Elle commence cette année le 3 avril. Mais l’intérêt des Chrétiens, à cette époque, se concentre en particulier sur l’immolation de l’agneau qui précédait la fête de Pâque et qui typifiait l’immolation de l’Agneau de Dieu, le Christ Jésus. Par conséquent, notre célébration de cette saison pascale se rapporte au grand Antitype. En tant que Chrétiens, nous commémorons, à cette époque de l’année, l’événement le plus grand de toute l’histoire, la mort en sacrifice du Sauveur du monde … Notre célébration, cette année, commencera exactement le 2 avril après 6 heures du soir, ce qui sera le commencement du 14 de Nisan.

Nous regrettons grandement de constater que parmi les millions de prétendus Chrétiens et de Juifs qui célébreront à cette époque dans des cérémonies de pure forme et superficiellement cet événement on ne peut plus important, bien peu d’entre ces deux religions discernent la signification réelle de la célébration. Si leurs esprits pouvaient être rendus entièrement conscients de sa véritable signification, il y aurait un réveil religieux tel que le monde n’en a encore jamais connu. Mais, comme saint Paul le déclare, « le dieu de ce siècle a aveuglé l’esprit » de beaucoup de gens ; et même certains, dont les yeux de l’entendement sont partiellement ouverts, sont décrits par saint Pierre comme étant aveugles et incapables de voir au loin. Ils sont incapables de voir les choses profondes de Dieu relatives à ces cérémonies qui sont célébrées depuis maintenant plus de trois milliers d’années, en type et en antitype.

Les Israélites avaient reçu l’ordre de célébrer la Pâque comme le premier trait distinctif de la loi et comme l’une des commémorations les plus grandes de leur nation. Donc nous voyons que, dans une certaine mesure, la Pâque est célébrée par les Juifs dans toutes les parties du monde, même par ceux qui prétendent être agnostiques. Ils ont toujours une mesure de respect pour la Pâque, comme pour une ancienne coutume. Mais n’est-il pas étrange que beaucoup de nos amis juifs, qui possèdent une intelligence si vive, ne se soient jamais donné la peine de s’enquérir de la signification de cette célébration ?

Pourquoi l’agneau pascal fut-il immolé et mangé ? Pourquoi le sang fut-il mis sur les montants et les linteaux des portes ? Bien entendu, Dieu l’ordonna ainsi ; mais quelle fut la raison, le motif qui inspirait ce commandement divin pour quelle leçon, -dans quel but a-t-il été donné ? En vérité un Dieu raisonnable donne des commandements raisonnables ; et en temps opportun Jéhovah fait comprendre à Son peuple fidèle la signification de chacune de ces exigences. Si le Juif peut se rendre compte que son jour de sabbat est un type d’une époque future de repos et de bénédiction, de délivrance de la peine, des chagrins et de la mort, pourquoi ne peut-il pas voir que pareillement tous les traits de l’institution mosaïque furent combinés par l’Eternel pour être des préfigurations de diverses bénédictions devant être accordées « au temps convenable » ?

Prémices et fruits venant après.

Heureux sont ceux dont les yeux peuvent voir que Jésus fut vraiment « l’Agneau de Dieu qui ôte le péché du monde » ; que l’annulation du péché du monde doit être effectuée par le paiement du châtiment infligé à l’homme, par l’application en temps opportun du mérite du sacrifice de Jésus pour les péchés de tout le genre humain. Seule l’Eglise jusqu’à présent a bénéficié du mérite de la mort de Jésus. Grandement favorisés sont ceux qui peuvent voir que, de même que le monde entier perdit la faveur divine et tomba sous la sentence divine de mort, avec les afflictions et les peines qui l’accompagnent, ainsi il fut nécessaire qu’une satisfaction de justice fût faite, avant que cette sentence ou cause pût être levée ; et que, par conséquent, comme l’Apôtre le déclare : « Christ est mort pour nos péchés »- « le Juste pour les injustes », afin de nous ramener à Dieu. De cette manière, Il ouvrit une voie nouvelle – une voie vers la vie éternelle.

Les Ecritures appellent l’Eglise de Christ « l’église des premiers-nés », « une sorte de prémices de ses créatures », « des prémices à Dieu et à l’Agneau ». (Hébreux 12 : 23 ; Jacques 1 :18 ; Apoc. 14 : 4). Ces expressions impliquent qu’en dernier lieu il y aura d’autres membres de la famille de Dieu, des membres qui naîtront plus tard; elles impliquent des fruits à venir. Les Chrétiens en général semblent ne pas avoir remarqué ces passages de l’Ecriture, dans la mesure où cela concerne l’application qu’on en fait, et en sont généralement venus à croire que seuls ceux qui sont désignés dans la Bible comme les prémices doivent être un jour sauvés – et qu’il n’y aura point de fruits qui suivront.

Mais la figure de la Pâque nous indique qu’il était dans les intentions de Dieu de sauver tous les Israélites, et qu’en tant que nation ceux-ci représentaient tous les humains qui viendront un jour en harmonie avec Dieu et auxquels sera accordée la vie éternelle dans la terre promise. Notons qu’il y eut deux Pâques ou passages – l’une dans laquelle seuls les premiers-nés furent sauvés, et une autre plus grande à la Mer Rouge, lorsque par la puissance divine la nation entière d’Israël fut miraculeusement délivrée et conduite à travers le lit de la mer spécialement préparé pour elle par l’accentuation des vents et de la marée. Les Israélites passèrent à pied sec et furent sauvés, tandis que les armées du Pharaon, représentant tous ceux qui finalement iront à la seconde mort, furent englouties dans la mer. Le passage de la mer Rouge dépeint la délivrance finale, du pouvoir du péché et de la mort, de toute créature de la race d’Adam, qui désirera venir en accord avec l’Eternel et l’adorer, de tous -ceux qui deviendront un jour une partie d’Israël : car pas un Israélite ne fut laissé en arrière dans l’esclavage d’Egypte.

Responsabilité des premiers-nés.

Mais ce passage n’est pas celui que nous sommes sur le point de célébrer. Nous devons célébrer l’antitype du passage de l’ange par-dessus les premiers-nés d’Israël, dans le pays d’Egypte. Seuls les premiers-nés d’Israël furent en péril cette nuit-là en Egypte, bien que la délivrance de la nation entière dépendît du salut de ces premiers-nés, du passage au-dessus d’eux. De même seuls les premiers-nés des fils de Dieu issus du plan humain, l’Eglise de Christ, sont à présent épargnés pendant cette nuit de l’Age évangélique ; seuls ceux-ci sont en danger d’être détruits – par l’ange. Ceux-là se trouvent tous sous le sang aspergé.

Nous voyons, en harmonie avec toutes les Ecritures, que le « petit troupeau », « les prémices de ses créatures », « I’Eglise des premiers-nés » seule est en train d’être épargnée, sauvée pendant l’âge présent. Nous voyons que les autres, le reste des humains, qui pourront avoir le désir de suivre le grand Moïse antitypique, quand, dans l’âge à venir, celui-ci conduira le peuple hors de l’esclavage du péché et de la mort, ne sont pas actuellement en danger de destruction éternelle – mais seulement les premiers-nés.

L’Eglise des premiers-nés est formée de ceux des humains qui, avant le reste de la race, ont eu les yeux de leur entendement ouverts à la conception nette de leur esclavage et de leur besoin de délivrance, et à la bonne volonté de Dieu d’accomplir à leur égard toutes Ses bonnes promesses. De plus, ceux-là sont ceux qui ont répondu à la grâce de Dieu, qui ont fait une pleine consécration d’eux-mêmes à l’Eternel et à Son service, et qui en retour ont été engendrés du saint Esprit. Pour ceux-là, c’est une question de vie ou de mort que de demeurer ou non dans la Famille de la Foi – derrière le sang d’aspersion.

Pour cette classe de croyants, sortir de sous le sang impliquerait de l’indifférence à l’égard de la miséricorde divine. En agissant ainsi ils feraient outrage à la bonté de Dieu ; il se révélerait en effet qu’ayant reçu leur part de la miséricorde divine, telle qu’elle est représentée dans le sang de l’Agneau, ils ne l’avaient pas appréciée. A l’intention de telles personnes, les Ecritures déclarent : « Il ne reste plus de sacrifice pour les péchés », « Christ… ne meurt plus » (Hébr. 10 : 26 ; Rom. 6 : 9). Ils doivent être regardés comme des adversaires de Dieu, dont le sort fut symbolisé par la destruction des premiers-nés d’Egypte. L’Eglise des premiers-nés de par l’engendrement de l’Esprit saint et les plus grands privilèges et connaissance dont elle jouit à tous points de vue, a une responsabilité beaucoup plus grande que le monde ; car ses membres sont les seuls jusqu’ici en danger de mourir de la seconde mort. C’est là la leçon que l’on tire du type de la Pâque, et elle s’applique seulement aux vrais Chrétiens.

Bientôt la nuit du péché et de la mort sera dissipée, le glorieux matin de la délivrance sera venu, et le Christ, le Moïse antitypique, fera sortir, délivrera tout le peuple de Dieu, – tous ceux qui, lorsqu’ils en viendront à connaître la volonté de Dieu, seront heureux de la révérer, de l’honorer et de lui obéir. Ce jour de délivrance sera l’Age millénaire tout entier, à la fin duquel tout le mal et tous les méchants, symbolisés par les armées égyptiennes, seront complètement retranchés dans la seconde mort – qui est la destruction.

Jésus, notre Agneau pascal.

L’Apôtre Paul identifie clairement et positivement l’Agneau pascal à notre Seigneur Jésus, en disant : « Christ, notre Pâque, a été immolé pour nous ; c’est pourquoi célébrons la fête ». Il nous informe que nous avons tous besoin du sang d’aspersion, non pas sur notre maison, mais sur notre coeur. Nous devons prendre notre part de l’Agneau ; il nous faut nous approprier pour nous-mêmes le mérite de Christ, la valeur de son sacrifice ; il nous faut aussi manger du pain sans levain de la vérité, si nous voulons être forts et prêts pour la délivrance au matin de la nouvelle dispensation. De cette manière, non seulement nous revêtons Christ par la foi, mais de plus en plus nous revêtons son caractère, et sommes transformés à sa glorieuse image dans notre coeur et dans notre façon de vivre.

Nous devons nous nourrir de Christ comme les Juifs se nourrissaient de l’agneau littéral. Au lieu des herbes amères qui stimulaient et excitaient leur appétit, nous avons les expériences et épreuves amères que le Seigneur prépare pour nous, et qui aident à détacher notre affection des choses terrestres et à nous donner un appétit accru pour nous nourrir de l’Agneau et du Pain sans levain de la Vérité. Nous aussi, nous devons nous rappeler que nous n’avons point ici de cité permanente, mais que, comme des pèlerins et des étrangers, le bâton à la main, nous devons nous ceindre pour notre voyage vers la Canaan céleste et vers toutes les glorieuses choses que Dieu a en réserve pour l’Eglise des premiers-nés, en association avec notre Rédempteur, comme rois et prêtres à Dieu.

Notre Seigneur Jésus aussi s’identifia pleinement à l’Agneau pascal. La nuit où il fut trahi, précédant immédiatement sa crucifixion, Il réunit ses apôtres dans la chambre haute, et leur dit : « J’ai fort désiré de manger cette Pâque avec vous, avant que je souffre ». Comme Juifs, il était nécessaire qu’ils célébrassent le Souper de la Pâque cette nuit-là, – la nuit anniversaire de l’immolation de l’agneau d’Egypte, de la délivrance des premiers-nés typiques du « prince de ce monde » typique – Pharaon, – la même date où l’Agneau pascal réel devait être immolé. Mais aussitôt que les exigences du type eurent été accomplies, notre Seigneur Jésus institua un nouveau Mémorial ou commémoration sur l’ancien fondement, en disant : « Faites ceci en mémoire de moi ».

Signification première du pain et de la coupe.

Nous rappelons les circonstances de la première Commémoration : la bénédiction du pain et de la coupe, le fruit de la vigne, et la déclaration que fit notre Seigneur en disant que ces choses représentaient son corps rompu et son sang répandu, et que tous ses imitateurs devraient y participer non seulement en se nourrissant de Lui, mais en étant rompus avec Lui ; non seulement en prenant leur part du mérite de son sang, de son sacrifice, mais aussi en faisant le sacrifice de leur vie à son service, et en coopérant avec Lui de toute manière possible, afin d’avoir part plus tard à tout son honneur et à toute sa gloire, dans le Royaume. Combien ces pensées sont précieuses pour ceux qui sont bien en accord avec notre Seigneur !

En présentant à ses disciples le pain sans levain commémoratif, Jésus dit : « Prenez, mangez ; ceci est mon corps ». Le sens évident de ses paroles est : Ceci symbolise ou représente mon corps. Le pain n’était pas véritablement son corps, car en aucun sens son corps n’avait encore été rompu. En aucun sens il ne leur avait été possible alors de se nourrir de Lui véritablement ou antitypiquement, le sacrifice n’ayant pas encore été achevé à ce moment-là. Mais la figure est parfaite lorsque nous reconnaissons que le pain sans levain (pur, non fermenté) représentait la chair sans péché de notre Seigneur ; le levain était en effet sous la loi un symbole de péché, et il avait été particulièrement prescrit de le faire disparaître au temps de la Pâque. Une autre fois Jésus fit un discours qui nous explique ce symbole. Il dit : « Car le pain de Dieu est celui qui descend du ciel, et qui donne la vie au monde », « Je suis le pain de vie », « Je suis le pain vivant qui est descendu du ciel. Si quelqu’un mange de ce pain, il vivra éternellement ; et le pain que je donnerai, c’est ma chair, que je donnerai pour la vie du monde ». – Jean 6 : 33, 35, 51.

Afin d’apprécier la manière dont nous devons manger ou nous approprier ce pain vivant, il est nécessaire que nous comprenions exactement ce que le pain signifie.

Selon l’explication que donna notre Seigneur, ce fut sa chair qu’Il sacrifia pour nous. Ce ne fut pas son existence pré-humaine comme être spirituel qu’Il sacrifia, bien qu’il y eût renoncé et qu’il eût mis de côté la gloire de cette existence pour prendre notre nature humaine. Ce fut le fait que notre Seigneur Jésus était saint, innocent, sans souillure et séparé des pécheurs – exempt de toute contamination du Père Adam, et à cause de cela libre du péché – qui le rendit capable de devenir le Rédempteur d’Adam et de sa race, et qui lui permit de donner sa vie « en rançon pour tous, témoignage qui doit être rendu en son propre temps ». – 1 Timothée 2 : 3-6.

Lorsque nous voyons que c’était la nature pure et sans tache de notre Seigneur Jésus qui fut sacrifiée pour le compte des pécheurs, nous voyons alors ce que nous avons le privilège de nous approprier. C’est la chose même qu’Il sacrifia pour nous que nous devons « manger », nous approprier, c’est-à-dire sa vie humaine parfaite qui fut donnée pour racheter tous les hommes de la condamnation à mort, pour les rendre capables de retourner à la perfection humaine et à la vie éternelle, s’ils le veulent. Nous devons nous rendre compte de cela et accepter notre Seigneur comme Celui qui nous sauve de la mort. Les Ecritures nous montrent, cependant, que si Dieu voulait considérer tous les péchés passés comme annulés, et devait nous reconnaître comme ayant un droit à la perfection humaine, cela ne nous rendrait pas cependant parfaits, ni ne nous donnerait le droit à la vie éternelle.

Afin que quiconque de la race d’Adam pût profiter du sacrifice de Jésus, il était nécessaire que notre Seigneur fût relevé de la tombe et élevé au divin plan de vie, qu’Il montât vers le Père et déposât le mérite de sa mort en Sacrifice entre les mains de la justice, et qu’Il reçût du Père « tout pouvoir dans les cieux et sur la terre ». En ce qui concerne le monde, il était nécessaire aussi qu’au temps marqué du Père Il revînt sur la terre, Etre divin glorieux, pour remplir alors, en faveur du monde entier, l’office de Médiateur, de Prophète, de Prêtre et de Roi, et pour aider à revenir à la perfection et à l’harmonie avec Dieu tous ceux qui profiteront des magnifiques privilèges qui seront alors offerts.

C’est cette même bénédiction que l’Eglise de cet âge de l’Evangile reçoit par la foi dans son Rédempteur, à savoir la justification par la foi – non pas la justification à une nature spirituelle, que nous n’avons jamais possédée ni jamais perdue et que Christ ne racheta donc pas – mais la justification à la nature humaine qu’Adam possédait et perdit, et que Christ racheta en donnant sa propre chair sans péché, sa vie humaine, parfaite, en sacrifice pour notre rançon. La participation au pain sans levain, au temps pascal, signifie donc principalement pour nous l’appropriation à soi-même, par la foi, de la justification au droit de vie humaine – un droit à la vie humaine – avec tous ses privilèges, que notre Seigneur nous procura à ses propres dépens. Pareillement, le fruit de la vigne symbolisait principalement la vie de notre Sauveur donnée pour nous, sa vie humaine, son être, son âme livrée à la mort en notre faveur ; et l’action de nous approprier cela signifie aussi, principalement, notre acceptation des droits au rétablissement et de ses privilèges, qui nous ont été assurés par le sacrifice qu’en fit notre Seigneur.

Signification plus profonde du pain et de la coupe.

Remarquons maintenant que le dessein même de Dieu, en justifiant l’Eglise par la foi durant cet âge de l’Evangile, en avance sur la justification du monde par les oeuvres de l’obéissance, qui s’effectuera pendant l’Age millénaire, est précisément de permettre à ceux qui composent cette classe, qui maintenant voient et entendent, qui maintenant apprécient le grand sacrifice que l’Amour a conçu en faveur de l’homme, de présenter leur corps en sacrifice vivant, et ainsi d’avoir part au sacrifice du Seigneur Jésus – comme membres de son corps. A cette signification plus profonde de la Commémoration, notre Seigneur ne fit pas directement allusion. Cette signification était sans aucun doute l’une des choses auxquelles II faisait allusion, lorsqu’Il dit : « J’ai encore beaucoup de choses à vous dire ; mais vous ne pouvez les supporter maintenant. Mais quand celui-là, l’Esprit de vérité, sera venu, il vous conduira dans toute la vérité… et il vous annoncera les choses qui vont arriver ». – Jean 16 : 12, 13.

L’Esprit de vérité, le pouvoir et l’influence du Père, accordé par l’intermédiaire de Christ, parlant par la bouche de l’Apôtre Paul, explique clairement la très haute signification de la Commémoration ; car saint Paul, en écrivant à l’Eglise consacrée, dit : La coupe de bénédiction que nous bénissons, n’est-elle pas la communion du sang du Christ ? Le pain que nous rompons, n’est-il pas la communion du corps de Christ ? » la participation avec Christ comme sacrificateurs avec Lui-même jusqu’à la mort, afin que nous soyons comptés avec Lui comme participants de la gloire qu’Il a reçue en récompense de sa fidélité ? – « Car nous, qui sommes plusieurs, sommes un seul pain, un seul corps ». – 1 Corinthiens 10 : 16, 17, Darby.

(A suivre).

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