LE MEILLEUR DES PROGRAMMES

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L’élection d’un président de la république au suffrage universel, comme c’est le cas dans notre pays, donne lieu à une campagne électorale très animée.

Les candidats à la présidence, qu’ils soient soutenus par les partis politiques auxquels ils appartiennent, ou qu’ils agissent indépendam­ment de tout parti, organisent des conférences en divers points du pays, s’adressent à l’ensem­ble de la nation sur les antennes de la radiodif­fusion et de la télévision, pour présenter et défen­dre un programme qui doit, selon eux, résoudre les difficultés du moment et assurer le bien-être de tous.

Ils cherchent à obtenir le plus grand nom­bre de voix possible ; aussi offrent-ils des solu­tions aux problèmes qui agitent toutes les cou­ches de la population. Ils proposent un plan qui résume l’action qu’ils entendent mener pour apaiser les craintes de certains, satisfaire les revendications des autres, promouvoir les réfor­mes réclamées, conjurer les dangers menaçants, travailler au bonheur de chacun et à la prospé­rité du pays, pour favoriser aussi, sur le plan extérieur, l’entente et le rapprochement des peu­ples, la paix et la sécurité dans le monde.

Il ne fait pas de doute que leurs intentions soient des plus sincères, et que leurs programmes aient été élaborés avec la conviction qu’ils cor­respondent le mieux aux désirs de l’ensemble de la nation.

Mais, comme on peut facilement s’en rendre compte, divers programmes, sous différents régi­mes, sont de nos jours mis en application sur ter­re et aucun n’introduit une ère de paix et de bonheur véritables.

Et dans le passé, il n’en fut pas autrement. L’histoire des peuples démontre qu’aucun gouvernement n’est arrivé à assurer le bonheur de ses compatriotes. Pharaons, empereurs et rois se sont succédés. Epris de conquêtes, ils se sou­ciaient peu des gémissements des peuples qui ployaient sous leur joug. Avec l’avènement des républiques, l’homme a été affranchi des dures servitudes du passé, mais ses revendications n’ont pas cessé pour autant.

Et aujourd’hui, la généralisation de l’instruc­tion et l’augmentation de la connaissance dues au retour de Christ, ont réveillé les peuples au senti­ment de leurs droits, engendré un esprit de liber­té, d’autonomie, d’égalité, un désir de mieux être, un besoin de réformes qui s’expriment par des revendications répétées prenant parfois le carac­tère de crises nationales graves. Et cet état de choses n’est pas l’apanage d’une seule nation. Presque tous les pays, s’ils ont leurs propres sou­cis, connaissent des difficultés du même genre. Et plus nous avançons dans le temps, plus le progrès et la connaissance croissent, plus aussi s’intensi­f et le mécontentement qui commence a s’accom­pagner de violence, de désordre et même d’immo­lations de vies humaines. C’est comme si le monde, profondément déchiré et constamment meurtri par des luttes fraticides, était frappé d’une mala­die qui empire d’année en année et devant laquelle les meilleures intelligences, les coeurs le mieux disposés restent impuissants. Comme le Prophète l’a déclaré « Il arrive malheur sur malheur, un bruit succède à un bruit ; ils demandent des visions aux prophètes ; les sacrificateurs ne con­naissent plus la loi, les anciens n’ont plus de con­seils ». — Ezechiel 7 : 26.

Un espoir.

Ce mécontentement durera-t-il toujours ? N’existe­t-il pas de lendemains meilleurs pour notre monde ? Si, cher lecteur, il existe un pro­gramme qui, lorsqu’il sera mis en application, apportera à l’humanité la paix et le bonheur sur des bases justes et équitables. L’Eternel, le Sou­verain Créateur du ciel et de la terre, a préparé pour le genre humain une ère de joie et de tran­quillité, qu’Il introduira sur la terre par Christ, Son Fils Unique bien-aimé. Après que les hommes se seront rendus compte qu’ils sont incapables d’instaurer par leur propre sagesse un régime de justice et de paix véritables, après que le mécon­tentement actuel aura culminé en une anarchie qui renversera entièrement l’ordre social actuel (2 P. 3 : 12), Dieu interviendra ouvertement dans les affaires terrestres, il calmera le flot des pas­sions humaines (Ps. 46 :10, 11) et établira, par Christ, un ordre de choses nouveau, le seul à même d’apporter à la famille humaine cette paix, cette justice, cette liberté et ce bien-être tant désirés.

UN SAUVEUR

La cause des maux qui accablent l’humanité est l’orgueil, l’égoïsme, la soif de l’argent, le désir de domination, la jalousie, la haine qui se remar­quent dans le cercle familial déjà, au sein de toute collectivité, dans les affaires nationales et inter­nationales. Du point de vue divin, ces défauts sont l’indice de l’état de déchéance dans lequel se trou­vent les hommes depuis la transgression commi­se en Eden, par nos premiers parents ; ils sont la manifestation du péché. Adam, créé parfait, à l’image et à la ressemblance de Dieu, jouissait du bonheur et de la paix, étant en communion avec Son Créateur et obéissant à Sa loi. Mais par sa désobéissance, il s’est attiré la divine sentence de mort qui, avec le péché, s’est transmise par voie héréditaire à toute sa postérité (Genèse 1 : 26 ; 2 : 15-17 ; 3 : 16-19 ; Romains 5 : 12). Ce péché pèse maintenant sur le monde, ainsi que tous les péchés commis par les hommes. En même temps, s’exécute sur le genre humain la punition de la mort.

Et pour que quelque chose d’efficace puisse être fait en faveur des hommes, il faut d’abord que les péchés des hommes soient ôtés et que la sentence de mort qui les frappe soit levée. C’est à cette fin justement que Jésus-­Christ est venu sur terre voici maintenant dix-neuf siècles. Saint, innocent, sans souillure et séparé des pécheurs, Il s’est livré en rançon pour tous, Il s’est fait victime expiatoire pour nos péchés et ceux du monde entier. Par la grâce de Dieu, Il souffrit la mort pour tous (1 Timothée 2: 6 ; 1 Jean 2 : 2 ; 1 Corin­thiens 15 : 3).

Grand- Prêtre et Roi.

Mais si Christ, en tant qu’Etre humain, est mort pour nos péchés, Il a aussi été ressuscité comme Etre spirituel, participant de la nature divine, pour notre justification et celle du monde entier (Romains 4: 25 ;1 Pierre 3 : 18). La jus­tification du monde sera une oeuvre d’élévation graduelle de l’homme à la perfection mentale, morale et physique. Elle signifie l’instauration sur la terre d’une ère nouvelle où la justice, la bonté, et la paix fleuriront. Elle commencera après que sera achevé le choix des membres de l’Eglise, appelés actuellement à souffrir avec Christ afin d’être associés dans l’avenir à Sa gloire et à Son Règne (Romains 8 : 17 ; Apocalypse 5 :10).

Ce choix effectué, le Seigneur présentera à Dieu, en faveur du monde, le mérite de Son sacri­fice accompli au Calvaire ; la sentence de mort frappant l’humanité du fait de la transgression adamique sera levée, et les péchés seront pardon­nés aux hommes.

Christ commencera alors Son oeuvre de régé­nération de la famille humaine (Matthieu 19 :28, version Darby). Cette oeuvre est maintenant très proche. Pour la mener à bien, Il a été établi par Dieu, Son Père Céleste, Grand Prêtre en même temps que Roi des rois et Seigneurs des seigneurs, et investi de tout pouvoir dans le ciel et sur la terre (Psaume 110 :4 ; 2 : 6 ; Apocalypse 19 : 16 Matthieu 28: 18). La justice et l’équité seront la base de Son trône (Psaume 89: 15).

La connaissance de Dieu et l’amour envers Lui.

Au cours de Son règne, Christ fera connaître aux hommes Dieu, l’Auteur de notre être, le Créa­teur, le Conservateur et le Seigneur de l’univers entier. Il Le présentera tel qu’Il est : un Dieu infi­niment bon, miséricordieux, sage, juste et puis­sant un Dieu qui ne fait pas souffrir les trépas­sés pécheurs dans un lieu de tourments éternels car l’enfer, tel que l’enseigne la dogmatique chré­tienne nominale n’existe pas. L’enfer biblique, de l’hébreu sheol et du grec hadès, c’est la condition d’inconscience dans laquelle tombe l’individu au moment de la mort, et dans laquelle il demeure en attendant le réveil de la résurrection. Ce Dieu a tant aimé le monde qu’il a donné Son Fils Unique afin que quiconque croit en Lui ne périsse point, mais qu’il ait la vie éternelle (Jean 3 : 16). “ La terre sera remplie de la connaissance de l’Eter­nel, comme le fond de la mer par les eaux qui le couvrent. » (Esaïe 11 : 9.) « Celui-ci n’enseignera plus son prochain, ni celui-là son frère, en disant: “Connaissez l’Eternel ! Car tous me connaîtront, depuis le plus petit jusqu’au plus grand, dit l’Eter­nel. » (Jérémie 31 : 34.)

Ce Dieu mérite, cher lecteur, d’être aimé « de tout ton coeur, de toute ton âme et de toute ta pensée. C’est le premier et le plus grand comman­dement » (Matthieu 22 : 37, 38).

Christ fera aussi connaître aux hommes la loi de Dieu, résumée dans les dix commandements (Exode 20 : 1-17), et il les aidera à la mettre en pratique. L’obéissance à cette loi garantira le bonheur à chacun.

L’amour du prochain.

Il apprendra les hommes à s’aimer les uns les autres, car ils sont tous frères, quelles que soient la couleur de leur peau et la race à laquelle ils appartiennent, il leur fera savoir que si le premier commandement, c’est l’amour suprême envers Dieu, le second est : « Tu aimeras ton prochain comme toi-même.» (Matthieu 22: 39.) il les aide­ra à se débarrasser de l’orgueil, de l’égoïsme, de la jalousie, de cette haine féroce que d’aucuns nourrissent aujourd’hui à l’égard de leurs sem­blables.

Cessation des guerres, désarmement effectif.

Le Seigneur Jésus fera cesser les guerres les hommes ne pourront plus se tuer ; tout conflit cessera, car « il ne se fera ni tort ni dommage sur toute ma montagne (symbole du Royaume de Christ) sainte » (Esaïe 11 : 9).

De nos jours, et depuis plusieurs années, est organisée une conférence sur le désarmement. Les représentants des grandes nations se réunissent de temps à autre pour discuter de ce problème. Nous ne savons si un progrès réel a été accompli en ce domaine ; ce qui paraît certain, c’est que ces mêmes nations s’arment sans désemparer et fournissent aussi des armes à de plus petits états. il en sera autrement sous le Règne de Christ. Un désarmement effectif et général se pro­duira alors ; tout engin destructeur sera même transformé en instrument de travail, selon qu’il est écrit : « De leurs glaives, ils [les hommes] forgeront des hoyaux, et de leurs lances des ser­pes ; une nation ne tirera plus l’épée contre une autre, et l’on n’apprendra plus la guerre » —Esaïe 2 : 14.

Il n’y aura plus de famines.

Les ressources fabuleuses, affectées aujourd’hui par l’ensemble des nations pour ce qu’elles appel­lent la défense nationale, seront employées pour le bien-être de tous. Les immenses contrées déser­tiques seront cultivées et, sous des conditions cli­matiques appropriées produiront en abondance les céréales nécessaires à la nourriture du monde entier. “Le désert et le pays aride se réjouiront la solitude s’égaiera, et fleurira comme un nar­cisse… car des eaux jailliront dans le désert, et des ruisseaux dans la solitude ; le mirage se chan­gera en étang et la terre desséchée en sources d’eaux. » (Esaïe 31 : 1, 6, 7.) Ainsi disparaîtra à tout jamais le spectre de la famine, des disettes.

Meurtres et vols cesseront.

Par la puissance surnaturelle dont il dispo­sera, Christ empêchera toute mauvaise action. Les pensées des hommes Lui seront connues. Aucun projet nuisible ne pourra voir le jour. Cesseront ainsi les vols, les meurtres, les assassinats si fré­quents de nos jours. La Parole de Dieu nous assure en effet, comme nous l’avons dit plus haut, qu’« il ne se fera ni tort ni dommage » dans le Royaume de Christ.

Liberté, Egalité, Fraternité.

Le Seigneur mettra en application la justice dans toutes les affaires terrestres, une justice qui apportera paix et satisfaction à ceux qui s’y sou­mettront il est en effet écrit que Christ établira “de nouveaux cieux [un nouvel ordre ecclésias­tique] et une nouvelle terre [un nouvel ordre social] où la justice habitera » (2 Pierre 3 : 13). Il fera « de la droiture une règle, et de la justice un niveau » (Esaïe 28 : 17). Un nivellement des classes se produira alors, de sorte que l’opulence extrême et la pauvreté cesseront d’être. Le bonheur et la prospérité seront pour tous ceux qui obéiront à la loi divine du fond de leur coeur. Il n’y aura plus de discrimination entre races, entre gens de couleur, entre tribus, entre langues et entre peuples, car Dieu ne fait point accep­tion de personne. En toute nation, celui qui le craindra et pratiquera la justice Lui sera agréable (Actes 10 : 34). Cela est vrai aujourd’hui comme demain. La domination de l’homme sur l’homme, et l’exploitation de l’homme par l’homme n’existeront pas non plus. Une véritable fraternité unira le genre humain. De légitimes libertés, aujour­d’hui encore refusées à certains, seront accordées à l’être humain. En vérité, s’il ne sera pas permis de nuire à son prochain, la loi divine accordera à l’homme les libertés qui répondent à ses pro­fondes aspirations.

Prospérité , confort.

Les ressources de la terre seront toutes em­ployées à des fins pacifiques ; les efforts des hom­mes seront orientés vers le bien, en vue du bonheur et de la joie de leurs semblables, il en résultera pour ceux qui se laisseront enseigner par Christ une vie paisible et heureuse symboli­sée par le prophète Esaïe en ces termes : «  Ils [les hommes] bâtiront des maisons et les habite­ront ; ils planteront des vignes et en mangeront le fruit, il ne bâtiront pas des maisons pour qu’un autre les habite, ils ne planteront pas des vignes pour qu’un autre en mange le fruit. » — Esaïe 65: 23, 21, 22.

Peines, maladies et même la mort disparaîtront.

Le but du Règne de Christ sera de ramener l’humanité à l’état de perfection dans lequel nos premiers parents avaient été créés et à la com­munion avec Dieu dont ils jouissaient avant leur transgression à la loi divine. Dans cet état de per­fection et tant qu’ils obéissaient à Dieu, Adam et Eve ne souffraient d’aucune maladie, ils ne res­sentaient aucune douleur, ils étaient pleinement heureux et auraient pu le demeurer continuelle­ment s’ils n’avaient pas désobéi à leur Créateur. Et Christ, au cours de Son Royaume, rétablira à cet état de perfection tous ceux qui Lui obéiront. Ils les guérira de toutes leurs maladies, mentales, morales ou physiques, de toutes leurs infirmités. Alors, il n’y aura plus d’aveugles, de sourds, de paralytiques, de lépreux, ni d’infirmes. Ce que les meilleurs médecins et les meilleurs chirurgiens ne peuvent faire aujourd’hui, le Seigneur le fera au cours de Son Règne. Il éliminera toutes les mala­dies et finalement même fera disparaître la mort.

« La mort ne sera plus, il n’y aura plus ni deuil, ni cri, ni douleur. » “il faut qu’il règne jusqu’à ce qu’il ait mis tous les ennemis sous ses pieds. Le dernier ennemi qui sera détruit, c’est la mort.”

“En ce jour-là, les sourds entendront… et, délivrés de l’obscurité et des ténèbres, les yeux des aveu­gles verront. » (Apoc. 21 : 4 ; 1 Cor. 15 : 25, 26 Esaïe 29 : 18). Quelle joie, quel bonheur sera le lot des hommes sous le Règne de Christ

De plus…résurrection et vie éternelle.

Tous pourront bénéficier des bienfaits de cet­te ère nouvelle, même ceux qui se sont endormis du sommeil de la mort, car “il y aura une résur­rection des justes et des injustes » (Actes 24 : 15). Si Christ est mort voici dix-neuf siècles, c’est pour qu’un jour tous les hommes puissent revivre. “ Puisque la mort est venue par un homme [Adam], c’est aussi par un homme [Jésus] qu’est venue la résurrection des morts. Et comme tous meurent en Adam, de même aussi tous revivront en Christ. » “ Ne vous étonnez pas de cela ; car l’heure vient où tous ceux qui sont dans les sépul­cres entendront Sa voie [celle de Christ], et en sortiront. » (1 Cor. 15 : 21, 22 ; Jean 5 : 28). Et si Christ a été ressuscité, et qu’il régnera sur la terre, c’est pour accorder à chaque membre de la race adamique la possibilité d’avoir la vie éter­nelle. Toutefois, pour obtenir cette faveur supre­me, les hommes devront se soumettre aux lois du Royaume, ils devront librement accepter la loi de Dieu et la mettre quotidiennement en pratique. Ceux qui ne voudront pas obéir à Christ, ceux qui s’obstineront à persévérer dans l’injustice et le péché, ceux-là mourront de la Seconde Mort, de laquelle il n’y aura pas d’espoir de retour. Ce sera pour eux l’extinction de la vie, complète et définitive (Actes 3 : 23 ; Apoc. 21 : 8). Ceux par contre qui transformeront leur caractère au point d’aimer Dieu de toute leur force, et leur prochain comme eux-mêmes, ceux-là goûteront à une féli­cité éternelle sur une terre transformée en paradis.

Tel est le meilleur des programmes, préparé par Dieu pour l’humanité et qui sera mis à exé­cution par Christ au cours de Son Règne main­tenant très proche.

Utopie ? non ! réalité de demain.

Beaucoup ne veulent pas croire que de sem­blables bénédictions soient accordées un jour à l’humanité. Certes, si un programme pareil devait être réalisé par les hommes, il échouerait, car il est au-dessus de leurs moyens. Mais s’il est irréa­lisable pour les hommes, il ne l’est pas pour Dieu. N’oublions pas que Celui qui a créé le soleil, la terre et tout ce qui s’y trouve, les planètes et l’univers entier surpasse infiniment l’homme en toutes choses. Toutes choses Lui sont possibles, et ce qu’il a décidé, il l’effectuera (Esaïe 55 : 11). Dieu a prédit que les Juifs retourneraient dans leur pays après un long exil ; ils y retournent depuis un siècle bientôt et y ont formé un état indépendant. Dieu a déclaré qu’un jour s’effectue­rait un rassemblement, un groupement de nations. Ce rassemblement s’opère de notre temps dans le monde (Sophonie 3 : 8 ; Joël 3 : 1, 2). Ces prédic­tions, et beaucoup d’autres encore, se réalisent sous nos yeux, ce qui nous assure que celles rela­tives au merveilleux avenir de l’homme se réa­liseront également. Aussi pouvons-nous prier du fond de notre coeur : « Que Ton Règne vienne, que Ta volonté soit faite sur la terre comme au ciel ! »

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