RENDONS HOMMAGE AU SAINT NOM DE JÉSUS

Listen to this article

C’est sur la personne de Jésus seule que sont concentrées toutes les faveurs de Dieu destinées à l’Eglise et au monde.

EXPLICATION DES PLANS DE DIEU

SOMMAIRE. ‑ Les bases des bénédictions de Dieu, destinées aux humains, furent posées au Calvaire. ‑ Dieu commença à déverser ses faveurs sur les élus à la Pentecôte, au jour où les disciples reçurent le saint Esprit. ‑ C’est à la seconde venue de Jésus que l’Eglise recevra la plénitude des bénédictions divines. ‑Alors, les bénédictions seront répandues sur les non élus. ‑ Christ et son Eglise régneront pendant mille ans. ‑ Une sacrificature royale. ‑ Cette sacrificature ramènera les hommes à la perfection humaine. ‑ Ceux qui font le mal volontairement seront détruits dans la seconde mort.

TEXTE. – « Je le jure par moi‑même… Tout genou fléchira devant moi, toute langue jurera par moi ». ‑ Es. 45 : 23.

Les Ecritures affirment qu’au nom de Jésus, tout genou fléchira et toute langue donnera gloire à Dieu. Certaines personnes, n’ayant pas lu ces paroles avec assez d’attention, prétendent que ceux qui fléchiront les genoux et confesseront Christ, le feront par pur formalisme, leur coeur étant toujours rebelle à Dieu. Si nous lisons ce passage avec attention, nous comprendrons que ces actes S’accompliront véritablement à la gloire de Dieu ; le Nouveau Testament nous dit même positivement que les créatures célestes, aussi bien que les créatures terrestres fléchiront les genoux devant Dieu (Phil. 2 : 10, 11). En d’autres termes, la gloire de Jésus et l’oeuvre qu’il accomplira encore, étant le représentant du Père céleste, seront rendues célèbres ; les anges et les hommes rendront gloire et hommage à Jésus‑Christ,

Quand donc cela arrivera‑t‑il et comment cela commencera‑t‑il à se produire ? Dix‑neuf siècles, environ, se sont écoulés depuis que Jésus vint dans le monde pour accomplir la rédemption de l’homme ; jusqu’à nos jours peu de genoux ont fléchi devant Lui et peu de langues L’ont confessé et ont rendu gloire à Dieu sur la terre, mais nous savons bien que Jésus a été souverainement élevé au ciel. Ces paroles du Père, prononcées par les prophètes ont déjà eu leur accomplissement : « Que tous les anges de Dieu l’adorent ». ‑Héb. 1 : 6.

L’on doit souffrir premièrement pour obtenir la gloire plus tard

Les théories, imaginées par les hommes, nous ont conduits, dans le passé, à des erreurs de compréhension très graves sur les plans de Dieu et sur Sa Parole. Il est nécessaire que les enfants de Dieu comprennent qu’ils étaient dans l’erreur, la confusion, et que les doctrines des hommes sont déraisonnables. Nombreux sont les Chrétiens qui demandent actuellement, le coeur angoissé, qu’on leur donne le pain et l’eau de la vie, la vérité, un enseignement exact de la Parole de Dieu. Certaines personnes, disons‑nous, sont dans cet état d’âme, d’autres y arrivent graduellement, mais d’autres hélas, tenus dans les lacets de l’adversaire, Satan, ont vu leur foi se briser sur les rochers de la critique religieuse et de l’évolution !

L’enseignement fondamental de la Bible nous dit que la mort de Jésus fut nécessaire pour payer le prix de la rançon de l’homme. C’est là l’affirmation catégorique de Jésus et des Apôtres ; c’est aussi ce qui fut représenté dans les types de la Loi. Ces types nous enseignent que « sans effusion de sang, il n’y a pas de pardon ». Les sages de ce monde rient à la pensée que l’effusion du sang de Christ soit nécessaire pour obtenir le pardon de l’homme et enlever la malédiction qui pèse sur lui.

Plusieurs personnes pensent peut‑être que ce qui vient d’être dit est illogique ; elles n’ont pas songé que l’expression « effusion du sang » signifie une mort de sacrifice. Nous étions aussi, nous-mêmes, aveuglés par les théories peu raisonnables du passé ; nous pensions, en effet, que la mort de notre Créateur était nécessaire pour effacer les péchés. La Bible ne nous enseigne pas que l’homme est condamné aux tourments éternels ou aux souffrances du purgatoire ; elle affirme que la sentence condamnant notre race disait : « Tu mourras certainement ». Cette condamnation à mort frappe ainsi Adam et fut transmise par lui à toute sa postérité au cours des six mille ans qui se sont écoulés jusqu’à nos jours. Ce fut un héritage de malédiction, de chagrins, de faiblesses, de séparation d’avec Dieu, et de mort.

Les affirmations de la Bible ne sont‑elles pas logiques, lorsqu’elles disent que le Juge suprême ne peut pas retirer la sentence de mort prononcée par Son propre tribunal et cependant être juste ? Si Adam, ayant péché, fut jugé indigne de la vie éternelle et mourut sous cette sentence, il n’est pas plus digne maintenant de vivre à toujours ; ses enfants, ayant hérité sa nature pécheresse et ses faiblesses, ne sont pas plus dignes de vivre que lui. Il ne peut pas y avoir de pardon du péché originel et il ne peut être accordé aux humains une seconde possibilité de posséder la vie éternelle, si ce n’est par une rédemption, un paiement donné pour effacer le châtiment prononcé en Eden.

Dès le commencement, Dieu désigna un seul Rédempteur pour racheter la famille humaine, c’est pourquoi Il mit à l’épreuve notre premier père, Adam, seul ; contre lui seul aussi, la sentence de mort fut prononcée. Dieu prépara la voie de la rédemption de la manière suivante : « Puisque la mort est venue par un homme, c’est aussi par un homme qu’est venue la résurrection des morts. Et comme tous meurent en Adam, de même aussi tous revivront en Christ, mais chacun en son rang ». Les membres de l’Eglise ressusciteront lors de la première résurrection, au premier rang ou ordre. ‑ 1 Cor. 15 : 21‑23

Ce n’est pas le Père céleste qui mourut, mais le Fils

Si nous nous sommes débarrassés de la doctrine absurde, insensée, anti-scripturaire, qui prétend que Jésus est Son propre Père, alors nous comprenons ces choses.

Le Père céleste n’est pas mort pour les péchés de l’homme et Il ne força pas Son fils à mourir pour nous ; au contraire, les Ecritures nous disent que Dieu présenta les choses au Fils et que le Fils accomplit cette oeuvre volontairement. Ce contrat ne fut pas fait sans récompense, car, « en vue de la joie qui lui était réservée, Jésus a souffert la croix, méprise l’ignominie, et s’est assis à la droite du trône de Dieu » (Héb. 12 ; 2). Le Logos fut créé être spirituel ; Il ne fut pas créé homme, être humain. Il ne pouvait être le Rédempteur de l’homme qu’en abandonnant Sa nature spirituelle, Sa gloire et en devenant un homme. « Jésus‑Christ homme, qui s’est donné lui‑même en rançon pour tous ». ‑ 1 Tim. 2 : 5, 6.

Dans le passé, nous avons étudié la Bible sans y mettre toute notre attention ; maintenant, nous comprenons que le terme rançon, en grec antilutron, signifie un prix équivalent. C’est là ce qui était nécessaire peut le rachat de l’homme, et c’est ce que Jésus donna. Les taureaux et les boucs ne sont pas des prix équivalents, parce qu’ils sont inférieurs à l’homme ; les anges ou le puissant Logos ne pouvaient pas davantage racheter l’homme ; ils ne constituaient pas un prix équivalent, car ils possédaient une nature supérieure à celle des humains. Selon les Ecritures, il fallut que le Logos devînt un homme parfait pour pouvoir payer la rançon de notre premier père Adam et donner un prix équivalent à la vie humaine. Comme tout cela est simple, si nous acceptons les enseignements clairs et précis de la Parole de Dieu !

Connaissant les enseignements des Ecritures, selon lesquels Dieu accomplit la rédemption du monde entier par le moyen de Christ, les Chrétiens se sont efforcés de croire que tout le monde a été béni par Christ dès le moment où Il mourut, « lui juste pour des injustes ». Quelques Chrétiens vont jusqu’à s’imaginer que, d’une manière ou d’une autre, Jésus a déjà béni les millions d’humains qui sont morts au cours des quatre mille ans écoulés avant Sa mort.

C’était une chose vraiment insensée d’essayer ainsi de nous leurrer nous‑mêmes. Une honnêteté de conscience parfaite nous aurait été d’un grand secours pour comprendre la Bible. Nous aurions du voir clairement que les millions d’humains morts durant les quarante siècles écoulés avant Christ ne pouvaient pas avoir reçu de bénédictions par Lui ; nous aurions dû comprendre aussi que les nombreux humains, y compris les milliards de païens morts au cours des dix‑neuf derniers siècles n’ont pas non plus été bénis par Jésus. Les membres de l’Eglise, seuls, jusqu’à nos jours, ont reçu des bénédictions de la main du Sauveur.

Si nous avions eu assez de franchisse pour admettre ces choses, nous aurions étudié avec soin la Bible, afin d’y trouver d’autres expli­cations, et, certainement, la lumière aurait brillé pour nous. Nous n’avons pas agi de cette manière, nous avons prétendu que tous les humains sont mis à une épreuve impartiale actuellement, et les ténèbres sont devenues plus épaisses en nous. On ne gagne jamais rien à manquer d’honnêteté ; le manque d’honnêteté ne nous est d’aucun profit, surtout lorsqu’il est question de religion. Maintenant, nous commençons à être plus honnêtes à l’égard de notre conscience et de la réalité, c’est pourquoi les ténèbres commencent à se dissiper et les enseignements de la Bible commencent à s’illuminer pour nous.

« L’élection l’a obtenu »

Paul attire notre attention sur le fait que Dieu promit certaines bénédictions importantes aux Juifs par l’Alliance de la Loi, ces bénédictions, les Juifs ne purent les obtenir, parce qu’ils avaient hérité les faiblesses communes à tous les humains. Paul nous dit qu’à la venue de Jésus, les Israélites furent mis à l’épreuve ; ils rejetèrent Christ et, de ce fait. rejetèrent aussi les bénédictions de Dieu les plus importantes, mais les faveurs du Père céleste ne leur furent pas retirées complètement ; les dons et l’appel destiné à Israël n’ont pas été annulés. Paul dit : « Ce qu’Israël cherche, il ne l’a pas obtenu, mais l’élection l’a obtenu, tandis que les autres ont été endurcis » ‑ Rom. 11 : 7

Ici, nous avons une explication importante. Dieu fait une élection, ou un choix, parmi les humains. Il désire posséder un Petit Troupeau fidèle, dont les membres se sacrifient eux‑mêmes, qu’ils soient saints et deviennent les cohéritiers de Christ, leur Rédempteur dans la grande oeuvre que la sagesse et l’amour divins ont réservée pour Lui. Ce Petit Troupeau, ces élus seront «  héritiers de Dieu et cohéritiers de Christ » leur Sauveur, dans le Royaume millénaire.

Lorsque ce Royaume sera établi et que Christ manifestera Sa grande puissance et Sa gloire, Il sera invisible aux hommes, mais Il montrera Sa toute‑puissance parmi eux, alors, toutes les merveilleuses promesses de la Bible s’accompliront. L’Apôtre Pierre nous dit qu’à la seconde venue de Jésus, il y aura un temps de rétablissement de toutes choses, un temps de bénédictions pour toute l’humanité dans sa demeure terrestre transformée en un immense paradis ; tous les humains seront ramenés à l’image et à la ressemblance de leur Créateur. Cette oeuvre grandiose sera accomplie par les élus, autrement dit le Christ, dont Jésus est la Tête et l’Eglise, le Corps. En d’autres termes, Jésus sera l’Epoux et l’Eglise formera Son Epouse.

L’Epouse se prépare

L’oeuvre de l’élection de l’Eglise, qui s’accomplit depuis plus de dix‑neuf siècles, se fait dans le coeur de chacun de ses membres. Dieu, qui a une immense sagesse, a utilisé les divers membres de l’Eglise, pendant cette période, comme Ses ambassadeurs, Ses serviteurs, pour appeler les autres membres ; Ils s’édifient les uns les autres sur leur très sainte foi. C’est ainsi, selon les Ecritures, que l’Epouse se prépare en vue de s’unir à son Epoux céleste à la seconde venue de Celui‑ci ; cette union s’effectuera lorsque l’Eglise sera changée, à la première résurrection ; alors, la nature spirituelle et céleste lui sera accordée ainsi que le Royaume, car « la chair et le sang ne peuvent hériter le Royaume de Dieu ».

Nous, qui étudions la Bible actuellement, nous commençons à ouvrir les yeux de notre compréhension et à voir les graves erreurs auxquelles croyaient nos ancêtres et qui nous ont été léguées.

Nos pères croyaient que les élus seraient les seuls humains sauvés de toute la famille humaine; ils ne comprenaient pas que les élus appelés actuellement forment la Nouvelle Création de Dieu, qu’ils seront élevés, non seulement au‑dessus des hommes, mais aussi au‑dessus des anges et des chérubins. Dieu, pendant le règne du péché et de la mort, choisit, parmi les membres de la famille humaine rachetée, quelques joyaux, quelques caractères qu’Il perfectionne et qui formeront un diadème royal dans la main de notre Seigneur.

L’oeuvre de Dieu en faveur de la famille humaine commencera seulement lorsque les élus, qui formeront le diadème de Dieu, la sacrificature royale, auront eu part à la nature divine, à la première résurrection ; nous avions cru, autrefois, que l’oeuvre en faveur du monde serait accomplie avec l’achèvement de l’Eglise. Nous voyons aujourd’hui que les élus seront tout d’abord glorifiés, et qu’ensuite les bénédictions de Dieu commenceront à être répandues sur les non‑élus qui, tous, comme enfants d’Adam, furent rachetés par le sang précieux de Christ.

Jusqu’à présent, Dieu ne s’est occupé que des élus. Tous les autres humains ont été les captifs de Satan qui leur a imposé sa volonté ; ils ont été aveuglés, rendus sourds, ils ont été égarés par l’influence puissante de l’erreur. Un petit nombre d’humains seulement ont échappé à la condamnation qui pèse sur le monde ; ils ont accepté Christ et sont devenus membres de la Nouvelle Création par Son moyen.

La grande oeuvre du Messie commence maintenant

Si nous comprenons ce sujet de la bonne manière, nous comprendrons aussi que la grande couvre du Messie, visant à l’anéantissement du règne du péché et de la mort, a son début maintenant. La Bible nous enseigne quelle sera la manière d’agir de Christ. Premièrement, Il prendra en mains les rênes de Son pouvoir suprême et commencera à régner ; ensuite Il liera Satan pour mille ans et dissipera les ténèbres de l’ignorance et de la superstition créées par le prince des ténèbres. Le puissant Prince de gloire, le Soleil de justice brillera pour faire disparaître l’obscurité.

Le Rédempteur lui‑même nous a dit que l’Eglise fera partie avec lui de ce Soleil de justice, de ce merveilleux Royaume de Dieu promis depuis si longtemps et pour lequel on a prié : « Que ton règne vienne ; que ta volonté soit faite sur la terre comme au ciel ». « Alors les justes resplendiront comme le soleil dans le royaume de leur Père ». ‑ Matth. 13 : 43.

Satan est l’ennemi de Dieu et de la justice sa destruction est prédite. L’homme, par contre, n’est pas considéré comme un ennemi de Dieu, selon la Bible ; néanmoins, aux yeux de la loi divine, tous les pécheurs sont des ennemis de Dieu et de la justice, parce qu’ils ont commis le mal. Cependant, selon les enseignements des Ecritures confirmés par nos expériences, les humains ne sont pas ennemis de la justice et de Dieu, mais ils sont simplement aveuglés, trompés, ils sont des esclaves, des captifs de Satan, du péché et de la mort. Dieu savait cela, c’est pourquoi Il prépara une rédemption pour Adam et sa postérité, c’est pourquoi aussi Il établit le puissant règne millénaire du Messie. Pendant ces mille ans, Adam et tous les humains auront la possibilité d’obtenir la vie éternelle et la perfection humaine perdue par la désobéissance et rachetée par le sang précieux de Jésus.

Ne comprenons‑nous donc pas maintenant que, si l’âge évangélique a été le temps réservé au choix des élus, dans l’âge messianique qui suivra, les élus avec Jésus leur Chef, béniront tous les non‑élus ? Dieu dit à Abraham : « Toutes les nations de la terre seront bénies en ta postérité » (Gal. 3 : 8, 16, 29). Les bénédictions de Dieu qui seront accordées par le moyen du Royaume messianique, n’amèneront pas les humains en général à être des cohéritiers de Christ, à posséder la nature divine ; ils ne s’assiéront pas non plus sur le trône du Roi de gloire. Les humains, en ce temps‑là, auront simplement toute possibilité d’être éclairés et aidés, afin qu’ils puissent sortir de l’esclavage, se débarrasser des liens du péché et de la mort, qu’ils puissent ensuite jouir de la glorieuse liberté de fils de Dieu et posséder la vie éternelle.

Le combat et les combattants

Jésus, le Capitaine ou Prince de notre salut, fut le premier Vainqueur puissant dans le combat contre le péché, Satan et la mort. Il fut couronné à cause de Sa loyauté à Dieu et de Sa fidélité même jusqu’à la mort ; Il obtint la victoire en mourant en martyr. Tous Ses disciples de même, au cours de l’âge évangélique, ont dû démontrer leur fidélité jusqu’à la mort, pour pouvoir être les associés de leur Maître dans le Royaume messianique.

Pendant dix‑neuf siècles, Satan, le péché et la mort ont paru être les vainqueurs, tandis qu’en réalité, si nous considérons les choses au point de vue divin, c’est Christ et son Eglise qui furent les vainqueurs. Leur victoire sera manifestée à la première résurrection, quand aura lieu l’assemblée générale « des premiers‑nés inscrits dans les cieux ». Alors le combat se fera d’une manière différente ; les vainqueurs ne mourront plus et leurs ennemis périront. Pendant les mille ans de Son règne, Christ anéantira le péché et la mort en même temps ; Il régénérera les humains, leur enlèvera leurs lourds fardeaux et les ramènera à la perfection humaine. Au jour de Christ, le juste prospérera, tandis que le méchant sera retranché dans la seconde mort.

Que les plans de notre Père céleste sont grandioses ! Quel honneur et quelle gloire reviennent à notre Créateur qui conçut ces plans, à notre Rédempteur qui en dirige l’exécution et à l’Eglise des premiers-nés qui sera associée avec le Rédempteur pour en achever l’exécution ! A la fin, toutes choses seront accomplies ; l’ignorance aura disparu ; le péché et la mort ne seront plus. Ceux qui pécheront volontairement seront détruits. Alors tout genou fléchira et toute langue confessera que «Jésus‑-Christ est Seigneur, à la gloire de Dieu le Père ».

(Sermon du Pasteur Russell).

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *